Les Limites Du Toyotisme

pesqueux@cnam.fr Résumé Abstract La mise en avant de la figure du client pose la question de savoir si nous assistons à la fin du modèle taylorien – fordien et à l’émergence d’un nouveau modèle d’organisation qualifié de posttaylorien. La réponse se limite le plus souvent à reconnaître l’évidence de cette nouvelle The way by which the concept of client has been put to the fore raises the question to know if we are living the end of the taylorism and the fordism or if we live the emergence of a new

du travail. Pour aborder la globalité de ce questionnement, il conviendra dans un premier temps de déterminer en quoi la flexibilité du travail constitue un moyen d'agir favorablement pour l'emploi, puis de considérer dans une seconde partie les limites économiques et sociales d'un tel projet. I. La flexibilité du marché du travail : une incidence positive pour l'emploi Pour démontrer les effets favorables de la flexibilité du travail sur l'emploi, il convient avant tout d'évoquer l'analyse

de toute organisation, qu’elle soit publique ou privée, à but lucratif ou non. La gestion des coûts représente un secteur important dans ces organisations et surtout leurs réductions. Mais pourquoi et comment les réduire ? Et quelles en sont les limites ? Produire toujours plus, plus vite et surtout le moins cher possible a inlassablement été l’objectif principal d’une entreprise. La rentabilité d’un produit indique invariablement si une entreprise continuera sa production ou pas. Si les bénéfices

rythme de travail et contrôle ( Division horizontale du travail = décomposition des tâches en gestes élémentaires et rationalisation pour élever la vitesse de réalisation ( Salaires aux rendements ( Début de la production de masse Limites de Taylor  ( Humaines : Absentéisme Rotation Baisse de la qualité ( Sociétales : La demande évolue (plus personnalisée) ( Technologiques : Automatisation des tâches répétitives Ford 1908 ( Taylor + chaîne de montage Augmentation

renouveau technologique. Ex: taylorisme + électricité, toyotisme + NTIC. 1ère révolution industrielle = factory system basé sur les machines à vapeur et sur le savoir-faire des ouvriers, "héritiers des secrets des corporations" (Coriat). L"électricité est tout d'abord apparue comme une possibilité de démocratisation de l'énergie pour les artisans. - Les nouveaux principes de l'organisation du travail. Complémentarité entre les NTIC et le toyotisme. adéquation entre : le juste à temps (production par

ralliera finalement à Roosevelt durant la guerre. Le fordisme est rentré en crise avec la globalisation, la concurrence organisée d’une partie des pays pauvres, les pays dit émergeants peuvent toujours appliquer du taylorisme sans fordisme. Le Toyotisme ou l’amour des petits robots. Toyota est durant l’entre deux guerre le fondateur d’une société qui fabrique des métiers à tisser, il fait fortune en inventant un mécanisme automatique qui permet aux métiers à tisser de s’arrêter tout seul dés que

sociétés modernes. Selon Weber, la bureaucratie représente l’idéal type de la ‘domination légale rationnelle’ cst une forme de pouvoir, d’autorité basée sur la loi et sur un droit abstrait. La bureaucratie se développe ds l’administration mais ne se limite pas à ça. BUREAUCRATIE : cst une forme d’organisation qui est caractérisée par la prépondérance des règles de procédure appliquées par des agents spécialisés. Selon Weber, il représente l’outil le meilleur pour la rationalité des sociétés modernes

Politique des conditions de travail DOC 1 Politique de gestion des carrières GPP B – Production Externalisation Toyotisme C – Délocalisation / mondialisation II – Les raisons du développement de la flexibilité et ses limites A – les raisons Concurrence mondiale Ouverture des marchés Fusion DOC 2 NTIC Consommateurs B – Ses limites Chômage / précarité Gestion par le stress Stock 0 Coût écologique Idée pour l’ouverture de la conclusion : la notion

années 70 au rejet du taylorisme d’où résultera un ralentissement des gains de productivité provoqué par l’absentéisme, les grèves, le turn-over… La division du travail poussée à l’extrême se révèle contreproductive. A Smith avait mis en évidence les limites humaines de la division du travail. Marx parlait d’aliénation du travailleur.Les gains de productivité sont aussi annulés par une spécialisation trop poussée et une taille trop grande de l’entreprise qui démultiplie les compléments nécessaires à la

intéressant pour un employé qui voit sa motivation grandir et ses compétences se multiplier, il devient ainsi un opérateur polyvalent. I- Un nouveau contexte imposant de profondes transformations. A. La double limite du taylorisme. B. De la rigidité à la flexibilité : le toyotisme. II- Des effets contrastés sur l’emploi. A. Du travail au capital humain B. La fragilisation des statuts. I) Les nouvelles organisations remplacent le tayloro-fordisme A. La flexibilité B