Le Néo Taylorisme

Taylor ou Fayol ont été les principaux architectes d’établissement de rapports de force clairs au sein d’entreprises hiérarchisées et bureaucratiques qui garantissaient la sécurité sociale aux employés. Aujourd’hui, soixante ans plus tard, le néo-taylorisme prône un nouvel esprit du capitalisme qui s’affranchirait des règles admises. La judiciarisation de la société passe par celle du monde du travail : souffrances et troubles psychosociaux au travail, apparus depuis le début des années 2000, sont

place d'un marché concurrentiel, régi par des règles moins strictes qu'en France, par exemple. Dans ce régime profondément libéral, l'Etat ne fait qu'encourager la liberté d'entreprise, et la généralisation pendant les années 50 du fordisme et du taylorisme: travail rationalisé et production de masse pour une consommation de masse. Ainsi vont se développer des immenses chaînes de production automobile à Détroit ou Los Angeles. Au niveau politique, la démocratie se traduit par un régime fédéral

salarial fordiste Le rapport salarial fordiste est un rapport qui marque le rapport mouvement ouvrier/patronat en France de 1945 à 1973. Ce rapport est marqué par un compromis, le mouvement ouvrier accepte le principe de la diffusion de l’OST, du taylorisme, en contre partie d’une augmentation du revenu du salaire et de la protection sociale. Cette diffusion de l’OST permettra un accroissement de la production de masse, de la productivité et l’augmentation du revenu permettra une consommation de masse

monétaire liée a la baisse de la masse monétaire (Friedman et les monétaristes) et au problème d'anticipation des agents (Lucas et les néo classiques). L'idée pour les libéraux : pour s'en sortir, il faut faire très attention aux interventions de l'état qui peuvent aggraver la situation. Cycles réels : RBC (Reel Business Cycles). Vont poursuivre les études des néo classiques. Ils pensent que se sont des chocs de productivité ou de technologie. Ex : choc de productivité => hausse du salaire réel

entretiens d'embauche, il faut trouver l'emploi qui convient le mieux au salariés et qui le rend plus productif. La dimension syndicale est importante dans la mise en place du taylorisme aux USA : les hommes issus de l'immigration ne savent pas travailler et en France, le contexte est différent : dans l'automobile le taylorisme est le moyen de lutter contre le syndicalisme (les compagnons à l'époque) des ouvriers qualifiés a qui ont enlève le pouvoir. En 1914/18, changement : les hommes sont au front

centre et définissent un enchaînement de procédés visant à " fabriquer " et à éduquer les enfants : " Salle de Fécondation ", " Salle de mise en flacons ", " Salle de Prédestination Sociale ", " Salle de décantation ", et les " Salles de Conditionnement Néo-Palvinien ". La visite continue dans les jardins qui entourent le centre et se termine par l’intervention d’un des administrateurs les plus hauts placés dans la hiérarchie de l’Etat Mondial, Mustapha Menier. Il explique aux étudiants comment vivaient

un effort de formation pour que les gens maitrisent l'innovation. De plus il faut souvent revoir l'organisation du travail pour cette nouvelle innovation et enfin il y a un temps d'adaptation. Ex : L'informatique avec l'organisation du travail. Taylorisme : division technique du travail verticale : séparation entre les exécutants (ouvriers spécialisés) et les concepteurs (ingenieurs). Horizontale : décomposition d'une tâche complexe en une tâche simple et répétitif confié à un ouvrier spécialisé

moyens de production qui en sont issus, un outil d’exploitation et de domination sans pareil. Le machinisme qui peut être utilisé pour dispenser les hommes des tâches les plus pénibles peut aussi être à l’origine de la pire des aliénations dans le taylorisme dont Charlie Chaplin fait une critique à peine caricaturale dans le filme Les temps modernes. Ainsi les moyens en armement mis en œuvre dans massacres de la première guerre mondiale comme la logique industrielle d’extermination des juifs dans

car ils ne cherchent pas à explique le fonctionnement interne de celle ci. 2-Les limites L'entreprise ne se résume pas à un seul producteur, c'est un ensemble social (collectivité). Il peut y avoir des conflits nuisible à son fonctionnement. Chez les néo-classique le producteur n'a rien à faire. On ignore ici l'essentiel des activités d'un chef d'entreprise (politique commercial, marketing, ressources humaines). Il n'a pas à réfléchir, il n'a qu'un seul objectif : maximiser le profit. Le producteur

travail toujours plus standardisé, plus répétitif et plus rationalisé. Reprenant les principes de base du taylorisme (tableau 5), Duval (1998) démontre que derrière les apparences trompeuses de structures à taille humaine, prospère depuis le milieu des années 1990, une organisation du travail héritée de Ford que nous pouvons qualifier de néo-taylorisme. Tableau 5 – Les principes de base du taylorisme 1. Standardisation des tâches 2. Réalisation d’une procédure écrite 3. Découpage des tâches en courte