Le Proces De Socrate

met à l’abri des contraintes politiques, l’incorruptibilité des juges rémunérés non par les justiciables eux-mêmes mais par l’Etat, l’obligation de débats contradictoires qui donnent la parole de manière équilibrée aux deux parties opposées dans un procès. Chacun de ces garde-fous a pour vocation de protéger les juges de leurs propres faiblesses : les ambitions politiques, financières, les affinités personnelles. Les principes mêmes du fonctionnement judiciaire contribuent à en faire une institution

droit?DRT 1060 1DOCUMENT 1.1COMMENT RÉSOUDRE UN CAS PRATIQUE EN DROIT?IntroductionLe droit est une science sociale à part entière. Contrairement à ce que les gens pensent, le droitn’est pas qu’une affaire d’argumentation. Un avocat ne remporte pas un procès parce qu’il a eules meilleurs arguments, il faut aussi qu’il ait le droit de son côté, c’est-à-dire que la règle soitinterprétée d’une manière suffisamment proche de la loi pour que le juge suive le raisonnementde l’avocat. Certes, le droit est affaire

défaits en 480 ! 407-406 : Alcibiade de retour à Athènes est défait à Notion par le spartiate Lysandre puis destitué. Athènes vainqueur aux îles Arginuses suite à la destitution de Lysandre par Sparte. Procès des stratèges athéniens et condamnation à mort par l’Assemblée malgré l’opposition de Socrate (470 – 399) 405 : Défaite athénienne d’Aigos-potamoi suite au retour de Lysandre. Paix avec Carthage. 404 : Capitulation d’Athènes décimée par la famine. Instauration des Trente par Lysandre (dictature

GRANDS PHILOSOPHES DE L’ANTIQUITE : Socrate (-470 à -399) Philosophe de la Grèce antique considéré comme le père de la philosophie occidentale et l'un des inventeurs de la philosophie morale. Il n'a laissé aucune œuvre écrite ; sa philosophie s'est transmise par l'intermédiaire de témoignages indirects (en particulier par les écrits de son disciple Platon). Socrate pensait que toute personne a pleine connaissance de la vérité ultime contenue dans l’âme et seulement nécessite être stimulée

fuite de Socrate, et comment le persuader de s’enfuir. Pour Socrate le problème est tout autre : il n’est pas « Comment s’enfuir ? », mais « Faut-il s’enfuir ? », ou plus précisément « Est-il juste de s’enfuir ? ». La réponse à une telle question suppose que l’on définisse l’attitude à suivre par rapport à des principes eux-mêmes définis de manière permanente et nécessaire, valables quelles que soient les circonstances, et non inventés sur le moment, en fonction des intérêts du moment. Socrate pose

le temple de Delphes : « connais toi toi-même», Socrate a préféré centrer sa réflexion sur nôtre intériorité, connais toi toi-même, puisque c’est dans nôtre corps, nôtre cœur, nôtre esprit que s’éveille, se nourrit et se fortifie l’espoir de donner un sens à nôtre existence, de découvrir une présence. Le silence, la réflexion, il y aussi une autre pensée de Socrate sur le fait de réfléchir avant d’agir, mais avant, rappelons nous de Socrate. Socrate était un athénien célèbre du cinquième siècle avant

questionnant en ce sens que Z?non, Socrate et le Parmenide a leurs questions. C'est mis en scene par Platon, sont des dialecticiens. en partant d'une these de l'adversaire exerce sa Zenon dialectique et en montrant est incompatible avec d'autres theses que l'adver qu'elle saire admet egalement. En le forgant a reconnaitre cette incompati bilite, Zenon oblige son interlocuteur a faire un choix, en renongant a la these a laquelle il tient moins. De meme, Socrate, dans sa recherche de definitions

-droit et justice -moral et politique ÉPOQUES : Antiquité : Socrate et Platon Modernité : Descartes → invite la modernité 1637 : Discours de la méthode 1641 : Méditation métaphysique 18éme siècle : Les Lumières : Rousseau Voltaire Les Révolutionnaire : Marx Freud Nitch ← critique de Descartes LA DISSERTATION : sujet sous forme de question : une notion → trouvé un auteur. Expl : Socrate, la vérité sujet de plus d'une notion → aborder deux sujets

mise en parole. La rhétorique classique a hérité des schémas aristotéliciens, notamment la distinction entre les trois genres de discours : - le délibératif (qui concerne les débats politiques) ; - le judiciaire (qui concerne le jugement dans les procès) ; - l’épidictique (qui concerne l’éloge et le blâme prononcés en public). Ces distinctions peuvent se révéler encore aujourd’hui pertinentes dans l’analyse d’un texte argumentatif, pour cerner les stratégies et les objectifs du texte en question

éditées par Mary McCarthy sous le titre La Vie de l'esprit (en 2 vol. PUP., 1981-1983). Parler de la pensée me semble tellement présomptueux que j'ai l'impression de vous devoir une justification. TI y a quelques années, alors que je relatais le procès d'Eichmann à Jérusalem, j'avais parlé de « la banalité du mal », entendant par là non pas une théorie ou une doctrine mais quelque chose de tout à fait factuel, un phénomène de forfaits commis à une échelle gigantesque et impossibles à rattacher à