Le Néo Taylorisme

technology) = potentiel qui excède les attentes premières des concepteurs, ex : internet (à l'origine, utilisé par le Pentagone puis diffusé dans le grand public) - Une révolution sociale = organisation du travail, liée au renouveau technologique. Ex: taylorisme + électricité, toyotisme + NTIC. 1ère révolution industrielle = factory system basé sur les machines à vapeur et sur le savoir-faire des ouvriers, "héritiers des secrets des corporations" (Coriat). L"électricité est tout d'abord apparue comme une

entreprises publiques, gérées par l'État. Les associations à but non lucratif, entreprises privées dont les bénéfices doivent être intégralement réinvestis. III. LES DIFFERENTES APPROCHES DE L’ENTREPRISE III.1. L’approche néo-classique de l’entreprise Dans l’optique néo-classique qui a longtemps dominé, l’entreprise est une unité de fabrication qui transforme un ensemble de biens en produits finis. Dans cette vision mécaniste de l'entreprise, sa structure n’est pas précisée ou ne fait pas l’objet

caractèristique de la Révo. -Rapports de travail avant conservaient une part d’humanité mais dans la RI mise en place organisation très sévère ! Les ouvriers vont êtres extrêmement surveillés, disciplinés il faut une OST (org. Scientifi. Du travail) Taylorisme : chaîne, ne plus dépendre de l ouvrier, l’ouvrier ne fait plus qu’une chose il peuvent le remplacer ! car il ne produit qu’une chose, la même, tous les jours. Militarisation du programme de production. Plus rien d’humain là dedans. Fordisme :

 Sommaire Introduction  3 I. Aperçu historique sur la gestion du personnel dans une organisation 4 1. L’école classique 4 a) Le Taylorisme et le management scientifique : 5 b) Ford et le modèle Fordiste de production :(Fordisme)  (1863-1947) 6 c) Le courant administratif de Fayol : 8 d) La bureaucratie Wébérienne : 8 2. L’école des relations humaines : 10 a) E.Mayo : Relations sociales au sein du groupe 10 b) Maslow et la hiérarchie des besoins : 11 c) La théorie des deux

plein »[9]. Le taylorisme ou fordisme est alors un modèle d’organisation de travail très répandu et rentable. Des nouvelles formes d’emploi apparaissent au fur et à mesure de profonds bouleversements conjoncturels, économiques et sociétaux. On peut regrouper en cinq paramètres les facteurs qui ont induits cette nouvelle organisation de travail : 1 La nouvelle compétition économique moderne Début des années 1970, les ouvriers rejettent les conditions de travail imposées par le taylorisme. Plusieurs

Ford puis génralisat° => après 45 : taylorisme = org majeure du L dans pays dév => p° en masse + rapport salarial stable (emploi quasi garanti + ( PW d’achat) - MAIS : déshumanisat° du L taylorien (cf. l’école des relat° humaines et E. Mayo) + manque d’intérêt => crise du L dans les 70’s => 2 mvts o Nouvelles méthodes de L (+ flexibles, + individualisées, + responsabilisantes) o Recomponsit° de l’org taylorienne (néo taylorisme) dans S, dans le cadre de la M° Avec

nombre d’ouvriers. Les métiers qualifiés fermés qui sont parvenus à instaurer une forme de « closed-shop », sont moins engagés. Fondements d’une pensée de classe séparée, d’une parole ouvrière sans intermédiaire. 2-3 : Le compromis « néo-libéral » Pour les néo libéraux, la grande industrie ne peut s’implanter n’importe où. Elle doit être maintenue à l’écart des villes. A la campagne, l’ouvrier bénéficie du patronage du chef d’entreprise et de la complémentarité du travail agricole. Les ouvriers

organisations Section 1 - L’entreprise vue par la théorie économique traditionnelle Section 2 – L’apparition de la gestion moderne 36 Section 1 - L’entreprise vue par la théorie économique traditionnelle §1 - Les précurseurs §2 – La boîte noire du modèle néo-classique 37 §1 - Les précurseurs L’entreprise est bien présente dans les écrits des « pères fondateurs de l’économie ». Mais : – n’est identifiée que par ce qu’elle produit – son existence et sa survie ne dépendent que de son environnement économique

enquêtes ont confirmé que l'implication est liée au concept d'appropriation. S'approprier un travail, c'est lui donner un sens, pouvoir le négocier et le modifier. Sans appropriation aucune organisation ne peut fonctionner. Attention dans l'absolu, le taylorisme ne conduit pas nécessairement à des résultats moins bons qu'une organisation plus participative. Il n'existe pas un modèle meilleur que les autres susceptible d'être copié. S'il est possible de s'inspirer les organisations qui ont le mieux réussi

trois formes (régulation par anticipation, par alerte, par erreur). B. La théorie du management Elle apparaît suite à la croissance forte du Japon. Le japon bénéficierait d'un avantage organisationnel. Il s'agit en fait de la critique du taylorisme. Cette structure reposait sur une main d'oeuvre sans qualification, or cette catégorie de la force de travail s'est amoindrie. Il s'agit de développer l'autonomie des salariés et leur créativité. Il faut également mieux utiliser les équipements