Le Mode De Vie Des Citoyens Atheniens

- L’invention de la citoyenneté dans le monde antique 7– 8h Mise en œuvre Questions obligatoires Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve-IVe siècle av. J-C.) - La participation du citoyen aux institutions et à la vie de la cité : fondement de la démocratie athénienne. La démocratie vue et discutée par les Athéniens. - Citoyenneté et empire à Rome (Ier- IIIe siècle) L’extension de la citoyenneté à la Gaule romaine : les tables claudiennes. L’extension de la citoyenneté à l’ensemble de l’empire

voire à la soumettre de force à un mode de pensée qui n’est originellement pas le sien ? Différent = contre ? L’idée d’une démocratisation forcée des peuples pose à nouveau la question de la barbarie et de la qualification hâtive de ce qui est différent comme nécessairement inférieur. II s’agit vraisemblablement d’un manque de tolérance imputable à l’habitude européenne d’être forcément détenteur de la seule vérité. Retour historique : Le citoyen athénien était par essence un homme libre, ni

rationalisme peut se définir comme une doctrine d’après laquelle rien n’existe sans sa raison d’être, cette raison d’être est accessible à l’entendement humain, c'est à dire grâce à la raison. L’idée que l’intelligence peut percer tous les mystères de la vie, cette idée est née en Grèce. Toutes les civilisations se sont posé cette question et y ont répondu grâce à la religion, en recourant à des vérités indémontrable et indémontré. Les grecs ont donc inventés la mythologie. Ils nous ont donné de nombreux

l’état. Il y a plusieurs moyens pour classer des personnes, en l’occurrence on peut prendre en compte le critère de la citoyenneté. Nos anciens, les romains, grecs et même avant, faisaient déjà des différences en ce qui concernent les personnes, les citoyens, selon les pays par critère de liberté, si ces personnes sont libres ou pas. Il y a toujours, qu’on le veuille ou non, une hiérarchisation des statuts car juridiquement tout homme n’en vaut pas un autre. Jusqu’en 1848 il y avait une distinction

Le multiculturalisme s’oppose-t-il au principe républicain d’égalité ? Le principe républicain d’égalité L’émergence de l’idée moderne d’égalité On considère que ce st les grecs qui au Vème siècle avt JC pratiquent les 1ers l’égalité (démocr athénienne). Ce st les progrès de la pensée individualiste qui inspirent l’égalité ac le siècle des Lumières. +Dans Le Contrat Social, J. J Rousseau énonce les principes d’une égalité contractuelle. +DDHC de 1789 : « Ts les hommes naissent libres et égaux

trois parties. La première traite de la rupture moderne dans la tradition et du concept d’histoire. La seconde partie met en exergue deux principaux concepts politiques qui sont l’autorité et la liberté. Puis la dernière partie tente d’appliquer le mode de pensée éprouvé dans les deux premières parties du livre aux problèmes actuels et immédiats. I. La tradition et l’âge moderne. I Le commencement de notre tradition de pensée politique remonte aux doctrines de Platon et d’Aristote. Et pour

ensemble de règles de droit qui organise la vie politique et sociale. Les bases de notre droit proviennent à l’Antiquité romaine, les philosophes grecques y avaient réfléchis, sans faire de technique du droit. Progressivement le droit romain est tombé dans l’oubli, mais c’est au 11ème siècle que le droit romain est retrouvé en Italie, on commence alors à enseigner le droit suite à cela. Les expressions en latin datent du Moyen Age et non des romains. Mode de création du droit : le droit sort d’une

dont 1 méthodologique *Les fondements de la vie politique (4) *La vie politique en pratique (4) *Les paradoxes de la vie politique (4) La séance méthodologie : entrainement a l’examen. Partie 1 : La notion de pouvoir L’homme ne peut pas vivre seul. Il vie en commun car il ne peut pas faire autrement. Ce souci pour la vie commune c’est le politique. Sa finalité est de garantir la vie collective (sens large). Principal objectif : garantir la vie commune. En quoi il est indispensable ? A

distinction porterait plus sur les notions de démocratie directe et démocratie indirecte, puisque même dans les démocraties dites directes (et même dans la démocratie athénienne) le peuple n’exerce pas la totalité des pouvoirs puisque certaines fonctions importantes étaient exercées par des institutions autres que l’assemblée des citoyens. De cette façon, on remarque que dans tout type de démocratie, une dose de représentation est nécessairement présente, d’où le lien réalisé entre démocratie et régime

et politiques alimentant les opinions du peuple grec. Ainsi Cette opposition qui nourrit l'aspiration à faire valoir l'opinion populaire contre le jugement aristocratique a peut-être joué un rôle sous-estimé dans le surgissement de la démocratie athénienne. Les philosophes, considérés comme les porteurs des opinions individuelles éclairées, découvrent la vérité qu'ils transmettent au public. Ce sont ces vérités individuelles, émanant de sages éclairés, que l'on appelle "l'opinion publique". Plus tard