Les Logiques De La Participation Politique

par le monopole de la violence légale, crée l’ordre social par la loi. Le pouvoir d’Etat s’exerce dans les limites d’un territoire et il correspond le plus souvent à une nation. Institution, il se manifeste concrètement comme un ensemble d’organes politiques et administratifs : le gouvernement, le Président, le Parlement, les administrations, etc. Autres définitions Généralités Régulation : ensemble des mécanismes assurant la stabilité de l’économie à un niveau jugé acceptable par la société. Budget

institutions politiques. Ces institutions s’inscrivent dans un cadre dynamique. Ces échanges peuvent être organisés par la constitution mais peuvent aussi s’articuler en marge du texte. On ne peut donc pas se limiter à une étude des dispositions constitutionnelles. Bilan : Cette définition est incomplète, elle ne permet pas de résoudre la question. On va donc définir le droit constitutionnel par son objet : Le Droit Constitutionnel relève de l’encadrement juridique et des phénomènes politiques. Dans ce

subséquent. J'insisterai aussi sur la suprématie de la logique financière résultante de l'exposition croissante aux marchés (OPA, OPE...), la recherche de rendements plus importants pour les entreprises au détriment des investissements, le gonflement artificiel des dividendes, la spéculation sur les monnaies qui pénalise parfois les entreprises (Airbus). La logique financière induit forcément des bouleversements sur l'économie réelle (participations croisées). Un risque de destabilisation et de systématisation

Lisbonne. Certaine dispositions renforce la logique communautaire, d’autre confirme la nature intergouvernementale de l’union européenne, ainsi le traité rénove l’architecture des institutions, assoupli la prise de décision, et renforce la représentation extérieur de l’union. Le traité de Lisbonne, traité plus modificatif que réformateur permet-il de garder l’équilibre communautaire et intergouvernementale de l’UE ? I) Un renforcement de la logique communautaire du traité On va voir tous

Introduction : 1848 : passage au suffrage universel : on passe de 240 000 votants à 9 977 000 : x40 Pas de remise en question conjoncturelle du principe, sorte de consensus national, et forte participation Mais s’il nous paraît évident, le SU ne l’est pas : il y a trois grandes idées toutes faîtes sur le passage du français à l’électeur : • Le SU a fait l’objet d’un consensus national absolu, jamais remis en question, et ce depuis 1848 : en vérité, il a été adopté sous la contrainte et subi

sujets de droit 3. l’indépendance de la justice 4. séparation des pouvoirs II. PRINCIPES FONDAMENTAUX DE LA BONNE GOUVERNANCE 1. La transparence b. Lutte contre la corruption 2. La participation La bonne gouvernance 3. La participation a. promotion de la démocratie 4. La participation b. développement participatif et durable. CONCLUSION INTRODUCTION L’Etat de droit est « un système institutionnel dans lequel la puissance publique est soumise au droit ». Cette

métier. A ces trois types d’intégration se rajoute une logique d’assistance qui prend en charge les mendiants domiciliés territorialisés et en incapacité de travailler. Ce qui indique qu’il y a les bons pauvres et les mauvais pauvres (c’est celui qui mendie mais qui n’est pas en incapacité de travailler), d’où une chasse au vagabond. Cette question là hante l’ancien régime et va hanter le 19ième siècle, l’idée c’est que le pouvoir politique a peur des individus qui sont en libre circulation sur le

différents acteurs et parties prenantes, tant aux échelles locales [1] que globales et nord-sud [2] [3] Sommaire[masquer] * 1 Les grands types de gouvernance * 2 Origine du terme * 2.1 Étymologie * 2.2 Généalogie * 3 Gouvernance politique * 3.1 Le système onusien * 3.2 L’approche de la Banque mondiale * 3.3 L’approche de l'Union européenne * 4 Gouvernance de l’entreprise * 5 Gouvernance stratégique™ * 6 Gouvernance de famille * 7 Cadre analytique de la gouvernance

nécessairement représentative. La démocratie et la représentation n’ont pas toujours été pensées comme allant de paire et ont même initialement été pensées comme incompatibles. En réalité les notions de représentation et de délégation au moins dans l’espace politique sont des notions qui n’apparaissent qu’avec les révolutions modernes (Américaine et Français) On va donc faire un détour historique pour voir pourquoi elles étaient vu comme incompatibles et pourquoi elles sont devenues évidentes pour nous. 1.1 Une

Introduction : Baruch Spinoza dans Traité politique (1677) écrit : « Les hommes ne naissent pas citoyens, mais le deviennent ». On comprend alors que la citoyenneté est un privilège qu’il faut acquérir ; être citoyen n’est pas une chose innée. Mais avant tout : qu’est-ce qu’un citoyen ? Dans son Dictionnaire philosophique, André Comte-Sponville définit le citoyen comme « le membre d’une Cité, en tant qu’il participe au pouvoir souverain (autrement il ne serait que sujet) et lui est soumis (sans