Les Fondements De La Démocratie Le Peuple Souverain

d'une affaire,tactique. LA POLITIQUE ET LES PREOCCUPATIONS DE ROUSSEAU L’état de nature Rousseau ne considère pas historiquement l’état de nature, mais hypothétiquement, simplement dans le but d’éclaircir les choses et de déterminer le fondement de la société civile. Il ne se base donc pas dans une perspective historique. Pour Rousseau, l’état de nature n’est pas un état de guerre de tous contre tous, mais état d’abondance, d’indépendance et d’innocence. A l’état de nature, les hommes sont

constitution va définir l’identité d’un pays (langue, drapeau, hymne, devise). Gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple (Lincoln). En 2004-2005, le Traité européen définis les mêmes points que la Constitution française. Les constitutions rappellent les fondements d’une Nation, d’une organisation politique. B) La signification du droit constitutionnel - Comment concilier autorité/liberté. « Un peuple qui souhaite sacrifier une liberté fondamentale pour protéger sa sécurité ne mérite ni l’une

philosophie Sujet : Le gouvernement par le peuple est-il nécessairement synonyme de liberté ? Pour prouver qu’il y a bien un lien aussi fort entre gouvernement par le peuple (soit démocratie) et liberté il faut d’abord s’interroger individuellement sur la notion de démocratie mais plus encore sur la notion de liberté. Il paraît évident que dans son sens commun de « faire ce que l’on veut » la liberté ne puisse être admise comme synonyme de démocratie, cependant on peut se demander si justement

politique sur une zone géographique ou un groupe de peuples vivant en communauté. Autorité politique : Législative, judiciaire et/ou exécutif. Selon J. Boudin : la souveraineté « est la puissance absolue est perpétuelle d'une République ». Souveraineté extérieure de l’État : Frontières, flux, échanges. Aide au bon fonctionnement de l'intérieure. Souveraineté intérieure : Souveraineté nationale et souveraineté populaire. Pb : Quels sont les fondements de la souveraineté nationale et populaire et quelle

gouvernant et gouverné. Il organise cette relation en mettant en mémoire un tiers qui est le souverain (celui qui a le droit au dernier mot). Ce rapport gouvernant gouverné même si le gouverné doit consentir au pouvoir du gouvernement. Une fois que l’on sait qui est le souverain, c’est lui qui aura le dernier mot que ce soit un peuple un dirigeant etc… Ce n’est pas pour autant que l’on connaisse le fondement de l’inégalité, ses limites etc. Le droit privée est un rapport d’échange de consentement

Constitution le principe est à la fois reconnue et protégé. a) la reconnaissance du principe Ce principe est reconnue dans l’art 1 de la Constitution qui dispose que la France est une République indivisible et l’art 3 précise qu’aucune section du peuple ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté cad ne peut se détacher de la France et prononcer son indépendance. b) la garantie du principe On peut dire que cette garantie est double car elle est à la fois constitutionnelle et légale.

La souveraineté Lors de la révolution française, on s’est efforcé de donner un fondement juridique à la souveraineté, tenant plus à la religion ou à la tradition, mais résidant désormais dans la collectivité des citoyens. La souveraineté se définit comme un pouvoir reconnu à l’Etat, qui implique l’exclusivité de sa compétence sur le territoire national et son indépendance dans l’ordre international ou il n’est limité que par ses propres engagements. Par ailleurs, il faut faire une distinction

un corps politique. « Le droit c'est l'ensemble des conditions qui permettent à la liberté de chacun de s'accorder à la liberté de tous. ». Parmi ces condition, il y a la loi, condition indispensable à la liberté de tous et l'interdit qui est au fondement de cette loi. Par exemple dans l’école la condition qui assure la liberté de tous les élèves est le règlement intérieur, le recours au chef d’établissement, aux professeurs ou au rectorat. Mais si nous obéissons aux lois instituées de manière servile

universel qui lie toutes les choses entre elles. Le cosmopolitisme consiste dans l'idée d'une cité universelle : l'homme est un citoyen du monde. Il implique l'idée d'un universalisme politique (Rome conçoit sa citoyenneté comme accessible à tous les peuples). Il ne s'agit pas toutefois dé la conception contemporaine des droits de l'homme (Cicéron) • L'homme n'est pas un animal social Il y a des arrière-pensées inhérentes à la comédie sociale (mobiles, sous le goût en société, plaisir

sont tous égaux, le pouvoir appartenant à la masse et chacun exerçant un pouvoir homologue aux autres citoyens. De plus, ils sont tous libres de leurs actions, de leurs conséquences et de leur avenirs, car ils décident, de façon autosuffisante (le peuple) de leurs lois, programmes et autres mesures politiques. Ensuite, la Rome Antique nous a offert l’auteur intemporel qu’est Cicéron. Ce dernier affirmait que le suzerain bien se trouve dans la vertu. C’est en cultivant ceux-ci (les vertus) que l’on