Le Loup Et Les Bergers

est le premier à parler et a la plus longue tirade. Les autres sont donc plus faibles que lui, ils font ce qu'ils peuvent pour s'en sortir. La plupart se rangent du côté du pouvoir comme par exemple le renard qui incarne la flatterie et la ruse. Le loup utilise la faiblesse des autres pour s'en sortir. Les autres sont des hypocrites « au dire de chacun, étaient de petits saints » v.48. L'âne représente la franchise, la naïveté ainsi que la faiblesse ce qui va lui coûter cher. Dans cette fable nous

procédés stylistiques qui caractérisent la voix du narrateur et qui, établissant le primat de la « manière » sur la « matière », délestent de leur poids de réalité les canevas que La Fontaine emprunte à ses modèles. La voix du fabuliste : Le Loup devenu Berger 16Pour les Fables, la « gaieté » se manifeste essentiellement, on le sait, dans la superposition décalée du monde humain et du monde animal : décalée justement, imparfaite, étant donné l’hybridité plaisante de ces créatures, que La Fontaine

(le lion) à la suite de la contamination de la peste. Le but de cet interrogatoire est de trouver l’animal ayant commit une faute. Plusieurs animaux se succèdent alors, dont un âne qui avouera avoir mangé de l’herbe qui ne lui appartenait pas et un loup qui dira qu’il faut, par conséquent, le tuer. La morale qu’on peut tirer de cette œuvre est : si vous êtes puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendent blanc ou noir… Autrement dit suivant qu’on se trouvera soit éminent, soit insignifiant

servi qu’un meunier, comme moi, Tu ne serais pas si malade. » 8 Le Loup et le Chien Un Loup n’avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s’était fourvoyé par mégarde. L’attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l’eût fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille, Et le mâtin était de taille À se défendre hardiment. Le Loup donc, l’aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son

L'enfant a ainsi plus de facilitee a s'identifier a l'animal, il s'attache au mouton il sera donc encore plus touche quand un malheur arrivera a l'animal. L'hyperbole «  suivi jusques au bout du monde » illustre l'amour du mouton pour Guillot, le berger, l'amour propre a toute histoire d'enfant est donc present. Le lecteur en lisant la premiere partie du texte (l1-l11) la tension monte et le lecteur la ressent grace a l'utilisation du conditionel « qui m'aurai » « J'aurai » ; le lecteur ne sait toujours

 Schéma actantiel Résumé Un loup est un loup narre l’histoire de Charlemagne Tricotin, fils de sabotier faisant partie d’une famille de quintuplés vivant à Racleterre (France) au XVIIIe siècle. Au début de l’histoire, Charlemagne vit en compagnie de ses frères et sœur ainsi qu’avec ses parents. Puis, le père de Charlemagne décède de la rage. Les enfants Tricotin sont alors séparés. Alors, Charlemagne est envoyé au château pour y suivre l’éducation de la châtelaine.

crimes -Lion : a mangé des moutons et un berger => tue « force moutons » : gourmandise Berger : cruauté gratuite -Âne : a mangé de l’herbe Mobile : « faim », « l’occasion »,  « herbe tendre », « quelque diable » =>ton humble ≠ fierté du lion b) Les discourt faussés du courtisans : *Le renard (vers 34) : flatte le lion « trop bon roi », renverse le bien et le mal. => Les victimes deviennent coupable : « canaille », « sotte espèce » *Le loup (vers 56) : jugements sur l’Âne =>

modalisateurs dans son discours, ce qui montre une fois encore son éloquence maîtrisée, comme par exemple avec "je crois que" v.16, "je pense" v.30 - Et il énonce clairement ses pêchés, à savoir avoir "dévoré force moutons" v.26 et "quelquefois de manger le Berger" v.28-29, ce qui est un crime assez fort, et souligné par le rejet v.29 qui met en valeur ce crime. - Puis, le Lion finit en encourageant les autres à faire de même afin de trouver pire cas que le sien à faire accuser. Ce qui est d'ailleurs mis en

Le Loup et l’Agneau Il s’agit de deux animaux : un agneau et un loup. Le loup qui est affamé arrive à un ruisseau et aperçoit un agneau chétif en train de s’y désaltérer. Il lui demande alors plein de rage ce qui lui permet de troubler sa boisson. L’agneau répond en argumentant (=discours argumentatif) qu’il boit en dessous du loup et qu’il ne peut donc pas troubler l’eau du loup. Le loup ne pouvant pas répondre à cela dit alors que l’agneau a dit du mal du loup l’an passé. L’agneau répond qu’il

lion notamment par le champ lexical de sa cruauté : appétits gloutons, dévoré force moutons, manger Le Berger » * ruse et flatterie du renard par le jeu des hyperboles «vous êtes trop bon roi », trop de délicatesse » « beaucoup d’honneur » * naïveté de l’âne par ses propos totalement décalés par rapport à celui du lion « l’herbe tendre », « tondis le pré de la largeur de ma langue » * loup, assoiffé de sang dans son discours rapporté indirectement sous le jeu de l’énumération : « ce pelé