Le Petit Prince Argument

intitulé « Le magasin des enfants ». C’était une sorte de manuel scolaire qui faisait alterner leçon de sciences naturelles (exemple : sur les insectes), des récits bibliques et des contes (14) qui servaient de récréation aux petites filles qui avaient fini leur travail. Madame Le Prince de Beaumont leur auteur gouvernante et pédagogue voulait ainsi divertir éduquer les enfants. Ce conte met en scène une jeune fille qui se sacrifie pour sauver son père. Egaré dans la forêt, le père de la Belle se

leurs enfants et ceux de leurs amis. Au son d'une marche, les invités arrivent. Les bougies sont allumées, et les enfants se rassemblent pour la distribution des cadeaux. Clara, petite fille de la maison, reçoit de son parrain, comme cadeau, un casse-noisette en bois, à l'ancienne mode, ayant la forme d'une espèce de petit bonhomme vêtu à la hussarde pouvant casser les noix entre ses machoires. C'est son cadeau favori, mais son frère finit bientôt par le casser. Inconsolable, Clara se lève la

encore « Le Petit chaperon

Une analyse est une opération par laquelle on se propose de décomposer un texte pour en faire ressortir la structure interne, les éléments constitutifs afin de saisir l'articulation, la cohérence, la logique dans l'enchaînement des idées et des arguments. Si le résumé de lecture répond à la question quoi, l'analyse cherche à répondre au comment. La façon (méthode) dont un savoir est produit est tout aussi importante que le contenu informatif lui-même. Grâce à l'analyse on peut démonter le mécanisme

commencer son récit : Félix commence son récit à la naissance en insistant sur la blessure qu’il a reçu enfant. 1740 ( 1830 Prévost Rousseau Balzac Réf. à Rousseau qui a écrit un traité disant que la petite enfance compte bcp, que le contact affectif épanouie ( exhibition de la maternité. Félix insiste sur la cruauté, la souffrance, l’injustice : métamorphose végétale pr traduire cette maltraitance. Il s’interroge sur le secret de cette haine : « relever »

ridiculiser ses arguments dans une plaidoirie caricaturale et ironique. IDG 1 : Le plaidoyer organisé et documenté d’un esclavagiste Une thèse : l’esclavage est un droit des peuples européens, normal, nécessaire et n’a rien de choquant ; et des arguments variés…. un plaidoyer organisé : a. Structure : - une série de courts paragraphes = liste d’arguments en faveur de l’esclavage. Une cohérence, une progression ds l’organisation du plaidoyer et le regroupement des arguments , comme si se succédaient

diversité de religion qui a passé si avant, qu’ung mesme peuple, vivant soubs mesme prince, s’est clerement divisé en deux pars" ( p.35) . De ce mal, en ressortent deux autres : La haine et la malveillance quasi- universelle entre les sujets du roi ainsi que l’accoutumance à une sorte d’irrévérence envers le magistrat. Il développe l’idée selon laquelle un peuple qui n’est pas obligé de suivre leur prince en matière de religion dérive progressivement vers le fait de n’avoir que leur conscience

malgré l’intensité de l’engagement, mais passe par elle ; où la destruction en règle des arguments néo-libéraux de l’ère Reagan est en même temps l’occasion de mettre à nu, aux fins de la désamorcer, une forme d’intransigeance vide également à l’œuvre dans tous les camps. Ce qui ne veut pas dire, bien entendu, que tous les camps se valent : mais que tous devraient cesser d’utiliser « certains arguments qui ne sont en fait qu’autant d’engins spécialement conçus pour interdire tout dialogue »

complot, de faire mourir quelqu'un d'autre à sa place, et il essaie de la « ramener à la raison ». Mais elle reste sourde et impassible à ses arguments, elle « ne veut pas comprendre ». Il s'emporte alors, et fait ressortir ses propres défauts et ses faiblesses. Selon lui, il ne fait qu'accomplir son devoir, il n'a rien demandé... « Thèbes a droit maintenant à un prince sans histoire. Moi, je m'appelle seulement Créon, Dieu merci. J'ai mes deux pieds sur terre, mes deux mains enfoncées dans mes poches,

l’École française de Rome. Cette édition fut reprise en 1999 dans le numéro 26 des Cahiers lausannois d’histoire médiévale, assortie de la traduction de Martine Ostorero et d’un commentaire que Pierrette Paravy avait écrit pour l’ouvrage de 1979. Un petit mot sur l’auteur, Claude Tholosan, avant d’aborder précisément le texte. C’était un juge laïque dans la région du Dauphiné. Se réclamant licencié en Droit civil, il exerça les fonctions de juge-mage du Briançonnais de 1426 à 1449. Il s’est essentiellement