Les Limites De La Citoyenneté Athénienne

appartenant à d’autres ethnès. Les pop° d’origine non grecques se posent le pb de leur absorption dans l’Etat : si les Grecs = plus ou moins assimilés aux Macédoniens, les autres semblent avoir eu un statut de liberté mais qui ne leur donnait pas la citoyenneté macédonienne ( conscience d’appartenir à l’ethnos macédonien). Ils payent un tribut, ont gardé leurs terres quand elles n’ont pas été confisquées (après révoltes). Toutes les pop° qui n’ont pas fait obstacles à l’avancée macédonienne, les terres

appelé à statuer lui-même sur certaines lois, par les référendums, véto ou initiatives populaires Grèce antique autour du VIe siècle avant JC : Démocratie athénienne (démocratie directe) : Tous les citoyens athéniens avaient le droit de prendre la parole et de voter à l'Ecclésia (assemblée des citoyens) mais aucun droit politique ni citoyenneté n'était accordés aux femmes, aux esclaves, aux métèques. Les grecs disaient avoir une démocratie fondée sur l’égalité des citoyens alors que c’était une minorité

Sparte ou à Athènes, les citoyens ne représentent qu'une faible minorité des citoyens, jamais plus de 10 % parce que les femmes sont exclues de la citoyenneté comme les esclaves, les métèques étant dans le monde grecs, des grecs non citoyens de la Cité. La Grèce en effet, à la différence de Rome se caractérise par un accès très restrictif à la citoyenneté, on finit par exiger que les deux parents soient natifs de la Cité pour que le mâle devient citoyen. Autrement, on sera considéré comme un métèque

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4 grammes environ) et le tétradrachme attique en argent (de 17,2 grammes environ). Or, au début du Ve siècle, la monnaie athénienne s'imposa progressivement dans le monde égéen et même au-delà, non seulement à cause de son excellent aloi et de son abondance, due à la richesse des mines du Laurion, mais aussi grâce à la domination politique de la première confédération athénienne, fondée en 478 avant J.-c. Plusieurs cités abandonnèrent peu à peu la frappe de l'argent et adoptèrent les « chouettes»

qu’elle est. Tandis que, si le même sort frappait les Athéniens, on prêterait à leur cité, d’après les apparences extérieures, une puissance double de la sienne. Il ne faut donc pas élever de doutes ni s’arrêter à l’apparence des cités plutôt qu’à leur puissance. »En ce qui concerne les sources littéraires, Sparte n’est guère mieux lotie. Les sources vraiment spartiates sont rares et limitées dans le temps. Il s’agit de deux poètes, Tyrtée (Athénien installé à demeure à Sparte) et Alcman (VIIème S av

s’appuie le plus souvent sur le principe majoritaire, selon lequel l’ensemble de la collectivité doit suivre la décision choisie par la majorité de ceux qui se sont exprimés. Si l’histoire du vote est très ancienne, remontant au régime politique athénien, nous avons ici choisi de ne nous intéresser au vote que dans son contexte contemporain, et dans le cadre d’une démocratie. En effet, l'utilisation politique qui peut être faite du vote par les régimes autoritaires n’est qu’un détournement du vote

affaires publiques remonte aux origines de la démocratie, c'est-à-dire à la démocratie Athénienne. Le fondement du régime est en effet la souveraineté populaire représentée à l'Ecclesia, organe principal du régime. Ces principes sont réutilisés au XVIIIè siècle. Là encore la démocratie se définit par la participation du peuple aux affaires publiques. De ces conceptions politiques, une certaine idée de la citoyenneté fait son apparition. Être citoyen implique de s'engager c'est-à-dire de participer au

inventeurs de la science politique et du vocabulaire du pouvoir . Le mot politique vent du terme polis ( cité en grec) Politicos : ce qui est relatif à la cité Politéia : la constitution Les grecs sont aussi les inventeurs de la cité et de la citoyenneté et de la notion de constitution dans le sens de régime politique . Héritage romain : Ils ne sont pas les inventeurs du droit . Les droits sont l'ensemble des règles applicables à une communauté (inventeurs de la science juridique , du droit

Le statut de citoyen Qu'est-ce qu'un citoyen? Aristote (texte 1 de la brochure) Avant lui, personne ne se penche vraiment sur la question de la citoyenneté. Il s'est interrogé sur les Constitutions (dont ne reste que la Constitution athénienne). Qui est le citoyen absolu, par rapport aux citoyens « imparfaits »? En grec, citoyen = polites, qui appartient à une cité = polis (micro-communauté fondée sur le parti pris de vivre ensemble). Pour la majorité des Grecs, la vie ne vaut la peine que