Le Fait Personnel Fautif

Droit des obligations. Un fait juridique : fait auquel la loi attache des effets de droit indépendamment de la volonté des parties. Le 1er type est la responsabilité civile extracontractuelle et le 2ème type est les quasis contrats. Il existe une fonction commune à ces deux types de faits juridiques qui est le rétablissement de la consistance d’un patrimoine dans l’état dans lequel il était avant la survenance d’un événement donné. Dans le cadre de la responsabilité extracontractuelle cet événement

Texte n°1 pour le BAC : L’épitaphe de VILLON ou « Ballade des pendus » Un épitaphe est une inscription funéraire, sur une tablette de marbre, de métal. Adoptait par un chapelain ( homme d’Église ) dont il prend le nom : VILLON fait des brillantes études mais malgré cela, il mène une vie de débauche, fréquente les cabarets , les prostitués et il tue un prêtre à cause d'une femme. Il récidive quelques années plus tard et est emprisonné et condamné à mort. Mais contre toutes attentes

matières 2 Définition du licenciement 1 3 La justification du licenciement 1 3.1 L’exigence d’une cause réelle et sérieuse 1 4 Deux types de licenciements : licenciement pour motif personnel et Licenciement pour motif économique 3 4.1 Le motif personnel de licenciement 3 4.1.1 La notion de motif personnel 3 4.1.2 Le licenciement pour motif non disciplinaire 3 4.1.3 Le licenciement pour faute 4 4.2 Le motif économique du licenciement 4 4.2.1 Les difficultés économiques ou mutations

parMaitre Adrien SERRE111 LE LICENCIEMENT POUR MOTIF PERSONNEL 11A ne pas confondre !Le droit du licenciement ne s'applique pas :- à la rupture de la période d'essai ( art. L 1231-1 al. 3) ;- à l'échéance ou lors de la rupture avant terme d'un CDD et a fortiori d'un contrat de travail temporaire.De même, il ne faut pas confondre :- licenciement individuel et licenciement pour motif personnel. Un seul salarié peut être licencié pour motif économique, la procédure

responsabilité civile extracontractuelle peut résulter soit du fait personnel soit du fait des choses ou soit du fait d'autrui, sous réserve des régimes spéciaux de responsabilité. (loi de 98 sur les produits défectueux, loi de 85 sur les accidents de la circulation) Notons également que pour obtenir réparation, il est impératif de démontrer l'existence d'un fait générateur, d'un dommage réparable ainsi que du lien de causalité. Le fait générateur sera développé plus en détails dans la suite de ce

aux contre-mesures étatiques : La règle est que, sauf engagement contraire, les états disposent individuellement des moyens de faire cesser l’application de la règle de droit pour préjudice ou d’obtenir réparation des dommages qu’ils ont subi du fait d’un autre état. Chaque état a le droit de faire respecter son droit par des contre-mesures, à condition de ne pas user de la force. Chaque état apprécie pour lui-même sa situation juridique vis à vis des autres. En pratique, les états ne se précipitent

des pvs pub (ex : SMIC) : ces relations restent privées : Dt du T. Relations collectives du travail Derrière chaque salarié : personnel, collectivité de travailleurs. Parmi préoccupations individuelles : préoccupations communes. Relations collectives du travail vont être régies par le Dt du T : Négociations collectives : négociations pour l’ensemble du personnel entre l’employeur et les délégués syndicaux et les représentants syndicaux. Conclusion d’un accord d’entreprise qui vaut pr tte l’entreprise

Séance n°10 : les régimes de responsabilité du fait d’autrui. Commentaire d’arrêt : arrêt rendu le 5 octobre 2006 par la cour de cassation. Souvent la pratique d’un sport implique des risques. Mais la majeure partie du temps ces risques sont considérés comme acceptables, dès lors qu’ils sont normaux et inhérents au sport pratiqué. Cependant lorsqu’un risque est considéré comme anormal, il est susceptible d’engager la responsabilité civile des participants tels que les joueurs, les associations

TD CIVIL 13 COMMENTAIRE, LA FAUTE DANS LA RESPONSABILITE DU FAIT PERSONNEL COMMENTAIRE DOC 2 : CASS. CIV., ASS. PLENIERE, 9 MAI 1984. Le droit civil français considère que, pour qu'il y ait l'existence d'une faute, l'auteur de celle-ci doit être pleinement conscient de la gravité de son acte. Mais la jurisprudence a connu une certaine évolution, qui a élargi la notion de faute à des personnes sans discernement, comme le montre l'arrêt étudié en date du 9 mai 1984. En l'espèce, une jeune fille

était l’auteur d’une faute, et la mise en jeu de sa responsabilité civile sanctionnait alors une action personnelle illicite et, à dire vrai, tenue pour moralement condamnable. La place de l’article 1384 du Code civil et le principe qu’il posait à titre liminaire : « on est responsable non seulement du dommage que l’on cause par son propre fait mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre ou des choses que l’on a sous sa garde », illustraient bien, après les