Le Suffrage Universel Garantit Il La Démocratie

tentatives pour mettre fin à ce fonctionnement ont été mises en place mais aucune n’a aboutie. L’opposé de ce régime est bien sûr le régime présidentiel, que Michel Debré définit ensuite comme un régime dans lequel le chef de l’Etat serait élu au suffrage universel et où les différents pouvoirs ne seraient absolument pas confondus : on parle de séparation stricte des pouvoirs dans la mesure où les assemblées se contenteraient du domaine de la loi, du budget de des traités mais le chef de l’Etat disposerait

souverain est lié par le pacte et s’il romps le pacte, les sujets peuvent lui désobéir”. Conclusion: Locke rends légitime la révolution britannique de 1688 ★ Rousseau - “Le contrat social” (1762): Rousseau voit, dans le pacte, le fondement de la démocratie. Pour lui, ce pacte (contrat) est un moyen de se conformer à la loi, expression de la volonté générale. Le peuple n’est pas seulement à l’origine de l’état mais il est également à la source du droit (car la loi est l’expression de la volonté générale)

d’une constitution écrite. Ainsi, la première constitution écrite au monde est celle de l’Etat de Virginie qui comporte une déclaration des droits : 12 juin 1776  Notion moderne de Constitution (naissance aux Etats-Unis) : document écrit qui garantit les droits et libertés, et qui détermine l’organisation et le fonctionnement des institutions politiques. A ce stade, l’évolution vers le constitutionnalisme est encore inachevée : on a l’idée que la Constitution doit être hiérarchiquement supérieure

procédures en vigueur. Dans ce type de domination, les gouvernants obéissants au droit, ils sont élus selon certaines procédures légales. Le respect de ces normes va générer le fait qu’il soit légitime. Cette forme de légitimité prévaut dans les démocratie moderne, on va parlait d’Etat légal rationnel. Les gouvernants vont agir en fonction d’une certaine rationalité juridique, c’est-à-dire selon certaines règles qui sont préalablement établies. Chacune de ces formes de légitimité ne sont pas acquises

démocratique). Enfin, il existe des phénomènes politiques dont la constitution parle très peu mais qui jouent un rôle très important dans la vie constitutionnelle, c’est le cas des partis politiques qui occupent une place importante dans l’exercice de la démocratie et le fonctionnement des régimes politiques contemporains. La constitution malgache ne consacre qu’un seul article (art11) au parti politique sur les 168 articles que comprend le texte fondamental. Or, la vie politique a montré que les multiples

L’organisation du pouvoir 1ère théorie est celle d’Aristote, il identifie 3 types de régimes : -la monarchie, pouvoir d’un seul. -l‘aristocratie, pouvoir des meilleurs. -la démocratie, pouvoir du peuple. 1) Séparation des pouvoirs par Montesquieu Celle qui va nous intéresser est celle de Montesquieu (18eme siècle) sur la théorie des séparations des pouvoirs. Théorie issue de son livre l’esprit des lois. Théorie qui s’oppose à la monarchie absolue. Ce n’était pas un régime ou l’on

JulietteLa démocratie, du grec “ dêmokratia” , formé de dêmos, « peuple », et de kratos, « pouvoir », est définie comme un régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par le peuple en principe d’égalité. La définition la plus courante et la plus proche du sens étymologique du terme démocratie est : « le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple », citation d’Abraham Lincoln. Il existe plusieurs types de démocratie mais en règle générale, celle appliquée est la démocratie représentative

souverain a le droit d’opprimer ses sujets, malgré la reconnaissance par Hobbes d’un « droit à la liberté individuelle ». Carl Schmitt (1888-1985) : dignitaire nazi, juriste allemand, déforme la théorie de Hobbes et conçoit l’Etat moderne comme une démocratie autoritaire, sociale et centralisée Italie de Mussolini Libérales. John Locke (1632-1704), Traités du gouvernement civil (1690) : pacte entre le peuple et le futur monarque, la violation du contrat autorise la révolution et la légitimité du

pour le peuple[2], la souveraineté nationale appartenant « au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum »[3]. Ce régime s'extériorise au travers des institutions par une coexistence entre démocratie représentative – incarnée par le Parlement – et démocratie directe. L'expérience issue des IIIème et IVème République a mis en exergue les échecs d'un régime purement parlementaire, ce qui a conduit à une volonté affirmée de limiter les pouvoirs du parlement dans le système

conditionnelle. Enfin, Rousseau reprend les idées de Locke mais substitue cependant la volonté générale à celle du monarque, c’est à dire que les hommes passe un contrat afin d’obéir à la volonté du groupe qu’il compose. Cette vision implique une forme de démocratie : le groupe se prononce pour exprimer la volonté générale. L’individu abandonne une part de sa liberté en échange de sa participation à la définition de la volonté générale. De ces formes de légitimité découlent des