Le Haut Représentant De La Pesc

vote majoritaire Effritement de l’unanimité = prévalence de la logique communautaire Sorte de frein à la logique interétatique qui gagne du terrain à chaque nouveau traité de révision (ntmt Lisbonne) 1.1. Les membres du Conseil : Composé des représentants des États membres au niveau ministériel, qui sont « habilités à engager le gouvernement de cet État » (Art 16 Traité de l'Union Européenne TUE) 1.1.1. La qualité de membre : Critiques du manque de légitimité du Conseil des ministres, non élu au

propose en 1922 un projet de fédération européenne fondé sur des abandons consentis de souveraineté par les états. Pour réaliser ce projet il va y avoir un mécanisme qui va s’appeler « l’Union paneuropéenne » en 1923 mouvement mis sous le patronage de hautes personnalités. Et la présidence va être confiée à Aristide Brilland. Le 7 septembre 1929 Aristide Brilland propose devant la SDN de créer une fédération européenne. Ce projet qui devait être une OI va être refusé par la GB en revanche un certain nombre

Messine pour la succession de Jean Bonnet mais à cette occasion les Etats du Bénélux propose de relancer la construction européenne. On constitue un groupe de travail autour du ministre des affaires étrangères belge Spaak. Sortir de la crise par le haut en proposant de franchir une étape importante : traité ensemble de toutes les questions économiques>communauté économique. C’est un saut quantitatif important. Deux traités sont signés. Un créant la communauté économique européenne et l’autre créant

d’ « une » politique de défense commune : alors que les politique extérieures (commerciale, relations avec les organisations internationales, aides au développement ou humanitaire) de l’UE utilisent la manière communautaire, sa politique étrangère, la PESC (Politique Etrangère de Sécurité Commune) -dont la défense fait partie- utilise la méthode intergouvernementale. Ces constatations factorielles et structurelles amènent à s’interroger sur les vraies capacités de la « Défense européenne ». La défense

doivent disposer d’une marge d’autonomie par rapport aux états. Soit ces organes prennent les décisions contraignantes à la simple majorité des états membres soit ces organes sont composés de personnes indépendantes des états membres, pas des représentants des états. * Cette organisation doit prendre des normes pourvues d’un effet direct sur les ressortissants des états et non pas pour les états membres. * L’autonomie financière. * Impossibilité de retrait unilatéral de la part des états

xénophobie. Enfin, parmi les innovations les plus remarquables du Traité, figurent celles qui concernent la légitimité démocratique de l’Union. Le second pilier Il recouvre les dispositions concernant une politique étrangère et de sécurité commune (PESC). Cette politique est définie et mise en oeuvre par l’Union et ses États membres. Ses objectifs visent la sauvegarde des valeurs communes, des intérêts fondamentaux et de l’indépendance de l’Union, le maintien de la paix et de la sécurité internationale

commission, c'est un rôle important dans la CEE, dit que contrairement aux apparences, il a lancé quelque chose de plus compliqué : « l'Europe est un objet politique non identifié ». L’union européenne à une organisation interne : réunion des représentants des états : le conseil des ministres de l'union institution qui représente l’institution de l'Europe elle-même : la commission. Le conseil peut avoir une idée, qui sera mis en forme par la commission. Pour que le plus fort de donne pas son

nombre de ses actes va changer. En effet, comme le prévoit l’article 16, paragraphe 4 du traité, dès le 1er novembre 2014, pour être adopté, un acte devra obtenir une double majorité et recueillir le vote favorable d’au moins 55% des États membres représentant au minimum 65% de la population de l’Union. Maintenant, les actes reflèteront la volonté de la majorité réelle des États et des citoyens, la représentativité en ressort donc renforcée. Toutefois, il est prévu au paragraphe 5 du même article que

question du réchauffement climatique ». Photo : Barack Obama et les représentants de chaque pays au G8, le 18 mai 2012, à Camp David, Maryland. © AFP / PAR 7093149 Les membres du G8 sont les États-Unis, la France, l’Italie, l’Allemagne, Le Japon, la Russie, la Canada, le Royaume-Uni. Ce G8 a été créé en 1975 à l’initiative de la France. L’objectif de cette organisation internationale est de réunir une fois par an les représentants des pays dont l’économie représente 65 % du PIB international. Le Sommet

est avant tout ce respect du « gouvernement du peuple, par le peuple, et pour le peuple ». B. Des institutions représentant mieux l’opinion des peuples d’Europe. La seule institution de l’union européenne qui acquiert une réelle légitimité démocratique est le parlement européen. En effet celui-ci est le seul organe à être élu au suffrage universel direct. C’est l’unique représentant direct des peuples d’Europe. Pour assurer une plus grande place à la démocratie dans l’Union il apparait alors logique