Le Consommateur Irrationnel

consensus social : les objectifs de l’employeur coïncident avec ceux des ouvriers (croissance de la production, augmentation du chiffre d’affaires et du bénéfice). Aussi, pour Taylor, les conflits du travail, les grèves, l’action syndicale sont irrationnels par rapport aux objectifs de l’entreprise. Un partenariat doit s’instaurer entre propriétaires et salariés. Taylor part du postulat d’une juste rémunération correspondant à une juste journée de travail ; il condamne l’exploitation des travailleurs

l’optimalité du marché a- Les biens collectifs (Doc. 5) Les biens collectifs sont des biens qui, dès qu’ils sont mis à la disposition d’un individu, sont mis à la disposition de toute la collectivité. Il y a absence de rivalité entre les consommateurs car la consommation par un individu ne réduit pas celle d’un autre. Il y a impossibilité d’exclusion par le prix car le non paiement n’implique pas la non consommation. Le problème causé par les biens collectifs est que le marché est incapable

gustative de la marque La notion d’identité sensorielle de la marque Ces éléments visuels, sonores, tactiles, olfactifs ou gustatifs constituent au global l’identité sensorielle de la marque. Ce sont des points d’ancrage important pour le consommateur, car souvent ils se répondent entre eux : * Un son est susceptible de créer des images (un bruit de vagues évoque immédiatement la mer, les vacances, le dépaysement…) * Une image a aussi le pouvoir d’évoquer des odeurs (exemple : l’image

du travail ………………………………... 24 Chapitre III : Dépouillement et analyse des résultats ………………… 26 I. II. III. IV. Analyse de l’environnement du marché, et de la stratégie marketing adapté par CAPEC-MAROC ………………. 27 Analyse du comportement des consommateurs ……...... 28 Suggestions ……………………………………………. 37 Synthèse ……………………………………………….. 38 Conclusion ……………………………………………………………. 40 Bibliographie ………………………………………………………….. 41 Web graphie ………………………………………………………….... 41 Annexes ……………………………………………………………….. 42

.   INTRODUCTION :       L’entreprise est une institution qui rassemble plusieurs facteurs de production en vue de produire des biens ou des services pour la vente.         Le producteur rationnel étant dans une situation proche de celle du consommateur rationnel, les deux analyses sont très proches l’une de l’autre.       En micro-économie, on raisonne sur le niveau élémentaire, ici l’entreprise. C’est ici une unité de décision indépendante, qui peut correspondre à un ou plusieurs établissements

explications possibles.  Il y a d'abord un problème psychologique de manque de confiance en l'avenir qui freine les dépenses et investissements des consommateurs comme des entreprises. De nombreux sondages montrent depuis des années que le moral des Français est très bas et qu'il continue à se dégrader [154] [153]. Beaucoup de consommateurs ont peur de perdre leur emploi, ce qui les empêche de dépenser l'argent qu'ils ont et leur fait préférer l'épargne (les ménages français épargnent 15.8 %

- Les fournitures et services 4. Classification par fréquence d’achat - Biens banals - Biens anomaux 5. Classification par degré de nouveauté: produits nouveaux, produits anciens Un bien est considéré nouveau quand il est nouveau pour le consommateur. C. Les nomenclatures Une nomenclature est une liste ordonnée et exhaustive de produits. C’est un outil de classification des produits extrêmement précis. Les nomenclatures peuvent être d’origine statistique, fiscale (celle

investisseurs de capitaux. Personne ne régule ce marché, à partir du moment où il y a des profits, personne ne peut empêcher l’implantation d’une nouvelle entreprise qui appliquerait de nouveaux prix. Dans ces cas là la concurrence profite aux consommateurs et à la collectivité en générale parce que les prix sont de plus en plus bas. II. Quelques situations de monopole et l’équation de LERNER Il existe plusieurs types de monopoles. Un monopole c’est soit un avantage naturel, soit du à des avantages

COURS DE MARKETING CHAPITRE 3 CHAPITRE 3 – LE COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR Pour les économistes, le comportement du consommateur se limite à analyser les implications logiques qui découlent de l’hypothèse de la rationalité humaine. Ils considèrent que le comportement réel du consommateur est le reflet de ses préférences et inversement que ses préférences sont révélées par son comportement. Les marketeurs, conscient que la rationalité n’était pas la seule hypothèse à prendre en considération, ont

demandeur l'ensemble des prix moins avantageux (plus cher) et les quantités correspondantes auxquelles il aurait été prêt à consentir. Doc | Type de M | Offre | Demande | 1 | Distribution | Grande surface | Consommateurs | 2 | Restauration rapide | Restauration rapide | | 3 | Assurance | Entreprise d'assurance | Preneurs d'assurances | le fonctionnement du M en concurrence imparfaite Quand on passe des choses de