Le Cratyl Platon

INTRODUCTION A LA REPUBLIQUE DE PLATON: La République de Platon est un livre extrêmement classique qui se situe au carrefour de trois grands domaines : littérature, philosophie et science politique. Pour comprendre l'importance de ce livre, il faudra voir, à travers la vie et l'oeuvre de Platon comment s'entrelassent ces trois dimensions et comment les catégories qu'il dévellope sont partiellement encore les nôtres. Nous pensons naïvement que l'apprentissage de la lecture s'arrête plus ou

Résumé de l’œuvre III. Ménon 1. Qu’est-ce que la vertu 2. Model de définition 3. Le paradoxe de Ménon IIII. Les procédés de Ménon 1. La vertu s’enseigne t’elle ? 2. La réminiscence Introduction Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la

l'expression "parler pour ne rien dire"? etc. Une bonne copie Elise Alain sur Platon, la rhétorique Textes : Commentaire de texte d'Alain, sur la langue, instrument à penser. Bergson L'expression de la pensée dans la matière et le langage. Bergson Langage et flux de conscience. Descartes le langage de l'animal et le langage humain Alain Sur le langage (liste des textes) Bibliographie de recherche sur le langage : Platon Cratyle, premiers dialogues, G.F. Protagoras, Gorgias G.F. Aristote Premiers

glissement des deux premiers signifiés vers un second, nouveau et sans lien obligé avec les deux autres. 1.2. Selon Platon Pour le philosophe Platon, en revanche, le nom double tend à revêtir une signification double. Par exemple, dans un long développement sur les noms des dieux dans le Cratyle, le nom de Poséidon, dont l’origine confond encore aujourd’hui les savants, offrait pour Platon deux étymologies : soit le posi-desmon, « celui qui est enchaîné par les pieds », soit le polla eidotos ou le polla

l’un après l’autre ; exemple : "Mon premier est un animal, mon second est un abri, mon tout est un jeu de mot ; réponse : chat+rade=charade". • Un cratylisme : croyance dans un symbolisme naturel et figé des sons (nom issu d’un dialogue de Platon, le Cratyle). • Une contrepèterie : phrase changeant de sens, après permutation de lettres ou groupes de lettres ou phonèmes. Le résultat a en général une connotation grivoise ou scatologique ; exemple : "J'ai le sang qui bout." devient "J'ai le bout

fresques). 2 : La dissimulation volontaire -On peut donc cacher sa pensée. La pensée est présentée comme antérieure à la parole, et elle peut choisir de ne pas se montrer. Platon montre par la théorie des Idées que le langage et nous-mêmes évoluons dans le monde des phénomènes (le mot n’est pas totalement la chose, cf Cratyle), dans la « caverne » ; la vérité est réservée aux Idées et sa possession (momentanée) aux philosophes. Notre réalité sensible et phénoménale est donc le lieu des opinions,

rencontre des difficultés à exprimer ce qu'elle ressent pour l'être aimé, cependant, pour elle, dans son esprit, il est clair qu'elle aime. Dans le Cratyle de PLATON il est affirmé que par les mots, les paroles, la pensée la plus secrète, la plus intime serait dénaturée. La pensée et le langage seraient hétérogènes gênant ainsi l'expression de la pensée. Platon affirme également que la pensée serait un monologue intérieur. C'est à dire que le langage ne saurait exprimer ce que la pensée ferait ressentir

PLATON On a pu écrire que toute l’histoire de la philosophie se résumait à une série de notes en bas de page apposées à l’œuvre de Platon. Si pour certains il a déjà tout dit l’être travaillé par le négatif et par la différence, la pensée transcendantale et les concepts a priori, la sublimation de l’énergie érotique, la grammaire des propositions, d’autres réduisent sa pensée à quelques thèses aisément critiquables : le réalisme des Idées, le dualisme de l’âme et du corps, la contemplation d’un

d’idées générales : apparition d’un langage abstrait, exprimant des besoins rationnels. Autrement dit, le langage a exprimé le besoin du corps, puis le besoin de l’âme et enfin le besoin de la pensée. Les langues proviennent alors des besoins. Platon, Cratyle → deux hypothèses : l’origine naturelle du langage : les mots évoqueraient la nature des choses qu’ils désignent (onomatopées) ; l’origine conventionnelle du langage : les hommes se seraient mis d’accord sur le sens des mots. Cette hypothèse

n peut dire que c’est au moins à partir du Cratyle de Platon, que la philosophie s’est occupée du langage: de son origine, de ses fonctions, du fondement de sa capacité à exprimer des significations ; et plus particulièrement des différentes «parties du discours» et de leurs fonctions, des différents types de relation sémantique, du rapport entre langage et pensée, langage et monde externe, langage et société humaine, et d’un très grand nombre d’autres problèmes à propos desquels le langage est pertinent