Le Taylorisme Conclusion

Urwick et Gulick : la théorie de la départementalisation. 13 VI) Webber et la bureaucratie. 14 1) L’œuvre de Webber 14 2) La théorie de l bureaucratie de M. Webber 14 3) Les différents types d’autorité selon Webber 15 4) Conclusion : 15 VII) Conclusion finale. 16 Chapitre 2 : l’école des relations humaines (1930) 17 I) Le contexte 17 II) Elton Mayo : l’expérience d’Hawthorne 17 1) L’auteur 17 2) L’effet Hawthorne 17 3) Les enseignements de cette expérience 18 III)

sur la capacité d'adaptation aux produits par rapport au désir et la capacité d'adaptation aux équipements pour améliorer telle ou telle production. La flexibilité est donc la capacité à pouvoir s'adapter à des changements de l'environnement. Conclusion : la qualité, le délai et la flexibilité coûtent de l'argent et sont donc en contradiction avec le coût de production. Le manager va donc chercher à réduire ces contradictions. Ex : faire en sorte que la logistique ne soit pas coûteuse. Il existe

ressource ne se déprécie il y a un développement d'outil de gestion. Ces ressources deviennent rentable, permet à l'entreprise d'atteindre des objectifs économique. 1/ l'administration du personnel s'explique par le compromis taylorien-fordien. • Taylorisme = intégré une population active peu qualifié • Fordisme = reprend ce principe en ajoutant le travail à la chaîne. Ils permettent une croissance très forte (30 glorieuse), les gains de productivité permettent l'augmentation des salaires. L'administration

sociales 1 I/ Les mutations économiques et sociales 1 II/ Les sociétés de l’âge industriel 4 II/ Les sociétés de l’âge industriel 4 III/ Les idéologies de la révolution industrielle 8 III/ Les idéologies de la révolution industrielle 8 Conclusion 14 Conclusion 14 Au XIXème siècle, le mode de vie rural de la majorité de la population européenne va être peu à peu supplanté par l’apparition de la Révolution industrielle, c’est-à-dire l’apparition de nouvelles façons de

Dossier de Metu Le travail Sommaire PLAN : 1ere partie : Rupture dans l’organisation du travail, (états des lieux, description) a) La vision du travail qui change b) Fin du taylorisme, autonomie du salarié c) Le rapport a la hiérarchie 2eme partie : Qu’elles sont les conséquences engendrées par ces changements managériales  a) Stress lié à l’organisation du travail b) Stress lié à l’exigence personnelle c) Stress relationnel 3eme partie :

L’organisation du travail se fait aussi par la qualification et la compétence. L’organisation du travail a connu beaucoup de transformations, en commencement toutes les entreprises avaient une organisation de travail de style paternaliste. Le taylorisme est une méthode de travail inventée par Frederick Winslow Taylor (1856-1915). Apparue vers 1880, elle recommande l'organisation scientifique du travail au moyen d'une analyse détaillée des modes et techniques de production (gestes, rythmes, cadences

du «métier» ne peut que favoriser les comportements individualistes et ruiner l'efficacité collective, Taylor en vient à la conclusion qu'il faut revoir complètement la philosophie et les principes concrets de collaboration et d'organisation du travail en atelier. En étudiant les conditions nécessaires pour améliorer la productivité des ouvriers, il aboutit à la conclusion qu'une approche méthodique s'impose : Ce qu'il décrit comme étant l'organisation scientifique du travail ( en abrégé l'OST.)
Le

a de risque (maximiser l’information disponible pour réduire l’incertitude) Remarque : la réaction face au risque est fondamentale, la communication, la gestion des rumeurs et la gestion des crises conditionnent l’avenir de l’organisation. Conclusion : le management est très concret et très transversales 7 Chapitre 2 : l’histoire du management et la théorie des organisations : Le mangement est devenu de plus en plus une science, ce passage c’est fait au moment où des praticiens et des

des salaires et plus de temps de loisirs, se met en place une société de consommation. Vacances, jeux, électroménager, vêtement etc. deviennent l’objet des principales dépenses des foyers, ce qui crée de la discrimination sociale. Le fordisme, le taylorisme et le toyotisme, basés sur le travail à la chaine crée une production à grande échelle. Ce qui va dans un premier temps permettre de fournir en plus grande quantité par rapport à la demande sans cesse grandissante et qui va par ailleurs engendrer

finalement facilité par le machinisme ? a - Le machinisme comme aliénation du travail et standardisation de la culture ? Le principe du machinisme est donc la production automatisée, en série, uniforme, quantitative plutôt que qualitative (cf. le "taylorisme). L'homme est aliéné par la machine ou par l'ensemble des machines (conditions de travail dépersonnalisantes en usine). Si la "culture" se définit, notamment, par la transmission d'un héritage, de goûts et de savoir-faire, voire d'un certain art