Le Sublime Et Le Grotesque

morts en leurs donnant des traits plus humains que les vivants eux-mêmes. Donc, ici on peut voir que Tim Burton a voulu faire ressortir le grotesque des vivants et le sublimes des morts. Ce faisant, l’auteur a voulu dans son film montré la méchanceté des vivants et leurs froids sentiments comparativement au morts. En premier lieu, le grotesque et le sublime sont mélanger, car lorsque les morts arrivent dans la ville à la fin du film, c’est à ce moments que pour la première fois il y a du bonheurs

l’homme. » ; « Ruy Blas me paraît un désastre. » Sainte-Beuve -« […] ce qui paraît scandaleux, ce n’est plus le viol des unités, c’est l’inconvenance sociale : une reine amoureuse d’un laquais ? C’est traiter la Reine comme une midinette ! Quant au grotesque… Le quatrième acte est une "froide et triste farce", "une bouffonnerie détestable", "une parade de tréteaux", "le plus hardi défi que M. Hugo ait jamais adressé au bon sens et au goût de son auditoire" » (dernières formules de Gustave Planche, la

Nous montrerons ainsi que malgré l’apparente simplicité d’une scène présentée en diptyque (remarquablement structurée) Musset innove en matière d’exposition permettant par le mélange des genres de lancer le drame romantique. I. Présentation grotesque des fantoches par le chœur. a) Les fonctions du chœur. La présence d’un personnage venu tout droit de la tradition antique ainsi que la référence au vin semble rattacher cette pièce à Dionysos, elle devient alors un jeu une recherche de la meilleure

drame romantique. C'est un mélange de styles tragique et pathétique, appelé dans le drame romantique sublime, avec le comique, burlesque ou encore l’héroïcomique. C'est donc un mélange de styles opposés. Au contraire de la tragédie classique, le drame romantique veut donc que les genres se mélangent sur la scène comme dans la vie réelle : ils veulent que le sublime soit mélangé au grotesque. C’est une première différence avec la tragédie classique. 2. Objectifs représenter le passé historique

alors mourir à son tour car il ne peut vivre ainsi : en aimant sans pouvoir être aimé pour ce qu’il est. c)Problématique : Comment le dénouement de la pièce met-il en scène une mort sublime ? d)Plan Nous verrons en quoi, dans cette scène, les contrastes, propres au drame romantique, servent à créer une fin sublime : la mort permet l’aveu de l’amour. Le choix du suicide fait dire à la reine qu’elle est amoureuse, même si les sentiments ne pourront être vécus. I-Une scène contrastée, propre au

de deux types, le sublime et le grotesque, qui se croisent dans le drame comme ils se croisent dans la vie et dans la création. Car la poésie vraie, la poésie complète, est dans l'harmonie des contraires. -Que ferait le drame romantique? Il ferait passer à chaque instant l'auditoire du sérieux au rire, des excitations bouffonnes aux émotions déchirantes, du grave au doux, du plaisant au sévère. Car, ainsi que nous l'avons déjà établi, le drame, c'est le grotesque avec le sublime, l'âme sous le corps

nièce, ce qui complique l’affaire d’un problème d’inceste et d’endogamie9. Mais le vieux duc, au moins, a conscience de son ridicule ; Ruy Gomez comprend bien, au début de l’acte III, qu’il éprouve pour sa nièce un amour incongru, inconvenant, grotesque, c’est-à-dire qu’il est un barbon comique. Une telle lucidité, étrangère à Arnolphe, permet de reconnaître à Ruy Gomez une forme de grandeur. En outre, ce dernier est le représentant d’un ordre social où les membres de l’aristocratie se marient

contre les sujets trop indépendants des preoccupations profondes de l’auteur et du public. On réclame un théâtre nouveau… où le génie de l’auteur soit libre de se manifester sans contrainte, où le familier puisse se mêler au sublime, où le vers soit assoupli, ou bien, à la rigueur, abandonné au profit de la prose, où le sentiment national, et surtout les préoccupations essentielles de l’homme moderne s’expriment largement, où le lyrisme et l’épique puissent se

dix-neuvième siècle et donc au mouvement littéraire romantique. Ensuite nous pouvons voir que dans cette pièce et notamment dans cette scène il y a un mélange des genres. Ici un mélange de grotesque et de sublime avec Ruy Blas représentant en premier lieu le grotesque car ce n’est qu’ « un pauvre laquais » un grotesque donc de naissance car il est obligé de se faire passé pour un autre homme lui noble « Dom césar » mais avoues qu’il s’ « appelle Ruy Blas ». Il aime, et c’est la le mélange des genres,

37) ; | | | |« manants » (l.42) | II- Une scène d’exposition romantique a. Des personnages grotesques - Maître Blazius o « un verre de vin frais » (l.9) : Buveur o « Comme un poupon » (l.4) : Euphorique dû à la boisson o « l’écritoire au côté » (l.4) : Candeur, infantilisation