Le Monologue Shakespearien

universel et a écrit dans presque tous les domaines, il a rencontré Frédéric II de Prusse et Bach. Dans sa jeunesse, il écrit des poèmes fougueux comme « Prométhée ». Puis des drames historiques avec «  Götz von Berlichingen » marqué par modèle shakespearien. « Les souffrances du jeune Werther » : roman épistolaire du désespoir amoureux qui lui a permis de surmonter son chagrin d’amour. Homme d’équilibre et de nuances, animé par une grande bienveillance, il n’arrive pas à s’intéresser aux notions abstraites

- le primat et le rôle révélateur de l’action. * pour les personnages. * pour l’auteur. 2) Statut du personnage par rapport à l’action dramatique. - déshumanisation du personnage. - le personnage comme fonction ou comme être? (pb du monologue). - de quelle vérité s’agit-il? Celle de la vérité universelle de l’homme plutôt que du “véritable soi-même” 3) Le Moi révélé par le théâtre. - dépassement de l’anecdotique pour tendre vers l’universel. - révélation du Moi primitif, de la

l’ermite de Dorimon et Villiers le merveilleux, qui surgit au cinquième acte lors des apparitions qui précèdent le Commandeur. - De plus, à la variété des registres il convient d’ajouter le recours à la tirade philosophique, qui tend vers le monologue où le personnage commente en donnant sa vision du monde. Dom Juan s’explique volontiers (I, 2) : Sganarelle - Vertu de ma vie, comme vous débitez ! Il semble que vous ayez appris cela par cœur, et vous parlez tout comme un livre. Cependant, il

est le maître de la comédie « calme ». Il préfère le texte parlé au texte chanté. Morale : Il faut être modéré en toutes choses. Technique : La scène d’exposition tend à remplacer le prologue. L’aparté (réflexion à haute voix) remplace le monologue s’adressant au public. 3. Sénèque(-4/65, 69 ans). Le seul tragique romain qui nous soit parvenu. Tous ses sujets sont grecs mais la manière de les traiter est très romaine. Plaçant ses personnages dans des « situations limites » d’horreur

costume qu'elle aura : une toute petite fille, couette et meringue, l'air d'avoir 8 ans. Pour renforcer les goûts pervers d'Harpagon. Louise : Michel Serrault. Tom : A l'école encore une fois. On m'avait demandé de lire devant la classe le fameux monologue. Je m'étais dis que je pouvais chercher l'argent dans les trousses de mes camarades... Julien : Au collège. On avait regardé De Funès sur une télévision. 6   Myrtille : La toute première fois que je l'ai lu, le soir même où Ludovic nous a appris

conduit par son serment de vengeance : « Et, tout enfant, je fis / Le serment de venger mon père sur son fils » (93f). Dépossédé de lui-même et de sa propre volonté, il obéit à une voix qui lui dit de marcher. C’est dans le leitmotiv « je te suis » du monologue dans l’acte 3, scène 4, que cela apparaît le plus clairement : il établit un lien entre existence et dépossession, exprimé par l’homophonie entre les deux verbes « être » et « suivre ». Si don Ruy Gomez ancre son identité dans le rapport avec son

symboliquement « passer par les toits » pour rejoindre les lieux du bal. Cette transgression spatiale montre la fougue et le caractère intrépide de cette troupe prête à s’aventurer dans un lieu qui ne leur est pas autorisé, la maison des Capulet. Le fameux monologue de la reine Mab, porté par Grégoire Baujat, s’inscrit lui aussi dans une énergie remarquable. © Hervé bellamy (1d-photo.org) À partir du témoignage de Clovis Fouin, comédien qui incarne Tybalt (annexe 14), demander aux élèves de chercher dans le

monde (riches et pauvres) à sa cour et procure à ses convives tout l’éventail des divertissements et des aliments qu’il est possible de trouver à l’époque. ... à vous de lire la plainte de Tristan... (p. 35) 1. Les marques de l’émotion dans le monologue La fonction expressive du langage (voir les théories de Roman Jakobson) tient un grand rôle dans cette lamentation dont l’énoncé met en évidence l’investissement affectif du locuteur, Tristan. On relèvera : – les invocations à Dieu qui, récurrentes

Ils multiplient au cours des rééditions les expressions imagées : les comparaisons sont fréquentes, surtout avec des animaux ou végétaux . D’autre part, les Grimm ont modifié leurs éditions dans le sens d’insérer plus de style direct (dialogues ou monologues) ou d’interventions du narrateur. Et puis ils admettent que les contes subissent des modifications incessantes de leur forme et de leurs détails, et s’autorisent donc à remanier l’expression pourvu que le fond reste intact. Le problème vient du

l'ordre en place, comme dans les pièces d'Émile Augier ou d'Alexandre Dumas fils. Mais le dénouement peut aussi être impressionnant, comme celui de Les affaires sont les affaires, du libertaire Octave Mirbeau (1903), qui a parfois été qualifié de "shakespearien". Plusieurs comédies très connues de Molière sont des comédies de mœurs : Les Précieuses ridicules ou encore Les Femmes savantes mais aussi L'École des femmes et puis L'Avare. LES PRECIEUSES RIDICULES : Magdelon et Cathos, deux jeunes provinciales