Le Relativisme Culturel

caractéristiques fondamentales de l’espèce, ce qui semble a priori contradictoire. * soit la notion d’humanité n’a pas de sens et celle d’inhumanité non plus. Nous tombons alors dans un dangereux relativisme, qui pourrait conduire à tout accepter sous prétexte de respect des différences (culturelles, etc.) L’enjeu lié à ce sujet est donc anthropologique, car il pose la question essentielle de l’essence de l’homme. 1 - La notion d’humanité a-t-elle un sens ? La notion d’humanité est-elle

scène des personnages étrangers dits exotiques. Nous nous demanderons donc dans quels buts les philosophes des Lumières recourent-ils fréquemment à ce genre de personnages. Pour répondre à cette question, il s’agit d’abord de s’intéresser au relativisme culturel mis en œuvre dans les ouvrages philosophiques des Lumières et ensuite de s’intéresser au côté plaisant de ces ouvrages. Tout d’abord, le fait d’exposer des personnages exotiques permet à l’auteur de critiquer la société en comparant deux

yeux de l'H. • Importance du voyage et de l'apprentissage dans la réflexion sur l'éducation dès le XVIe : nécessité pour l'H de s'ouvrir sur le monde • Montaigne éloquent et concret : préfigure l'approche que philosophes du XVIIIe auront du relativisme culturel Ouverture : Micromégas? ou passage des Essais sur les Cannibales (Essais, I, XXXI, "Des Cannibales)

propose une vision du monde particulière mise en perspective par le narrateur. Les visions du monde et les représentations de l’homme varient en fonction des époques et des idéologies. Selon les époques, l’homme va être défini sur un plan culturel (l’homme est ce qu’il sait), ou social (il se définit par la classe à laquelle il appartient), ou psychologique (il est défini par son caractère) ; il peut aussi se définir selon ce qu’il possède, ou selon ses actions. Tout dépend des valeurs que

influencé les politiques des gouvernements français successifs, avec toutefois de très sérieuses limites dans son application, tant par le passé que de nos jours. Il est également la cible de nombreuses critiques, de la part des partisans du relativisme culturel, du régionalisme, du nationalisme ethnique ou du multiculturalisme. L'idéologie de l'universalisme n'a jamais rien servi d'autre que l'impérialisme. Tout le monde le sait et ce n'est pas nouveau. Au nom de l'universel, apprenons aux

plus largement la réorganisation sociale et politique de la structure des clivages, qui a amené un certain nombre d’auteurs à contester la pertinence de la carte conceptuelle de Rokkan. De plus, Les deux chercheurs avaient eux-mêmes souligné le relativisme de leur théorie en invoquant la possibilité de l’émergence de nouveaux clivages : « La subtilité dans la thèse dite du gel des clivages est qu’elle précise bien que chacun des partis politiques, à son origine, se rattache à l’une des familles du

précisément par la suite. Il explique d’un point de vue général les différences entre les cultures et en donne les raisons. Chapitre 3 : L’ethnocentrisme ❖ Scandale de la diversité culturelle (de la page 19 à 22). L’auteur a réduit le sujet à la vision des Hommes concernant la diversité culturelle. Il définit ce concept d’ethnocentrisme. ❖ Le faux évolutionnisme (pages 22 à 26). Dans la deuxième partie du chapitre, Lévi-Strauss dénonce la volonté de certains de supprimer la diversité

ces désirs que la société nous propose et nous impose et que nous prenons faussement pour nos désirs. Pour accomplir ses désirs il faudrait savoir quels sont les siens, il faudrait les faire exister malgré les déterminismes familiaux, sociaux, culturels, biologiques, etc. II. Hiérarchie et cohérence des désirs. A. Pour être heureux, il faut apprendre à satisfaire les désirs qui peuvent l’être (d’après Epicure). 1. le Carpe Diem épicurien. 2. La libération des désirs vains. B. Du

du T, système financier et Corporate Governance, protection social, système éducatif. * Chaque modèle à ses vertus, son efficacité. Pas de modèle universel d’efficacité. Comparaisons internationales amènent au contraire au relativisme organisationnel et historico-culturel du C.

dans lequel je donnerais mon propre opinion sur la question. Dès le commencement de son texte du le texte de M Webber, l’auteur se pose la question à savoir s’il existe une science sans présupposition, sans jugement, ni valeur, ni connaissances culturelles. Selon Webber, il est possible de faire de la science sans présupposé. Il faut savoir que pour lui, il n’y a pas vraiment de différence entre les différentes sciences. C’est-à-dire qu’elles ont toutes la même crédulité. Webber les utilise toutes