Le Problème Socrate Nietzsche

questionnement »1. Son problème de base est, de certaine manière, que « depuis Descartes, le fondement était l’homme vu comme un sujet qui instaurait, par sa liberté, ses normes d’action comme son savoir, c’est-à-dire les conditions d’accès à l’objet »2. Selon l’auteur, avec « Karl Marx, Friedrich Nietzsche et Sigmund Freud, cette conception de l’homme, donc du fondement, perd toute légitimité »2. Le problème Dans le chapitre 1, Meyer se pose la question : « Qu’est-ce qu’un problème philosophique ? »

plusieurs dieux, sur les origines de l'univers, des organismes vivants, sur la nature de l'esprit etc. Que dois-je faire ? Il s'agit ici de toutes les questions relatives au bonheur individuel, aux valeurs morales, aux objectifs politiques, aux problèmes de société comme le clonage, l'euthanasie, l'homoparentalité, la peine de mort, l'utilisation des techniques nouvelles par exemple l'énergie nucléaire ou les OGM etc. Que m'est-il permis d'espérer ? Cette question est relative au sens de l'existence

pour la philosophie : Nietzsche Penser la vie : parvenir à cette lucidité sur soi et le monde qui ne masque rien du négatif et l'accepte sans résignation. Penser la vie c'est surtout parvenir à vivre avec cette lucidité sur la vie. Nietzsche admire Hegel dans sa volonté de penser le négatif, mais il le raille dans son effort pour canaliser le négatif dans le mouvement dialectique du concept qui selon lui a pour effet d'en effacer tout tragique. Vivre lucidement c'est pour Nietzsche affronter le tragique

la science. Il substitue à la loi des trois états sa propre vision du processus scientifique, dont les étapes principales sont le « réalisme naïf », le « rationalisme » et le « surrationalisme » (ou « rationalisme dialectique »)[10] . • Friedrich Nietzsche. Bachelard réinterprète les notions nietzschéennes de désir, de puissance et d'ascension[11] , qu'il applique à ses psychologies du feu et de l'air. • Lautréamont. Bachelard lui consacre un livre éponyme, dans lequel il développe sa théorie de la

est « instinct divin », c’est-à-dire comme représentation innée du bien et du mal. Saint Augustin affirme : « Je ne fais pas le bien que je veux, je fais le mal que je ne veux pas », pour dire que ce qui est immanent à la conscience c’est le bien. Socrate disait aussi que « Nul n’est méchant volontairement ». La règle de droit est contraignante. Elle prime en devoir et brandit la sanction en cas de non respect. La règle de droit ainsi perçue a une connotation de répression. Or, même si elle exprime

SUIS-JE CE QUE J’AI CONSCIENCE D’ETRE ? Introduction : Socrate répétait à qui voulait l’entendre que le début de la sagesse consistait en la lecture de la petite phrase qui se trouvait au dessus du temple de Delphes : « Connais toi toi-même. ». Cette exigence ne se ramenait pas à se replier sur soi-même, mais au contraire à se connaître, pour mieux comprendre sa propre existence au monde. La question du moi interpelle la pensée philosophique depuis qu’elle existe. Qui suis-je ? Cette

fondement même de ses principes, car sans vérité il ne pourrait pas y avoir de justice. Les individus ont un devoir de vérité les uns envers les autres pour permettre une bonne cohésion générale. Une société fondée sur le mensonge aurait quelques problèmes de fonctionnement. Le mensonge n’est jamais une base solide pour construire une relation, en effet prenons l’exemple d’un enfant qui a été adopté lorsqu’il n’était qu’un bébé, si sa famille adoptive ne lui raconte pas son histoire, l’enfant va grandir

encore, dans un régime démocratique, l’accès aux droits politiques, tel que le droit de vote, pour tout citoyen. Se demander si le régime démocratique convient à l’homme revient donc à se poser la question de l’identité de l’homme en société : le problème de l’homme moderne, qui, tantôt, faisant parti d’une collectivité, comme citoyen, tantôt à la recherche de ces propres intérêts, en tant qu’individu ou personne, c’est à dire comme une universalité qui a des droits et des devoirs irréfragables et

principale ». Socrate transporte l’antique tradition ou ordre athéniens sur le terrain de la raison (logos)= raison. Un esprit qui commence par la vacuité libère son intelligence. Il ne s’appuie pas sur un savoir entendu, il exige une justification. La dépossession de tout savoir est ici la condition à la recherche vraie. « La seule chose que je sache, c’est que je ne sais rien ». Méthode de l’ironie. L’ironie socratique est une méthode qui désigne la méthode par laquelle Socrate interrogeais ses

des réalités comme les autres ? Sujet 3 Un texte d'Aristote sur la responsabilit individuelle (la morale, la liberté Série ES Sujet 1 Peut-on en finir avec les préjugés ? Sujet 2 Que gagnons-nous à travailler ? Sujet 3 Un texte de Nietzsche sur la mauvaise action (la morale, la libert Série S Sujet 1 Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? Sujet 2 Que vaut l'opposition du travail manuel et du travail intellectuel ? Sujet 3 Un texte de Hume sur la justice Séries