Le Néo Taylorisme

place dans les usines Toyota dès les années 60 : organisation du travail plus flexible, qui permet aux ouvriers de faire remonter les informations concernant leurs besoins en pièces détachées, en couleur… Méthode qui marque le début de la fin du taylorisme. L’un des effets de ces réorganisations est de réduire la part d’emploi affectée au personnel d’encadrement. Les échelons intermédiaires sont aspirés vers le haut et plus souvent encore vers le bas. La condition ouvrière est transformée (S. Beaud

majorité des sociétés humaines, certains individus seront plus valorisés que d’autre, notamment s’ils ont des meilleurs résultats. On retrouve ce même système dans des sociétés aussi opposées que l’URSS et les Etats-Unis des années 30 (stakhanovisme/taylorisme, fordisme). Néanmoins, il peut aussi y avoir une favorisation sans que l’individu doivent faire ses preuve comme par exemple le fait d’être issu d’une famille aisée ouvrira plus de portes qu’être né dans une banlieue défavorisée (la politique actuelle

"gigantesque paradoxe" (Hobsbawm,L'ère des révolutions) 1 – Les raisons de l'attachement ouvrier aux formes traditionnelles d'activités économiques 2 – L'impossibilité de créer une véritable "classe ouvrière" dans la grande industrie 3 – Compromis "néo-libéral" 3. Dans la "névrose fin de siècle" (Jean-Marie Mayer) 1 – La grande dépression 2 – Deux réalités nouvelles du quotidien ouvrier : grève et syndicat 3 – A la croisée des chemins 4. Usine, banlieue, cité : l'ouvrier nouveau est arrivé

doit l’invention de notion « cadre fonctionnel ». Taylor a partir de ce moment a essayé de faire passer le taylorisme. Il a contre lui tous les syndicats. La réaction des syndicats est le freinage de la production. La résistance est si forte quand 1915 la interdit le congrès des Etats Unis chronométrage du temps de travail. Taylor meurt en 1915. Il faudra un long moment avant que le taylorisme rentre dans l’esprit des américains, alors quand France ça s’intégrera plus vite. En France c’est un polytechnicien

substitution entre les facteurs (montant de la production est limitée par quantité de facteurs) Deux facteurs sont substituables quand une même valeur de production peut être obtenue avec des combinaisons différentes de travail et de capital (modèle néo classique) > modèle keynésien 2 Facteurs fixes et facteurs variables Pour augmenter la production en courte période sans la prévoir, on doit distinguer des facteurs de production fixe et des facteurs variables. • Facteur fixe : quantité ne

de la paie et des besoins en personnel. Pendant le taylorisme, il faut le nombre de travailleurs pour le niveau de production désiré. Apparition du courant des relations sociales de 1940 à 1980. Les salariés étaient invités aux côtés des dirigeants pour trouver des stratégies pour être plus productif. On émergé des problématiques portant sur les conditions, la santé, la sécurité au travail. Ces thèmes n’existaient pas au temps du taylorisme. Apparait donc la dimension stratégique, valoriser le

régime professionnel est l’autre «trouvaille historique» (Lipietz) : incorpore les principes des corporations ou des métiers ⇒ règles formelles ou informelles : formation poussée. Formation d’une identité au travail, dvp des syndicats. A) Taylorisme, Fordisme et Toyotisme Taylor = lutte contre la «flânerie systématique». Préconise la double division du travail : verticale (conception par les ingénieurs, exécution aux ouvriers) et horizontale (parcellisation des taches, «one best way»)

l'adoption d’une nouvelle organisation du travail s’apparente à l’innovation de procédés dans la mesure où elle contribue à modifier la méthode de production ou de distribution. Le meilleur exemple est l’Organisation Scientifique du Travail avec le taylorisme et le fordisme, mais il y a aussi l’organisation du travail à flux tendus, l'invention des grands magasins (au XIXème siècle), le self-service dans la restauration, la concentration dans l’entreprise, les firmes multinationales constituant un monopole

ANDRÉ SIEGFRIED Cette méthode comporte 4 opérations, distinctes, mais coordonn ées, sont : qui — le recours systématique au machinisme ; —- le recours systématique à la série et à la masse ; — l'organisation scientifique du travail : planisme ou taylorisme ; — enfin, la. concentration de la direction industrielle ; le tout dû à une initiative générale et collective de telle- sorte que si quelques grands noms se distinguent, l'effort américain est en quelque sorte un effort national et anonyme. I.

besoin d’être actualisée, au moins sur certains points. C’est ce que j’ai fait, en me centrant sur une question qui me paraît cruciale entre toutes : celle de la prise en compte des institutions, telle qu’elle s’est affirmée dans certains courants néo-classiques contemporains, ainsi que dans l’approche française des conventions. C’est la raison pour laquelle j’ai ajouté au texte de Nagoya une section entièrement nouvelle (la section III) consacrée à l’étude des développements intervenus récemment