Le Concordat De 1801

Églises et de l'Etat : "La République ne reconnaît, ne finance ni ne subventionne aucun culte" (article 2). L'Alsace Moselle, du fait de son rattachement à l'Allemagne lors du vote de cette loi, bénéficie d'un statut dérogatoire fondé sur le Concordat de 1801 signé par le Consul Napoléon Bonaparte. b) 1905- 1914 : Loi de séparation et mutation des sociétés La loi de 1905 modifie la société. En effet, l’ecole est desormais gratuite, obligatoire et laique. De ce fait, l’education deviens en olus

battue par les anglais, et les français chassés d’Egypte, en 1801. II/ Le zénith de Napoleon 1/ La prise du pouvoir A son retour d’Egypte, Bonaparte retrouve la France dans une situation de grave crise politique. Aidé de militaires fidèles (notamment Murat), il réalise un coup d’Etat et se fait remettre le pouvoir. Une nouvelle constitution est rédigée. Bonaparte rétablit la paix civile et religieuse en France (Concordat en 1801). Toutefois, la France est alors toujours en guerre contre

et les israélites. Elle clôture 25 ans de tensions entre la République et l'Église catholique, l'un et l'autre se disputant le magistère moral sur la société. • Cette loi de 1905 met donc un terme au régime concordataire, c'est-à-dire au Concordat établi en 1801 sous le Consulat par Napoléon Bonaparte et qui régissait jusque-là les rapports entre les deux institutions. • La loi de 1905 proclame d'abord la liberté de conscience et d'exercice des cultes : • Article 1er : « la République assure la

excédentaires)18 et payé uniquement par une cotisation sociale supplémentaire des salariés alsaciens et mosellans (1,8 % du salaire brut au 1.1.2006)19. En contrepartie, les mutuelles facultatives sont moins chères que dans le reste de la France. →Concordat en Alsace-Moselle Le principe de laïcité ne s’applique pas non plus à l’Alsace-Moselle pour ce qui concerne l’éducation car ce principe fut énoncé en 1905 alors que l’Alsace-Moselle ne fut réintégrée à la France qu’en 1918 et imposa cette condition

entrecoupé de révolutions, de coup d’état, et d’aventures multiples pour établir un régime représentatif au sein d’une république laïque et obligatoire. En France, pendant des siècles, l’Etat et l’Eglise catholique ont été étroitement liés (concordat de 1801 qui rémunère le clergé). En 1870, la IIIème est instaurée : ses fondateurs veulent une société laïque, c’est-à-dire libérée de l’influence de la religion. L’école va jouer un rôle central dans la confortation de cette nouvelle république. Elle

Adèle et Clarisse le général Antoine Guillaume Delmas né à Argentat, chef du bataillon des volontaires corréziens sur l’armée du Rhin, puis combattant dans l’armée de Bonaparte en Italie, est en désaccord avec celui-ci lors de la signature du concordat en 1801.Contraint à l’exil pendant 11 ans, il demande à réincorporer l’armée pour servir la Nation, ce qu’il fait malheureusement il perd la vie à la bataille des Nations à Leipzig en 1813. 7 Personage important d’argentat

Premièrement nous expliquerons le contexte qui a emmené l’école à devenir un symbole de la laïcité, pour ensuite aborder l’évolution du débat. Alors que la France se trouvait encore liée à l’Eglise catholique et au Vatican par le concordat signé par Napoléon Bonaparte en 1801, les républicains veulent un pays laïc. Pour l’instant, tout ce qui était éducation et santé était confié à cette institution, laquelle en profitait bien sûr pour transmettre ses valeurs. C’est en effet ce qui témoigne l’illustration

réglementant les cultes. Le concordat est lui aussi à l’ origine de cette loi, le Concordat est un accord entre la France et le Saint-Siège dans lequel le pape reconnaît la République et renonce aux biens enlevés au clergé sous la Révolution. En contrepartie, le Gouvernement de la République française reconnaît que la religion catholique, apostolique et romaine est la religion de la très grande majorité des citoyens français mais plus la religion officielle de la France. Le Concordat est vraiment instauré

les royalistes. Et des réconciliations entre les français (retour des émigrés, garantis des biens nationaux) la catholicisme devient la religion de la majorité des français par le concordat signé avec le pape le 15 juillet 1811. le protestantisme et le judaïsme sont reconnu. La paix est signé avec l’Autriche en 1801-1802. Bonaparte nomme les préfets dans les département, désigne les maires des grandes villes, créé les lycées, la légion d'honneur. La banque de france, le franc général entre

| |- des dispositions d'origine française maintenues en vigueur par les autorités allemandes en 1870 (et abrogées par les | |autorités françaises durant la période de l'annexion), par exemple le Concordat de 1801 | |- des dispositions d'origine allemande applicables dans l'ensemble du "Reich", par exemple le Code local des Professions (loi | |du 26 juillet 1900)