Le Problème Socrate Nietzsche

b) L’art, réconciliation avec la vie Nietzsche reprend l’idée d’un art spirituel, mais en y ajoutant une interprétation toute singulière. Chez Hegel, en effet, si l’art est idée rendue sensible, alors que a philosophie donne accès à l’idée pure, débarrassée du sensible, il y a donc une hiérarchie. L’art serait une façon nécessaire mais imparfaite encore de cheminer vers la pure pensée que seule la philosophie est capable d’atteindre. Nietzsche rejette cette hiérarchie. Il ne s’agit pas pour

opinions de plus ou des opinions d'un genre spécial: fumeuses, contraires au bon sens, bizarres ou scandaleuses. Le problème est donc pour nous de comprendre pourquoi il en est ainsi, pourquoi les philosophes n'estiment pas l'opinion et en quoi ils peuvent prétendre, malgré l'avis de l'homme de la rue, de la conscience populaire, que leurs discours ont plus de valeur. Mais ce problème en pose un autre qui lui est lié : les philosophes ne sont pas les seuls à condamner l’opinion. La science aussi (et

fondements possibles pose problème. Si la nature de l’homme est elle-même une question, un enjeu de débat, si elle suscite des controverses et des affrontements qui ne cessent pas, alors elle ne peut être le principe susceptible d’assurer solidement l’exigence d’égalité. Après tout, il peut y avoir une philosophie de l’inégalité, une justification philosophique des hiérarchies et des rapports de pouvoir qui assujettiraient certains hommes à d’autres : de Calliclès à Nietzsche et au-delà, cette ligne

en classe. Une question, car celle-ci met individuellement et collectivement en posture de recherche pour y répondre, amène plusieurs solutions possibles, et suscite donc l’échange. Une question qui émane des intéressés eux-mêmes, ce qui résoud le problème de la motivation, car on a envie de chercher et de trouver une réponse à une question dès lors qu’on se la pose personnellement et vraiment. Pour des enfants jeunes, ces questions peuvent être recueillies spontanément, ou de manière plus formelle

travaillant, c'est-à-dire de préciser le rapport à soi qui se dessine dans le travail. C'est dans ce rapport que pourra se concevoir un renversement de la souffrance d'un labeur en un plaisir associé, sous divers rapports, au travail. Pour répondre au problème posé par le plaisir du travail, quel type spécifique de travail faut-il questionner ? Il semble expédient de restreindre tout d'abord le champ des recherches par une première définition d'ordre très général. Dans la première partie de son Éthique

à des biens inférieurs. V- Méthodologie de la dissertation Un intitulé de dissertation = toujours une question. Exemple : « La liberté est-elle le refus de toute contrainte ? » ( cette question est philosophique car elle contient un problème. Analyse conceptuelle en vue de l’instauration d’une problématique Liberté : 1. indépendance, non empêchement. 2. Autodétermination (=libre arbitre) On ne peut pas faire vouloir des choses qu’on ne veut pas. Contrainte =/= Obligation

athénienne, au Ve siècle av. J.-C., Socrate va révolutionner cette approche et introduire les méthodes qui resteront celles de la philosophie, en centrant ses réflexions sur les questions humaines, et non plus sur la physique, et en répandant l'usage de la dialectique et l'étude des définitions. C'est à Platon, dans ses célèbres dialogues, que l'on doit d'avoir transmis l'héritage de Socrate et popularisé le mot « philosophie », conçue comme une recherche de la vérité. Socrate est présenté comme opposé aux

Tout animal se nourrit. Mais qu'en est-il du repas à proprement parler ? Relève-t-il de la culture ou de la nature ? A priori, cette question ne semble pas poser de problèmes. En effet, si nous consultons un dictionnaire, le repas est ainsi défini : « ensemble d’aliments, de mets et de boissons pris en une fois à heure réglée. » Le repas semble donc relever essentiellement de la culture. La nature commande de se nourrir, la culture organise la manière dont nous nous nourrissons. De plus, selon

bonheur dans la capacité à satisfaire tout nos désirs sans modération. Le plus grand bien, c'est donc de réaliser l'ensemble de nos désirs sans être limité par la morale ou les lois. Seul le désir doivent dicter nos choix et notre mode de vie. Pour Nietzsche, la moral cultive la médiocrité, elle fait en sorte que tout les hommes soit identique. C'est le désir qui est à l'origine de l'innovation et c'est la moral qu'on nous inculque jeune qui est la faiblesse de l'homme. Il ne faut donc pas décider de

sensations et sentiments. De quelle manière exactement ? Texte n°1 : Kant, Anthropologie du point de vue pragmatique, I, 1, § 1. • Pour élucider le problème de l'unité et de l'identité de la personne qui nous occupe, il faut expliquer successivement à partir du texte les idées de représentation, de personne et d'unité. La représentation• Continuellement, des choses se présentent à moi dans le monde et