Le Relativisme Moral

reconnaitre l’expression de soi –mm. Kant : tt homme est obligé d’entendre cette voix terrible et menaçante du devoir moral (sinon culpabilité, scrupules) Rousseau : la csc morale est une « voix céleste » qui s’adresse au cœur et non à la raison, capable de nous guider de manière infaillible pour peu que nous nous en remettions à elle (elle viendrait de dieu « instinct divin ») Durkheim : csc morale est l’intériorisation des contraintes sociales exercées sur l’individu. LE DESIR Désir : construction d’ordre

d’améliorer la vertu morale des Athéniens et de la cité dans son ensemble. Socrate croit en particulier en l’existence de son «démon», dont on ne peut contester la nature divine. S’il croit des «démons», c’est que Socrate croit donc aux dieux. → Il est également accusé d’être un sophiste seulement il n’enseigne pas, car il ne sait pas ce qu’est la vertu. Il n’a même jamais demandé à être payé pour faire ce qu’il fait, donner des « leçons ». De plus, Socrate s’opposait au « relativisme » des sophistes

Un problème: l'objectif du vrai est elle universelle? A) toute la vérité est en relation étrite avec un ou plusieurs homme - il dépend de nous de dire ou d'avouer le vrai. Alain définit le mensonge, au sens moral comme ce qui refuse de dévoiler le vrai, et ceci dans tous les cas; cela équivaut à une rupture du contrat qui nous lie à autrui. -Il faut admettre, contre l'obscurantisme, un devoir de vérité _c'est la raison de l'homme qui affirme ou nie, affronte le vrai ou se laisse emporté

comme des gens pas plus barbares que nous voire moins barbares A l’époque de la guerre de religion (St Barthélémy aout 1572) Montaigne considère que les européens imposent d’avantage de souffrance que les cannibales. On confond assez souvent le relativisme : système reconnaissant des valeurs avec le nihilisme : système philosophique reconnaissant qu’il n’y a pas de valeurs absolues que rien ne vaut  « Nietzsche): Pour Montaigne il y a un système de valeurs relatives : c’est donc « la voie du milieu »

mais identiques émotionnellement. Un conseil : aller dans des pays non développés et libres. Dans le voyage on apprend le "relativisme culturel" et "l'universalisme émotionnel". Les poetes existent dans nos sociétés car ce sont des sociétés sclérosées sentimentalement, ou la pudeur s'impose, ou l'individu refrene ses emotions devant le regne du bien paraitre de la morale bienpensante. Les romantiques sont des gens qui veulent retrouver leurs ames perdus au fond de ces amas de pensées et de réflexions

court récit dont on peut tirer une morale. c) Silence l.48 à 52 +78 donne impression que le lecteur assiste au débat directement silence temporaire L.C capacité à se maitriser silence non passif : prends quelle note pour détruire les arguments de son adversaire impression que le narrateur connait L.C : connait ses sentiments → « tout cela ne le surprend pas » → pas une découverte d) Contre-argumentation : L.C détruit les arguments de S (relativisme et l'autre ethnocentrisme) prends

------------------------------------------------- Est-on libre quand on agit mal ? Analyse du sujet : * La notion de mal réfère à la morale et le premier piège à éviter est celui du relativisme : les valeurs morales seraient propres à chacun et le mal n’existerait donc pas objectivement. Hitler ne pensait-il pas faire le bien en programmant l’extermination des juifs ? Evidemment du côté des victimes l’appréciation était fort différente. Si on adopte ce point de vue (inconséquent par ailleurs)

inachevé mais perfectible, comme le montre le mythe de Prométhée de Platon. Elle est donc synonyme de progrès car elle émancipe l'homme de la nature. De plus, la diversité des cultures suppose de trouver un équilibre entre l'ethnocentrisme et le relativisme culturel excessif. BLe travail et la technique D'un côté, le travail peut être vu comme une malédiction. Comme le montre Hannah Arendt, il a pu avoir une connotation négative dans l'Antiquité. De plus, Marx montre que, dans le système capitaliste

Pour KANT, le temps et les espaces sont des idées et des formes pures qui participent et structurent toute représentation et mise en forme du réel, en lui assignant par là ses conditions et ses limites. II ) LA CONSCIENCE DE SOI ET LA CONSCIENCE MORALE ; LA COHERENCE ET LA CONSISTANCE DU SUJET l'âme, l'égo, la personne : les représentations du sujet et l'articulation du corps de l'esprit. La conscience, telle qu'on l'a décrite avec KANT, a été posée comme une instance décisive de la raison

originale, qui a pour but d'expliquer l'intelligibilité du sensible, et de garantir à l'homme un authentique pouvoir de connaître. Mais la pensée grecque se trouve également confrontée à des difficultés du côté des conduites humaines, c'est-à-dire en morale et en politique. Certains sophistes ont en effet affirmé le conventionnalisme de la loi, qui, dès lors, dépend de la volonté humaine, et se trouve donc être variable, relative, sans véritable fondement autre que le droit du plus fortNote 4. C'est