Les Dangers Des Particularismes Religieux

Ford (Zaleznik et Kets de Vries, 1975) -Attachement légendaire de Henry Ford au modèle T -Refus de considérer que ce modèle puisse être frappé d’obsolescence. -Déni de la réalité qui permit aux concurrents de se développer au point de mettre en danger la Ford Company. -Modèle T ; une manière pour Fold de reconstruire la relation à son père d’où un investissement symbolique considérable. Le père de Ford était fermier, Ford ne voulait pas suivre cette voie mais fabrica un véhicule pour les fermiers

donc s'empêcher de s'interroger sur cette situation qui, a priori, est inquiétante, voire absurde ou insupportable. La finitude humaine et la question du salut Le salut désigne d'abord et avant tout le fait d'être sauvé, d'échapper à un grand danger ou à un grand malheur : la mort. À ce péril, les religions prétendent nous faire échapper. La philosophie prend le relais pour ceux qui ne sont pas convaincus. La mort désigne en général tout ce qui a appartient à l'ordre du jamais plus, ce qui

la Confédération pour créer un réseau unique au niveau du Reich → Echec à cause des états du Sud CONCLUSION : Le Reich n’est pas un état unitaire centralisé mais un état fédéral où coexiste des institutions communes et des puissances sans particularisme. Bismarck pensait que le fédéralisme convenait mieux aux réalités allemandes. Chapitre 2 : La vie politique dans le Reich bismarckien, 1871-1890 Les partis politiques Les partis conservateurs   Le Deutschkonservative

vertueux , la morale tant a l'accomplissement interieur de l'etre humain elle régit le fort interne . Au contraire le droit ce dsinteress de la vertue et de la temperence , exemple : l'alcolisme en soit n'est pas sanctioné , mais si celui ci met en danger il sera alors sanctioné , interdit de conduire en etat d'ivresse. De la meme facon la haine n'est pas sanctionée par le droit mais si elle se traduit par des actes plus ou moin violants le droit intervient. Le droit quand a lui regle uniquement

fait cesser les persécutions. Il réussit à faire vivre plus longtemps cet empire. On note le développement des particularismes. Avant, il y avait l’aspect unificateur de la civilisation romaine. Au moment où les valeurs politiques s’étiolent, le cadre romain n’est que théorique et els cultures locales réapparaissent comme en Gaulle, en Palestine, en Afrique romaine où les particularismes se développent et où la langue romaine n’est que la langue des intellectuelles et celle de l’administration. Depuis

plus tard, Planiol a cette phrase terrible : « Les morts ne sont plus des personnes ; ils ne sont plus rien » 2 , condamnation confirmée par notre droit positif 3 . Sommes-nous résolus à cette finitude ? La quête de transcendance, la remontée du religieux (en des formes parfois aberrantes), la vogue actuelle de la cosmologie portent à croire 1 2 3 Siéyès, Qu'est-ce que le Tiers État ?, rééd. PUF, 1982, 44. Planiol, Traité élémentaire de droit civil, I. Pichon, 1904, n° 371, p. 145. Cf. la thèse de

seraient distribués dans différentes Cours souveraine. Un but : désencombrer le parlement de Paris ainsi que de rapprocher la Justice auprès des justiciables (territoire assez important). Sous l’Ancien Régime, la population est assez attachée à ses particularismes locaux que ce soit culturel, économique mais aussi juridique. Pour l’administration d’une bonne justice, il fallait instituer ces Cours souveraines dans les principales villes. Cette distribution avait un but pratique : ceci a des implications

fusionner dans un seul État mondial, qui supposerait un seul peuple, ce qui n’est pas le cas. Le seul point sur lequel il importe que les États s’entendent, c’est sur la nécessité de se soumettre à des obligations légales, qui vont au-delà des particularismes de leurs volontés d’État, dans la reconnaissance d’un Droit universel. «Compte tenu de la méchanceté de la nature humaine », cette obligation devra être en fait une contrainte imposée. Déjà, à l’intérieur de l’État, il semble que les hommes

droits équivalent à ceux du roi sur leurs terres). Mais le roi de Fr. n’a qu’un certain nombre de pouvoirs, il ne peut mobiliser quand il le veut sa population. N’est qu’un prince de l’Ile de Fr. et des bords de Loire. Le royaume est pétri de particularisme. Les délimitations des frontières sont ambigües (où commence l’empire, ou commence le royaume ?) Avec l’empire, il y a une marche (mouvance frontières). Les droits sont ambigus. B - Un royaume grand comme l’Europe A l’intérieur du royaume, il

pour accéder au pouvoir, pour s'y maintenir, et pour en user de la manière la plus utile possible". Donc avec Makiavel, la politique comme lutte pour le pouvoir commence à être pensée pour elle-même, de manière distincte du religieu, le politique commence à s'autonomiser du religieu avec Makiavel. Il se met donc au service du prince, en tant que penseur, et comme Gilles de Rome, Makiavel s'évertue à rationnaliser l'exercice du pouvoir, rationnaliser, mot important, ça veut dire pas seulement penser raisonnablement