Le Rôle Du Juge Dans L Interprétation Des Textes Pénaux

DROIT PENAL. INTRODUCTION. La définition du droit pénal général : il se définit comme l’ensemble des règles juridiques qui organisent la réaction de l’Etat vis-à-vis des infractions et des délinquants. On parle souvent de droit pénal et de droit criminel : ce sont des expressions synonymes mais on emploie plus souvent l’expression « droit pénal ». CHAPITRE I : L’ETENDU DU DROIT PENAL GENERAL. De manière plus précise, le droit pénal général est l’étude des règles déterminant les comportements

sanctions étatiques. Séparation du Droit/Morale. A. Degré dans la contrainte Lois impératives/supplétives Loi impossible à déroger, devoir, le texte est d’ordre public. Elles concernent l’intérêt de l’Etat et le maintien de l’ordre. Droit Fiscal, Pénal, protection du citoyen : Droit du Travail… Loi qui propose un modèle qui s’applique en cas de silence du citoyen : en cas de mariage, le sort des biens de la famille. Choix du contrat de mariage. Communauté réduite aux acquêts : les époux gardent

La question s'est posée de savoir si c'est un PGD, mais aucun arrêt ne l'a dit explicitement. En revanche le juge tire les conséquences de ce principe qu'il n'a jamais affirmé dans un certain nombre de cas, par exemple pour dire que les agents du SP n'ont pas de droit au maintien de leurs statuts. Ce principe appartient à la première catégorie ? Oui car il n'est pas affirmé par le juge mais a quand même des conséquences concrètes. Appartenance à la seconde catégorie ? Oui il entraîne des conséquences

négative, dans l’interdiction faite au juge de commettre un déni de justice (A), mais aussi positive en ce que l’article 4 révèle l’existence d’un pouvoir des juges usant de l’interprétation et du raisonnement afin de créer des règles de droit adéquates au litige auquel le juge doit mettre fin (B) Littéralement, l’article 4 fait acte de prohibition du déni de justice chez les juges, sa portée est avant tout négative. A. Portée négative, l’interdiction faite au juge de commettre un déni de justice

différences puis essayer de voir la valeur de ces différentes ressemblances. Le droit comparé suppose que l'on applique cette méthode aux droits étrangers. C'est une méthode ancienne. Dès l'Antiquité on trouve des éléments de comparaison ds différents textes d'auteurs. Ds l'Antiquité le but était de savoir quel était le droit du voisin: approche géographique mise en oeuvre. Les véritables précurseurs on les trouve au Moyen-Age. Les auteurs vont comparer les différents types de droit: le droit romain

Le juge judiciaire, gardien des libertés fondamentales? Le principe du juge judiciaire protecteur des libertés fondamentales vient d'une certaine tradition de le Troisième République, Marcel Waline résume cette idée « il existe une coutume jurisprudentielle qui fait de l'autorité judiciaire […] la protectrice naturelle du citoyen contre les atteintes de l'administration ou du gouvernement, contre ses droits les mieux garantis ». Cela vient du fait que le juge judiciaire, aux origines du juge administratif

2 DROIT PENAL GENERAL Introduction Chapitre 1 : Notions générales I - Définition et objet du droit pénal Définition : le droit pénal a pour objet de prévenir par la menace et au besoin de réprimer par l’application d’une sanction des actes ou omissions de nature à troubler l’ordre social. C’est la société prise au sens large qui se donne le droit de réagir contre les faits graves qui menacent son fonctionnement. Ces faits graves sont sanctionnés par une peine qui va prendre le caractère

l’interprétation. 2) C’est également le savoir pratique qui gouverne l’application du droit, c'est-à-dire l’apprentissage de la rédaction des textes ou de l’élaboration d’actes par exemple. 3) La science du droit a donc pour objet l’ensemble des règles juridiques qui régissent notre vie en société. Il s’agit d’apprendre à raisonner, à qualifier, à interpréter les textes, à commenter les décisions de justice, etc. Comme toutes les sciences, le droit a son langage, son jargon. C’est un langage conservateur

d’en bas. Ces deux positivismes possèdent un point commun : inutile de cherche une justification au droit, il est droit parce qu’il est mal. L’État a un rôle fondamental dans la production du droit. Le droit vient de l’État Cette idée est importante : le droit appartient au système du droit. Le droit c’est le droit qui vient de l’État. Le juge applique le système de droit mais jamais le droit naturel. Le positivisme permet d’asseoir le savoir des juristes. Il est lié au développement de l’État

est toujours d'actualité. Ainsi, la circulaire du 30 mai 1996 relative à la codifu:ation des textes législatifs et réglementaires rappelle que: "Cet effort s'inscrit dans une tradition nationale, qui a été illustrée par les cinq grands codes napoléoniens et qui s'est développée depuis la Libération avec le rapport de la Commission supérieure chargée d'étudier la codification et la simplification des textes législatifs et réglementaires du 8 mai 1952 et par la rédaction d'une quarantaine de codes"l