Le Parlementarisme Anglais Est Il Encore Représentatif

Démocrate, qui dit que l’état de nature est un état d’emprisonnement permanent, le contrat social doit permettre au citoyen de se libérer. Le citoyen se place sous la protection de tous (démocratie). Chez Rousseau, l’homme est bon et il devient encore meilleur avec l’éducation et le contrat social. Tout le monde s’engage avec tout le monde, il n’y a pas un profit à un tiers (contrairement à Hobbs). Weber : Il y a la nécessité d’assurer la paix sociale et les droits des individus via les théories

pays, (suisse, Italie ..) * Para 1 : la naissance du système représentatif au 18éme C’est surtout la fin de ce siècle qui nous intéresse, car c’est a ce moment-là qu’apparaissent les premières constitutions écrite, dans les colonies anglaise, en 1776, la constitution fédérale en 1780 en France en 1791 , on voit apparaitre sur le continent nord Amérique ou européen. A peu prés au même moment ce met en place le système représentatif, il existait déjà au Royaume-Uni , c’est le fait qu’il y ait des

le clergé et la noblesse réunis étaient supérieur en nombre et donc en voix. A l’automne 1788, le Tiers-Etat demande : - le doublement des députés du Tiers - le vote par tête, une voix par député. Pendant ce débat se crée un parti national ou encore patriotique. C’est un parti qui défend les intérêts du Tiers. On le qualifie de national car on commence à dire à cette époque que le Tiers c’est la nation.  En janvier 1789, une brochure apparaît écrite par l’abbé Sieyès : Qu’est ce que le Tiers-État 

régime parlementaire Britannique SECTION I : La grande Bretagne, berceau du parlementarisme Un processus historique A. Quelques repères historiques Le régime parlementaire anglais est né d’un long combat politique contre le roi d’Angleterre. Ce combat est né au 12ème et 13ème siècle de l’insatisfaction des vassaux du roi qui ne supportaient plus le roi et de payer des impôts. En 1215, les barons anglais ont obtenu par les armes l’octroi de la magna carta (la grande charte) de la

processus de démocratisation : l’extension du droit de suffrage en Europe occidentale a suivi des voix très diverses. Rocane distingue sur ce point les modèles anglais (processus lent et continue, pas de rupture et pas de retour en arrière. Ce modèle s’explique par l’organisation territorial précoce de ce pays et par la continuité des organes représentatif tel que la chambre des lords) et français (introduction abrupte du suffrage universel masculin suivie de retours en arrière comme en 1850 ou il faut avoir

d’hommes composant l’ensemble de la société. Cette abstraction et cette matérialisation bien particulières de la vie en société, elle aussi destinée à distinguer le Roi du souverain et du pouvoir, a pour sa part favorisé l’émergence du principe représentatif en vertu duquel le pouvoir est exercé, par mandat, par des représentants. Cela implique concrètement l’élection de représentants, tels que les députés, les sénateurs, le Président de la République etc. …, qui exercent cette fonction de représentation

1er ex : La constitution de la GB . Elle n'a pas de constitution écrite . Le syst. Anglais n'est pas régulé . Il ne fonctionne pas a partir de règle juridique mais à partir des conventions de la constitution. Ces conventions ne sont pas des règles juridique. Elle n'ont juridiquement aucune valeur mais elles ont une valeur politique. Or les règle les plus importante du fonctionnement du système politique anglais sont toutes des conventions de la constitution . 2 règle fondamental ==> le monarque

commune a des compétences parallèles à ça par exemple pour les bâtiments, entretien, etc. des agents de la commune sont employés pour s’occuper de cela. Le département prend en charge les collèges et la région les lycées. L’enseignement supérieur est encore différent puisqu’il relève directement de l’Etat [Dans une copie, il n’est pas judicieux de parler du département ou de la région puisque juridiquement ou techniquement, il n’est pas défini si l’on parle du conseil général ou du préfet par exemple

et corrompus, sinon bien plus encore, que ne l’étaient la Tunisie de Ben Ali ou l’Égypte de Moubarak, mais on n’entend guère s’exprimer à ce sujet ceux qui sont apparus, à l’occasion des événements de Tunisie ou d’Égypte, comme d’ardents défenseurs de toutes les émeutes en faveur de la liberté. On sent bien que nos États préfèrent le ferme calme garanti par les despotes amis à l’incertitude des émeutes. Mais dès lors que l’émeute se laisse interpréter comme, et encore mieux finit par être, un désir

de Dieu s'il n'est dieu lui-même (pharaon égyptien, certain empereurs romains, rois de France durant la monarchie absolue, tous sont des divinités ou des liens avec ces divinités). Les rapports entre le christianisme et la politique ont, et sont encore à certains endroits, considérables. -> La conception d'origine contractuelle*: Elle se met en place avec la philosophie des Lumières. Paradoxalement, c'est par le discours religieux, avec le calvinisme* au XVIème siècle, que l'on va remettre en