Les Dangers Des Particularismes Religieux

prétendent aussi qu'il existe des chevauchements, il y avait une justice publique et parallèlement il y avait toujours la vengeance privée que l'on laissait faire. Les caractéristiques de la justice archaïque : Les infractions étaient d'ordre moral et religieux. La notion de culpabilité était totalement inconnue (responsabilité objective). La sanction pénale est d'une très grande sévérité, barbaries, peines de mort, supplices. La peine n'avait avant qu'une fonction, l'expiation du coupable (la punition)

il exerce son pouvoir par la force avec fermeté, les sujets n’ont quasiment aucun droit, il est rarement contesté car il a une légitimité divine il est souvent désigné par les Dieux soit directement soit indirectement. Le monarque a un caractère religieux car il peut interpréter les messages divins. Tous les actes du monarque sont guidés par les Dieux donc légitimité. - la Cité le mot cité est fondé sur le mot Grec ‘’polis’’. Il y a des citoyens, le droit est partagé par des magistrats qui agissent

compréhension psychosociologique suffisait pour appréhender les processus interactionnels qui se déroulent au sein des organisations, alors, toutes les sociétés seraient analysées à travers une même grille d’analyse sur les plans social, culturel, religieux etc. Les problèmes de l’individu au travail ont une dimension psychologique certes, mais sont un maillon d’un enchevêtrement de dimensions concourrant à façonner – devrions-nous dire, à élucider une même réalité situationnelle. L’homme au travail

code de droit qui fut retrouvé dans sa quasi-totalité au 20eme siècle. Les principes de l’Empire pharaonique et mésopotamien reposent sur l’obéissance à un monarque, dont le pouvoir redoutable car absolu repose sur un double fondement, militaire et religieux : la législation est réputée avoir une origine divine. En Ananatonie ( Arménie/ Turquie) qu’on appelait l’Empire Hittite. Cet Empire connu deux grandes périodes. La seconde période 1400->1300 avant JC était une société féodale militaire et

qui devraient guider la comparaison. Cette théorie permet de dépasser le paradoxe de la méthode : → comparer c'est d'abord connaître son propre droit. → la référence à son propre droit va aider à entrer dans le droit étranger. Cela représente un danger car on va être influencé par notre propre droit. Mais à présent le droit étranger peut ne plus être étranger → difficultés de percevoir les différences. La théorie va permettre de dépasser ce paradoxe, elle va permettre une confrontation radicale

de la Constitution. Certains pensaient qu'il fallait qu'elle fasse partie de la Constitution. Maloue, Lally-Tollendal, Mounier sont des monarchiens, anglomanes pour qui ils n'est pas nécessaire de faire une déclaration des droits. Pour eux, il y a danger à séparés l'énoncé abstrait des droits et la mise en forme concrète. Pour d'autre, l'enjeux est ailleurs, il faut rechercher un fondement indiscutable à la souveraineté de la Nation. Les députés se sont auto-proclamés représentants de la Nation, une

acquis autrement que par les concours, dans les comportements d'ouverture... Petit rappel : l'entreprise est le premier lieu de discrimination avec plus de 50 % des réclamations enregistrées par la Halde en 2007. Par conséquent, un des grands dangers de la lutte contre la discrimination est de vouloir en faire un combat pour l'égalité à tout prix ? Philippe Pierre : Et ainsi tomber dans le travers d'une société de victimes et d'oppresseurs désignés... Assimiler, vouloir oublier les différences

vues générales ou universelles contaminés par des considérations particulières qui sont pourtant nécessaires à l’application de la loi. Par exemple : la loi peut énoncer un principe général et le décret d’application des dérogations. Il y a donc un danger pour l’ »intégrité général pour que le peuple soit à la foi celui qui fait la loi et celui qui l’exécute. Rousseau dit ; les hommes ne sont pas des dieux, ils ne sont donc pas aptes à se gouverner eux même. « S’il y avait un peuple de dieux, ils se

rôle intellectuel, moral, économique et révolutionnaire du Juif, rôle que je n'ai fait ici qu'indiquer. Bernard Lazare, Paris, 25 avril 1894. 5 CHAPITRE PREMIER LES CAUSES GÉNÉRALES DE L'ANTISÉMITISME L'exclusivisme. -- Le culte politico-religieux. -- Iahvé et la Loi. -Ordonnances civiles et ordonnances religieuses. -- Les colonies juives. -Le Talmud. -- La théorie du peuple élu. -- L'orgueil juif. -- La séparation d'avec les nations. -- La souillure. -- Pharisiens et Rabbanites. -- La foi

de manières très diverses ont développé des attitudes, des conduites, des facultés, des activités qu’on ne retrouve pas dans la nature, y compris chez les animaux supérieurs qui sont proches génétiquement de l’homme. Par ailleurs, on peut voir un danger politique et moral à remettre ainsi en cause les fondements de l’humanisme. C’est pourquoi, il apparaît possible et souhaitable de considérer la culture comme la frontière qui sépare l’humanité de l’ordre naturel. Pour la troisième partie :