Le Hasard et la Nécessité

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désir des protagonistes. Dans la première moitié du récit, le principe qui domine le récit est celui du hasard, et ce hasard est à chaque fois celui de la rencontre d'un lieu qui favorise la séduction indépendamment de la volonté des protagonistes. Quels sont ces lieux? C'est d'abord l'Opéra où le narrateur, qui attend sa maîtresse dans sa loge, se fait aborder par « la décente Mme de T...». Le hasard de cette rencontre «inspire» à Mme de T... une idée qu'elle met aussitôt en œuvre: «Elle [...] me fait

l'histoire, nous risquons fort bien de ne pas la saisir. C'est donc la question aussi de la compréhension de l'histoire qui est abordée dans cet extrait puisqu'il s'agit d'aborder la nécessité de s'attacher " aux faits ". L'objectif constant de Cournot consiste à exhumer les causes régulières parmi les anomalies capricieuses du hasard aussi bien dans les événements de la nature que dans les événements historiques. Selon lui, l'histoire se charge de manifester à la longue la subordination des causes accidentelles

l’œuvre. Exemple : Ce qui amène les gens à philosopher selon Jaspers, c’est d’abord l’étonnement. Nous regardons l’univers qui nous entoure et nous sommes incités à le comprendre. On s’éveille ainsi à la connaissance en échappant aux liens de la nécessité vitale tout en prenant conscience de notre ignorance. On pose des questions pour lesquelles on se contente de réponses satisfaisantes. Suite à cette étape de l’étonnement surgit le doute. Des connaissances s’accumulent, mais pour peu qu’on se livre

Digeste, met en avant un travail de compilation d'autant plus important qu'il représente un effort intellectuel sans précédent («personne avant nous n'avait espéré pouvoir réussir ce qui paraissait tout à fait impossible à l'esprit humain») ayant nécessité la collaboration d' «hommes illustres» sous la direction d'un grand jurisconsulte byzantin, ancien questeur et ancien consulte, Tribonien (dont la qualité est reconnue par Justinien qui le nomme «homme illustre»,«l'illustre Tribonien»).Le projet

n’apparaît donc pas comme un mélange de parties incohérentes et sans rapport les unes aux autres. A l’inverse, elle semble être un composé de parties liées entre elles pas une certaine ressemblance au tout qu’elles forment. Ce n’est donc pas le « hasard », donc une part aléatoire qui règnerait dans la nature mais la finalité. Donc la ,nature serait un ensemble harmonieux dans lequel tout est a sa place et rien ne serait sans raison. Rien, dans la Nature n’est donc accidentel, mais tout est dirigé

pièce permet de l’apprécier et de la comprendre mais nous verrons d’autre part que la représentation théâtrale est essentielle pour jouir pleinement d’un drame. Pour l’étude de cette pièce, nous utiliserons La leçon d’Ionesco, Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux, Kean de Dumas, Vocations de Baudelaire, Rhinocéros d’Ionesco, la représentation de L’illusion exquise, le Malade imaginaire de Molière ainsi que la mise en scène de Dom Juan par Daniel Mesguich. Les didascalies sont des indications

du mouvement Dada 1. Humour : l’absurde, l’ironie, le sarcasme 2. Désacralisation de l’art Enlève le caractère sacré de l’art. Pourquoi? Font intervenir le hasard, la spontanéité dans l’art. Habituelle l’art est le fruit d’une grande étude, réflexion, élaboration etc. Utilisation de matériaux ou objets utilisés au hasard. Objets industriels comme matériaux. L’inverse du traditionnel où l’on utilise des matériaux nobles et des outils de qualité. Assemblage d’objets hétéroclites (combinaison

enseigna jusqu’à la mort de Platon. Le Lycée: école qu’Aristote fonde après la mort de Platon. Épicure eut conscience qu’il lui fallait mener sa bataille philosophique contre ces deux écoles et contre la culture dont celles-ci étaient l’expression. Nécessité d’opposer un système philosophique solide aux pratiques de ces deux écoles. Chez Platon et Aristote, il n’y a pas de distinction entre morale et politique. Le philosophe s’adresse à la cité. Mais la cité est morte. Il faut donc une nouvelle philosophie

culturelle. Idée d’une solidarité chez les vivants au XX° plus qu’une sélection naturelle. Notion importante pour penser le vivant. II] Finalité et normalité biologique A- Le vivant entre hasard et nécessité Deux notions importantes pour penser le vivant bien que le hasard soit moins évidant. On procède plus par une explication de ce que nous sommes par le résultat de quelque chose. Quand on pense le vivant il y a trois caractéristiques essentielles. - la morphogenèse