Le Relativisme Culturel Pour Ou Contre

coutumes, leurs cultures et leurs religions. L’Europe prend conscience qu’elle n’est plus seule dans ce monde. Puis avec la découverte de l’héliocentrisme et d’une terre ronde le système de pensée, la diversité humaine et les coutumes font naitre le relativisme Le mythe du bon sauvage dresse le portrait et vante les mérites de peuples purs et innocents à l’inverse des Européens. On y fait l’éloge de qualités morales telles que la loyauté, la franchise, le courage, le bon sens et l’habilité. Ces peuples

(Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Education) pour mieux transmettre leurs connaissances. Les manuels ont été numérisés, des cours sont disponibles sous toutes formes de format de façon à s’intégrer aux nouvelles habitudes culturelles des jeunes: lecteur MP3, réseaux sociaux… Tous les chefs d’oeuvre de la culture humaine sont désormais disponibles sur Internet. Pensons à l’immense bibliothèque numérique (les « e-books »), à la musique classique, aux oeuvres d’art. Beaucoup de

rébellion contre la tradition sans toutefois avoir de guide de rechange pour le futur. Une solution serait de repenser les valeurs pour leur insertion dans la modernité en faisant une analyse objective du passé, une critique rigoureuse du présent pour déterminer la voie de l’avenir. Un retour à la source s’impose pour retrouver les valeurs qui nous ont menés jusqu’ici. La troisième cause concerne l’évolution et l’apparition de nouveaux courants d’influences idéologiques tels que le relativisme, le nihilisme

XVIIIème siècle 1721 : - Montesquieu, Lettres Persanes .Critique de la monarchie et théorie du relativisme culturel. - Fondation de la première loge maçonnique en France, lieu de discussion philosophique (Avec Voltaire, Frédéric II, Mozart…). 1727 : Henri de Boulainvilliers, Histoire de l’ancien gouvernement de la France. Il confère un caractère racial à la noblesse et se prononce en sa faveur contre la monarchie absolue, participant ainsi au succès des Lumières dans l’aristocratie. 1734 : Voltaire

Le théâtre, texte et représentation Le Barbier de Séville est-il une comédie des Lumières ? Le Barbier de Séville, comédie en quatre actes écrite par Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, s’inscrit dans le mouvement culturel et philosophique des Lumières. Dans son œuvre, le dramaturge formule plusieurs satires sur la société du XVIIIème siècle et expose de nombreuses revendications et valeurs propres au Siècle des Lumières. - La critique la plus remarquable concerne la condition féminine

les premières manifestations, concrètes et avec des effets réels dans les pratiques, de l'idée des droits de l'homme : la Grande Charte (1215). Ce texte est important mais n'a été véritablement utilisé qu'à partir du xviie siècle comme instrument contre l'absolutisme royal des Stuart ; la pétition des Droits en 1628 ; l'Acte d'Habeas Corpus, 1679 ; la Déclaration des Droits (Bill of Rights) en 1689. Elle est considérée dans le monde anglophone comme la base des concepts actuels des droits humains

dire) - moderne : la question de l’intention de l’auteur est nuisible dans les études littéraires  interprétation littéraire = description des significations de l’œuvre (chercher dans le texte ce qu’il dit indépendamment des intentions de l’auteur) Contre Ste-Beuve, Proust : la biographie n’explique pas l’œuvre qui est le produit d’un autre moi que le moi social, d’un moi profond, irréductible à une intention cste. La thèse de la mort de l’auteur Barthes, « la mort de l’auteur », 1968 : à l’auteur

comme les chiennes de gardes ou encore l'association ni pute ni soumise. Les Chiennes de garde, également connues sous le sigle CDG, sont un réseau féministe français contre le sexisme dont seraient victimes les femmes dans les médias et dans l'espace public en général. Leur mission est de lutter contre la violence sexiste et contre les stéréotypes sexistes et de promouvoir l'égalité. L'association a choisi le nom de « chiennes de garde » pour mieux dénoncer la stigmatisation des femmes en tant que

de Pascal ? La question nous confronte, semble-t-il, à un dilemme. Peut-on vraiment, à propos du juste et de l’injuste, parler de conventions, d’institutions, de valeurs simplement établies par les hommes, sans tomber dans l’arbitraire et le relativisme ? Mais, inversement, peut-on parler de « lois non écrites », comme le fait Antigone, sans devoir recourir à une religion, c’est-à-dire à une foi irrationnelle ; ou bien à un savoir certes rationnel, philosophique, mais d’essence métaphysique

un mode de reproduction de la société basé sur la dimension politique et industrielle de ses mécanismes des régulations par opposition à la tradition dont le mode de reproduction d’ensemble et le sens des actions est régulé par les dimensions culturelles et symboliques. La modernité est la possibilité politique réflexive de changer le jeu de la vie sociale. C’est aussi l’ensemble des conditions historiques, matérielles qui permettent de passer de l’émancipation vis-à-vis des traditions, des doctrines