Le Présidentialisme Majoritaire

dénaturé. Une subordination à l’Etat fédéral doublée d’une dépendance par rapport aux autres Etats fédérés, dès lors qu’il n’a plus le pouvoir de refuser que lui soit imposée une décision prise contre son gré par d’autres que lui, en vertu de la règle majoritaire toujours en vigueur au sein d’un Etat fédéral. Car seule la règle de l’unanimité permet de préserver son pouvoir de dire non, soit un droit de veto. Cette architecture institutionnelle qui couronne un processus d’intégration n’est viable que si

scrutin majoritaire : c’est la liste ou la personne qui arrive en tête le soir du vote. Il y a le scrutin de liste ou le scrutin uninominal. Le scrutin uninominal signifie qu’il n’y a qu’un seul siège à pourvoir. Exemple : les députés. Pour le scrutin de liste, il y a plusieurs sièges à pourvoir. Dans le scrutin de liste, on a soit une liste bloquée où on accepte le mécanisme du panachage, soit le scrutin majoritaire à un tour (celui qui a le plus de voix l’emporte) ou soit le scrutin majoritaire à deux

proprement dit s’est caractérisé comme toujours par l’apparition de courants de plus en plus radicaux : les révolutionnaires les plus modérés (les Monarchiens) dominent la Constituante (1789-1791) ; pendant la Législative (1791-1792), les Girondins sont majoritaires et penchent pour une République gouvernée par la bourgeoisie aisée ; pendant la Convention (1793-1794), les Jacobins l’emportent ; ils prônent une République démocratique dans la quelle les artisans et les commerçants auraient le pouvoir ; mais

des assemblées délibératives. Le critère principal est négatif, à savoir que le chef de l'exécutif ne peut dissoudre le Parlement et celui-ci ne peut renverser le gouvernement. Encore trop sophistiqué, ce type de régime va vite évoluer vers le présidentialisme, sans doute sous l'inspiration au moins partielle de la pratique gaulliste des institutions de la Ve République et sous celles encore de beaucoup de Constitutions sud-américaines ou africaines qui consacrant l'élection au suffrage universel du

d'importance à l'élection présidentielle. Les élections législatives qui suivent la présidentielle, cela semble bien plus "normal". L'élection présidentielle est survalorisée. Le deuxième facteur structurel c'est l'apparation du fait majoritaire. Quand on parle de fait majoritaire cela signifie l'apparition d'une majorité à l'assemblée nationale qui soutient la politique du président et du gouvernement. Cette majorité parlementaire va bien sur permettre au président d'appliquer sa politique, d'appliquer

souveraine détient la totalité des pouv. pô. Il y a bien pouv. exécutif + judiciaire, ms ils st au-dessous de l’assemblée. Cela aboutit à une séparation inégal au profit du législatif. 2. Prééminance du gvt Ce type de régime est appelé le présidentialisme, serait une dérive du régime présidentiel. Là, encore on retrouve cette première dans la doctrine française. Il y a une séparation des pouv. formel, mais derrière il y a égémonie présidentiel. C’est le président, le chef de l’Etat qui donne le

propre si ce n'est qu'elle peut refuser une demande de dissolution du premier ministre. La vie politique britannique repose sur le principe majoritaire => prime à celui qui est devant. Le vote utile( appel aux électeurs a voter pour l'un des 2 partis dominant) est presque une habitude britannique. Le premier ministre est le leader du parti sorti majoritaire. Les électeurs désignent du coup le premier ministre. Tatcher, les partis peuvent empêcher que qqun soit réélu : 1990, Tatcher pouvait probablement

11. d'uatre part sur le fond le chef de l'état depuis 1962 est élu directement par le peuple français ce qui a plusieurs conséquences cela renforce le pouvoir du peuple, cela réaffirme la souveraineté nationale surtout que le mode de scrutin majoritaire uninominal à deux tours aboutissent à une personnalisation du scrutin et à une bipolarisation de la vie politique. Évidemment parce que le chef de l'état est perçu comme l'atbitre au dessus du peuple or là il est bombardé chef du camp. 2°)

sujet de dissertation, la première partie pourrait être la prestation compensatoire du 30 juin 2000. Et la seconde partie, la prestation commentaire depuis 2000. Ou encore le sujet : le premier ministre : le premier ministre en période de présidentialisme majoritaire et le premier ministre en période de cohabitation. Étudié le phénomène qu'il y a eu dans le sujet, et à partir de ce moment on va établir un plan chronologique de manière de traité ce phénomène avant et après ce phénomène important. On

À 5 reprises, en 1981, 1986, 1988, 1993 et 1997, le corps électoral remet en cause le bloc majoritaire constitué par: le Président de la République la majorité parlementaire le gouvernement En 1981 et 1988, le Pt Mitterrand qui vient d'être élu trouve une AN donc la majorité lui est hostile. À chaque fois, il dissout l'Assemblée afin de rétablir à son profit la cohérence du bloc majoritaire. Le succès est total car en 1981 l'alternance Ptielle se double d'une alternance législative