Lecture De La Diérèse

(page 2) ‘’Fable ou histoire’’ (page 8) ‘’Le manteau impérial’’ (page 10) ‘’L’expiation’’ (page 12) ‘’Hymne des transportés’’ (page 15) Bonne lecture ! Recueil de poèmes satiriques où le poète exilé à Jersey après le coup d'État du 2 décembre 1851 donna libre cours à la haine qu'il vouait à Napoléon lll dont il fit I'archétype du tyran. Pourtant, entre les deux hommes tout avait bien commencé

trouve ici une présentation générale puis successivement les analyses de : ‘’Souvenir de la nuit du 4’’ (page 2) ‘’Fable ou histoire’’ (page 8) ‘’Le manteau impérial’’ (page 10) ‘’L’expiation’’ (page 12) ‘’Hymne des transportés’’ (page 15) Bonne lecture ! Recueil de poèmes satiriques où le poète exilé à Jersey après le coup d'État du 2 décembre 1851 donna libre cours à la haine qu'il vouait à Napoléon lll dont il fit I'archétype du tyran. Pourtant, entre les deux hommes tout avait bien

ma tête, Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux, 15- Je m'en irai bientôt, au milieu de la fête, Sans que rien manque au monde, immense et radieux ! Vous ferez le commentaire de ce poème de Victor Hugo d’après le parcours de lecture suivant : - Vous étudierez de quelle manière le poète exprime la fuite du temps. Idée directrice du premier paragraphe à écrire : le temps omniprésent. Idée directrice du deuxième paragraphe à écrire : l’écoulement du temps. - Vous montrerez que

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Le pont Mirabeau’’ (1913) poème de Guillaume APOLLINAIRE figurant dans le recueil ‘’Alcools’’ On trouve ici : le texte son analyse Bonne lecture ! Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face

(« des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles/ Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs » → la force vient de nulle part) → Cette violente libération s’oppose aux 2 premiers vers beaucoup plus tranquilles (imparfait + « insoucieux » diérèse) → Accélération du rythme, enjambement de « je courus » ; le bateau part en haute mer. Rythme irrégulier, ruptures. « Les péninsules démarrées » → hypallage, c’est lui qui se détache, qui démarre. → Le bateau ce moque éperdument de son équipage

« Le Vin des chiffonniers » Baudelaire, Les Fleurs du mal Explication linéaire ( oral des EAF Situation du texte - Présentation succincte de l’auteur et de l’œuvre ( amorce - Présentation du texte : Ce poème intitulé « Le vin des chiffonniers » (poème CV dans l’édition de 1861) est le deuxième d'une courte section des Fleurs du Mal intitulée « Le

on peut envisager une solution surnaturelle (le narrateur est un mort-vivant) : cet incipit installe une atmosphère fantastique. c. L’incipit surprend le lecteur et pique sa curiosité ; cette captatio benevolentiae lui donne envie de poursuivre la lecture pour résoudre cet étonnant paradoxe : un narrateur vivant qui raconte sa mort ! 11 Étudier la fin d’un récit a. Le premier paragraphe relate l’attente interminable de Jeanne qui guette l’arrivée du train. Cette attente se traduit par le rythme narratif

documents et fait référence à un objet d'étude du programme. 1. Les questions sur le corpus • Une à quatre questions portant sur le corpus et appelant des réponses rédigées peuvent vous être proposées. Ces questions font appel à vos compétences de lecture, vous invitent à établir des relations entre les différents documents et à en proposer des interprétations. Elles peuvent être conçues de façon à vous aider à élaborer l'autre partie de l'épreuve écrite. • Le nombre de points attribué aux questions

introduit le thème du soldat dont la fidélité est la qualité cardinale. Cri : une autre personnification, cri d’avertissement probablement. Le mot nous ramène à l’idée de voix humaine, de discours, de parole. - L’adjectif religieux, appuyé par la diérèse complète le sens. La cloche est décrite comme une sentinelle, une vigie qui veille à la sécurité des âmes. Elle conserve au monde son caractère sacré et humain. Ainsi qu'un vieux soldat qui veille sous la tente - Comparaison : « ainsi

billet doux » est une formule qui rappelle la comédie ou le vaudeville. Elle reprend par ailleurs, et répète, les mots de la lettre du roi, dont elle raille le manque d’imagination ; cette moquerie de la servante à l’égard du roi est soulignée par la diérèse dans la diction du mot « imagination » qui occupe tout l’hémistiche et qui fait écho au premier hémistiche du vers précédent, « il a tué six loups » : on peut en effet constater que ces deux hémistiches sont liés par des assonances en [i], [a], et