Le Monde comme Volonté et comme Représentation

L’Homme est-il détruit par ses désirs ? (certains désirs n’entament pas la peau ; d’autres si)    1) Qu’est-ce que le désir par rapport au besoin ? (Le désir comme preuve que l’homme est beaucoup plus complexe que l’animal) Le besoin, c’est la traduction d’un manque. On est dans le registre physiologique.  Le manque est ressenti comme « à combler ». Il y a une tension (du corps) qui peut aller de l’inconfort jusqu’à la douleur. On est poussé à sortir de cet état (besoin) pour en  atteindre

répéter que le bonheur est le but de la vie, qu’il faut donc tout faire pour être heureux, et qu’on peut estimer avoir bien vécu quand la vie qu’on a menée peut globalement relever de cette idée. La notion de but signifie qu'une volonté s'est déterminée par une représentation. Si le bonheur est le but de la vie, cela peut donc signifier ou bien qu'il y a un Dieu qui veut que la vie débouche sur le bonheur, auquel cas c'est plutôt du souverain Bien (union du bonheur et de la vertu) qu'il s'agirait, ou

ouvertes, indéfinies, ou encore métaphoriques, toutes sont sujettes à une situation entrainant des témoignages. Qu'elles soient photoreporters, artistes plasticiens ou cinéastes, nombre de personnes ont, quelle que soit leur époque, questionné la représentation des frontières. L'inventaire qui suit, s'il ne se veut fort heureusement pas exhaustif, a pour visée de rassembler, rapprocher ou encore confronter des travaux proposant un regard sur la frontière elle-même ou des notions associées. Qu'il s'agisse

et publics à venir faire de la ville une véritable cité du théâtre pendant un mois. Proposant de plus en plus de spectacles et de représentations au fil des ans, ouvrant le festival à de nouveaux arts, accueillant de plus en plus de compagnies et créant à la fois un OFF et un IN, le festival d'Avignon demeure l'une des plus grandes et célèbres manifestations au monde. Le festival fait parler de lui aussi par sa fréquentation qui attire toujours de plus en plus de public tout en ciblant les différentes

image. Basil a parlé de lui au chap. I comme d’un jeune homme aimant à être flatté, et manifestement égocentrique (il lui arrive de faire souffrir Basil par insouciance). b) Un Narcisse qui s’ignore encore Cpdt, Dor, encore jeune, n’est alors cst ni de sa beauté ni de ses aspirations. L’image flatteuse et l’avenir de jouissance que LH lui propose ne peuvent que séduire un tel héros, et trouver des résonances en lui. Dès lors, il s’abandonne à cette représentation de lui-mm qui devient l’objet de son

de l’État. Il faut noter que l’État n’apparaît dans l’Encyclopédie des Sciences philosophiques que dans la section consacrée à l’éthique (Sittlichkeit) que Hegel oppose à la moralité (Moralität). Bien que Hegel soit souvent présenté comme le philosophe de l’État, comme celui qui fait de l’État un absolu, on voit immédiatement que dans son système, tel qu’il est exposé dans l’Encyclopédie des Sciences philosophiques, l’État n’occupe qu’une position subordonnée. L’éthique est pour Hegel « la vérité

droit, avec des droits naturels (id est issus de notre nature, ou de notre essence). Comme humain, nous avons des attributions que l'État doit protéger. Parallèlement à cela, nous avons des droits positifs qui sont posés par une communauté historique et qui ont un caractère arbitraire (ce sont les choix faits par le législateur et qui n'ont donc pas de portée universelle). Autrement dit, il s’agit d’une volonté d'une société qui s’exprime et elle est donc par définition variable et singulière. Piaget

dit, plus que de l’esprit, de la volonté (faculté de l’esprit). La volonté est dite libre quand rien ne la pousse à vouloir ceci plutôt que cela.La liberté s’oppose, non seulement à la contrainte, mais encore,  à la nécessité (définition : ne pas pouvoir être autrement), et plus précisément, à la nécessité naturelle (définition : lois de la nature, réseau ou enchaînement de causes et d’effets), donc, à la nature.  En effet, ce qui est nécessaire en ce sens, comme par exemple, manger pour survivre

intègre une relation de pouvoir. Curtis réalise ce film et donne une image de l’indien qui n’est pas la réalité, il s’agit d’une reconstitution. Ainsi, les images des indiens ne sont jamais l’expression de leur réalité. C’est là une des premières représentations de l’indien au cinéma, d’un aspect culturel avec l’architecture et les costumes, cela est très riche. A partir de cela, l’indien va se véhiculer dans des images qui ne lui appartiennent pas. Extrait : L’ennemi silencieux, années 30, Carver :

Le désir Table des matières Introduction 1.Passions et raison 2.Désir et besoin 3.Désir et volonté 4.Désir et aversion 1.L'objet du désir 1.Une multiplicité d'objets 1.Le présupposé de la question 2.Le désir vise le plaisir 2.Le désir de vie 1.Approche phylogénétique (Darwin) 2.Conséquences existentielles (Schopenhauer) 3.Le désir de conservation (Spinoza) 4.La volonté de puissance (Nietzsche) 5.Le désir d'éternité (Platon) 3.Le désir de mort 1.La structure kamikaze