Le Doute Dans La Personnalité Juridique

Les 6 premiers articles du Code Civil détiennent la première place, la plus importante. « On ne peut déroger par des conventions particulières aux lois qui concernent l’ordre public et les bonnes mœurs. » - Art. 6 du Code Civil Aucun acte juridique résultant de la volonté individuelle ne peut contrarier l’ordre public et les bonnes mœurs. On déduit que la volonté individuelle est soumise à la volonté générale qu’incarnent les lois qui intéressent l’ordre public et les bonnes mœurs. L’intérêt

commercial : du code des « boutiquiers » au droit économique On peut prendre deux définitions du concept d'entreprise. Certains définissent l'entreprise comme l'organisation unitaire d'éléments personnels, matériels et immatériels rattachés à un sujet juridique autonome poursuivant d'une façon durable un but économique. D'autres la définissent comme étant « une organisation indépendante et durable dans laquelle une ou plusieurs personnes produisent ou distribuent des produits ou des services avec l'aide

certain l’assimile à des prérogatives individuelle, d’autre l’assimile a des interdits sociaux -> droit de tuer, de violer, fumer des pétards. Ces 2 visions sont totalement opposées mais ne sont pas tout à fait fausse ni vraie, on peut en terme juridique dire que les interdits sociaux relève de droit objectif et que les prérogatives individuelles relève des droits subjectifs Droit objectif : c’est un ensemble de règles qui gouvernent la conduite de l’Homme en société et qui régit les rapports entre

CHAPITRE 1 : La détermination des personnes. Personne : Sujet de droit doté de la personnalité juridique c'est à dire «  l'aptitude à être titulaire de droit et assujettis à des obligations ». Vient du latin persona qui désigne le masque → pièce de théâtre. Donc en se référant à cette étymologie on peut parler du rôle social de la personne. Dès lors que ce rôle est mis en avant on comprend alors que la personnalité puisse être acquise par des personnes qui ne sont pas faites forcément de chair et

biens privés. !!Une entreprise n’est pas une Société. La société est un outil créé par le droit pour exploiter une activité économique !! B) Nature juridique de la société. La société est- elle un contrat ou une institution ? Deux conceptions : - Classique Contractuelle => définie par art. 1832 CC donc pour les rédacteurs de 1804 pas de doute sur sa nature contractuelle. « Contrat par lequel… ». Conception confortée par plusieurs éléments (Société soumise aux mêmes conditions validité qu’un

de droit sont appelés des personnes. On peut dire que la personnalité est donc l’aptitude à être titulaire de droits (et corollairement, d’obligations). Il existe juridiquement deux sortes de personnes : Les personnes physiques, qui sont celles dont l’existence ne fait aucun doute (les individus). Les personnes morales, qui sont des fictions, souvent des groupements de personnes physiques, auxquel(le)s le droit accorde la personnalité de manière spécifique (sociétés commerciales, asbl, etc…)

siècle, donne lieu à sa théorisation dans la pensée politique et juridique. A l'heure de la mondialisation, se pose naturellement le problème de concept d'Etat, notamment l’évolution de l’Etat unitaire, forme la plus répandue dans le monde. Par Etat unitaire, on entend le principe d'organisation d'un Etat au sein duquel une volonté unique s'exprime tant du point de vue de son agencement politique, que de son ordonnancement juridique. Ici, nous nous intéressons à son évolution, c’est à dire à sa

Constitution affirmant les droits fondamentaux individuels. Selon la conception classico-moderne, qu’elle soit libérale ou républicaine, on admet que le peuple s’incarne dans la nation, que la nation est le peuple en corps, et que l’Etat en est la personnalité juridique ainsi que l’élément de volonté, d’action et de responsabilité politiques, qui confère à la nation sa qualité d’ « être-reconnu » dans le milieu des relations entre Etats souverains. Mais, cela étant posé, se repose le problème de la limite

sanctionnée : 12 Section 2 : La règle de droit et les autres règles d'organisation sociale : 12 I : Les règles religieuses : 12 II : Les règles morales : 12 III : Les règles de conduite : 13 Section 3 : Technicité du droit : 13 I : Le raisonnement juridique : le syllogisme : 13 II : Le raisonnement sur la règle de droit : 13 III : Le raisonnement sur les faits : 14 A : Les présomptions (article 1349 du Code civil) : 14 B : Les fictions : 14 IV : Les raisonnements sur la qualification : 15 V :

cours du 1° semestre concerne les sujets de droit, c'est-à-dire les personnes et les droits de la personnalité. Le cours du second semestre concerne le droit de la famille. Qu’est ce qu’une personne ? Dans le langage courant c’est un être humain, cela correspond à une réalité biologique. Dans le langage juridique c’est une entité apte à supporter des droits et des devoirs. La personnalité juridique est l’aptitude à être sujet de droits et d’obligations. Si toutes les personnes humaines sont