Le Pouvoir Hierarchique En Droit Administratif

SOMMAIRE * Introduction générale * Définition du Droit Administratif * Les rapports entre le Droit Administratif et les autres disciplines. * Les origines du Droit Administratif * Présentation Sommaire du Droit Administratif Africain * Les caractères du Droit Administratif Chapitre I : LE CONTROLE DE L’ADMINISTRATION Section 1 : Le contrôle non juridictionnel (les autorités administratives indépendantes) Paragraphe 1 : Le Statut Paragraphe 2 : Les attributions Section

fondement de la juridiction administrative Faut-il supprimer le conseil constitutionnel? Le principe d’égalité L’application de l’art 55 de la constitutionnel par le juge français Les directives communautaires Les ordonnances Le ministre et le pouvoir règlementaire Présenter une autorité administrative de son choix 1982 dans l’histoire de l’administration française Etablissement public et Etablissement d’utilité publique (le 11 janvier) Fiche interro de Mr Royannez (chargé de td année 2006-2007)

PARTIE III – Les moyens de l’Administration : l’acte administratif unilatéralL'Administration agit sur la base d'actes juridiques : la volonté de produire des effets de droit (obligations et droits) · Faits juridiques : des actes ou des évènements, volontaire ou non, dont les effets juridiques ne sont pas recherchés· Les actes administratifs unilatéraux= La loi du 10 août 2018 pour un État au service d'une société de confiance dite loi ESSOC : une forme de rééquilibrage de relation entre l'administration

d’obéissance hiérarchique (CE, 30 juin 1950, « Quéralt »). L’agent tenu de s’y soumettre ne peut les attaquer pour les faire annuler par le juge administratif (immunité juridictionnelle) ni les invoquer à l'appui d'un recours pour excès de pouvoir (non-invocabilité). Pour ces mesures de faible influence limitées à la quotidienneté des services, l’adage latin « De minimis non curat praetor » s’applique et justifie la position du juge administratif qui refuse de traiter les recours pour excès de pouvoir portant

les institutions politiques, celles qui sont relatives au gouvernement (cf. droit constit), puis les institutions brimées parce qu’elles relèvent du droit privé (associations). On ne garde que les structures composantes les administrations. Paragraphe 1 : La notion d’administration C’est un terme à sens multiple. Si on utilise le terme administration publiques, on commence à préciser qu’on se rapproche des pouvoirs publics et même là on constate que ce n’est pas une notion dotée d’un contenu

traditionnelles (qu'elles soient tribale, confessionnelle liée aux confréries ou encore «seigneuriale» caïdale) jusqu'aux maillages territoriaux les plus récents en communes et régions. Les différentes générations de formes et de territoires politico-administratifs nés de ces processus de recomposition furent d'abord la région coloniale, puis la province, la commune et la région postcoloniales, enfin nombre de périmètres furent distingués administrativement d'abord pour l'aménagement, puis plus récemment

arbitrage. Déconcentration = il n'y a pas transfert de pouvoir, il y a toujours un lien hiérarchique entre le autorités locales et les autorités centrales Décentralisation = transfère les pouvoirs d'une autorité centrale à une collectivité locale Les institutions administratives, elles sont publiques, car elles ont une notion d'intérêt général. Elles va avoir des moyens exorbitant du droit commun, pouvoir contractuel spécifique. Pouvoir formatif unilatéral (elle fait ses propres règles), des

lieu de distinguer le pouvoir législatif, le pouvoir judiciaire et le pouvoir exécutif, correspondant aux trois missions légiférer, juger et gouverner. 1. Légiférer 2. Juger 3. Gouverner § 2. Le droit administratif A. L’autonomie du droit administratif L’administration est parfois soumise au même droit que les particuliers (1) et parfois à des règles spécifiques (2). Ce sont ces dernières que l’on désigne sous l’appellation de « droit administratif ». 1. La soumission

72, dernier alinéa, de la Constitution du 4 octobre 1958 : « Dans les collectivités territoriales de la République, le représentant de l'État, représentant de chacun des membres du Gouvernement, a la charge des intérêts nationaux, du contrôle administratif et du respect des lois. » La procédure est précisée dans le code général des collectivités territoriales1. En raison du principe de libre administration des collectivités territoriales et de certains établissements publics, ce contrôle ne porte

empereur c'est d'abord le devenir , puis l'exercice du pouvoir par l'empereur, et enfin nous verrons qu'être empereur c'est aussi le rester. En effet, tout d'abord pour être empereur il faut le devenir et sous les macédoniens il y a différentes manière d'y parvenir. Il tout d'abord la notion de droit du sang, spécifique à la dynastie. A cela s'ajoute le droit d'usurpation qui est ici légitimité par dieu. L'on pouvait à tout moment s'emparer du pouvoir, mais l'on devait gouverner cependant sous le noms