Le Petit Prince Argument

des "nègres". 1° IA : la couleur de la peau et la forme du nez : "noirs depuis les pieds jusqu'à la tête", comme s'il pouvait en être autrement ! On leur reproche d'être "noirs" par excès ! Puérilité de l'adverbe dans l'expression "nez si écrasé" (argument ad personam) 2° IA : l'âme : dérision et absurdité du rapprochement entre l'aspect extérieur et la spiritualité, la nature profonde de l'homme ; préjugé raciste : la "laideur" extérieure préjuge de celle de leur âme. 3° IA : Il accumule d'ailleurs

courant doctrinal : « les monarchomaques ». Ses partisans n’acceptent pas l’idée que le pouvoir souverain puisse être confié à un seul homme. Ce sont souvent des disciples de Jean Calvin grand réformateur protestant, ils estiment entre autre que le prince n’est pas réellement au dessus des lois et qu’il doit respecter d’une part la loi divine mais également gouverner en équité. Enfin les monarchomaques vont plus loin et imagine une monarchie élective et espère donner aux états généraux une place de

présentés de la même manière. |Argument principal 1 | |Ressemblances : En apparence, les deux auteurs cherchent à assimiler les Amérindiens en leur inculquant une partie du mode de vie des | |Français. | |Sous-argument 1.1

puisque les moralités sont les lois qu’on en tire. Le petit chaperon rouge : A travers ce conte, Perrault personnifie le loup et l’associe à un dangereux séducteur : contraire de l’honnête homme. Il montre aussi les dangers de la naïveté. Le petit poucet : Ce conte est plus réaliste et explicite que les autres. Il y a des références précises aux mœurs du 17° siècle et aux fonctions de la cour. Grisélidis : Le prince épouse une paysanne, Grisélidis qui est l’antithèse des femmes de

s’établit par la violence change de nature ; c’est lorsqu’elle continue et se maintient du consentement exprès de ceux qu’on a soumis : mais elle rentre par là dans la seconde espèce dont je vais parler et celui qui se l’était arrogée devenant alors prince cesse d’être tyran.      La puissance, qui vient du consentement des peuples suppose nécessairement des conditions qui en rendent l’usage légitime, utile à la société, avantageux à la république, et qui la fixent et la restreignent entre des limites

l’exercice du pouvoir du fait des crises de folie de son frère. Cependant, le pouvoir reste concentré dans les mains de Philippe de Bourgogne. Jean sans peur lui succéda en 1404. S’engage alors un bras de fer entre le premier pair de France et le premier prince de sang. Louis est assassiné le 23 novembre 1407. La France entre alors dans une période de guerre civile. En 1411 les combats s’en gagèrent entre les deux camps. Bernard VII, comte d’Armagnac soutenait les Orléans. Paris est occupé en alternance

beaucoup et s’intéresse à la politique. Il écrit De l’esprit des lois où il théorise la séparation des 3 pouvoirs. Dans le chapitre 15 de cette œuvre, il se fait l’avocat de l’esclavage. 9 petits paragraphes successifs incisifs défendent l’esclavage. Ton déterminé et péremptoire (sans contestation). Les arguments en apparence logiques se détruisent un à un et ridiculisent ainsi par une ironie féroce une pratique inhumaine dont la contestation s’inscrit dans un mouvement général de défense des droits

 et ainsi parler de  « classe ». Cela rappelle sa position de représentant élu. Karsky et Hoederer essaie de placer l’échange sur le  même  terrain :  chacun  écoute  l’autre.  Le  Prince  se  présente  comme  un  tiers  terme  pour  relancer  le  dialogue.     Le troisième mouvement commence avec l’arrivée du Prince. Ses mots, ses expressions (« un peu de rondeur  dans cet entretien ») font de lui la ‘ganache’ de l’entretien, celui qui n’est là que pour sauver sa propre peau.  En effet, seul le

rhétoriques à chaque fin d'argument « Savez-vous cela » ligne 5, « Savez-vous » ligne 21, « Savez-vous » ligne 22, « Savez-vous qui » ligne 33. L'orateur, de par ces procédés crée ainsi un rythme saccadé permettant de faire des pauses entre chaque argument.. De plus pour faire avancer son discours, contrairement au schéma classique, utilise ces questions « Tenez » ; « Savez-vous ». Grâce à ce procédé il met en valeur l'argument suivant, et permet de garder en haleine son public tout au long de son

Eduard III (petit fils de Philippe Le Bel). Exclusion des descendants d’une femme. La guerre de cent ans (1337). Combat d’idée autour du roi et de l’histoire. Les Anglais : Edit de 575 : si les fils viennent a manquer les filles peuvent succéder. Des personnages vont travailler pour construire une forme d’autorité à la loi salique => Demurger : cette loi salique est une pure construction. Edouard III est à la fois roi d’Angleterre et grand féodal, il fédère autour de lui tous les princes territoriaux