Les Lois Memorielles

engagements politiques. ~> La France combattante Gaulliste: 1944 (25 aout)= discours de De Gaulle à l’hôtel de ville pour poser les bases du résistancialisme. 1945 = période refoulée , les Français veulent oublier! + période d’épuration 1947 = vote des lois d’amnistie Lecture officielle de De Gaulle: admise par parti de droite+centre, le régime de Vichy est une parenthèse dans l’histoire de la République + la France a combattu avec les alliés et la résistance et contribuée à la libération du pays. ~>

Clément(1946) qui met en scène les actes de résistance des cheminots français, La Grande Vadrouille (1966) comédie légère dans le décor de la France occupée ou L’armée des ombres de Jean-Pierre Melville (1969), s’inscrit dans cette même construction mémorielle qui privilégie l’oubli. La Résistance occulte les autres pans de la mémoire de la guerre. Cependant les Français ne se rallient pas en masse à cette vision exaltante, imposée par l’Etat et qui n’est véritablement dominante après le retour au

remis en cause au sein des sociétés. Les diverses lois d’amnistie en France depuis la fin de la seconde guerre mondiale illustre cette marche vers le refus de l’amnistie. II – Les amnisties remises en question : faut-il punir ou peut-on pardonner ? Deux périodes d’amnisties en France sources d’illégitimité Les deux principales périodes d’amnistie en France renvoient à deux fait majeurs de son histoire. Tout d’abord, de 1951 à 1953, des lois d’amnistie sont votées en faveur de la collaboration

La bipolarisation des mémoires laisse peu de place aux autres mémoires. La mort de PETAIN en 1951 montre une contre mémoire maréchaliste. C_La construction d’une mémoire GAULLISTE DE GAULLE revient au pouvoir en 1958. De 1951 à 1953 c’est les lois d’amnisties qui sont mises en place pour vider les prisons des derniers criminels condamner pour collaboration avec l’ALL II : LES MEMOIRES FACE A L’HISTOIRE A_1970 la remise en cause du resistansialisme 1969 film > LE CHAGRIN & LA PITIE

français à l'occupation et à l'adhésion massive au pétainisme, au moins jusqu'en 1943, les collabos seulement une minorité, – 2. Des mémoires éclatées à la mise en place de la mémoire gaulliste (1947-1969) – -La fin de « l'union sacrée » mémorielle: fin du resistancialisme, c'est la Guerre froide, opposition des communistes, critiques sur leurs actions à la Libération « les 100000 fusillés » (10 fois que la réalité) c'est la légende noire de l'épuration sauvage, diabolisation des communistes

certaines aides financières. Les atteintes à la liberté d'expression sont extrêmement nombreuses en France, davantage que dans les autres pays développés. Philippe Nemo souligne que les lois Pleven, Gayssot, Taubira, etc. établissent une législation de censure comparable à l'Inquisition : Ce que les nouvelles lois françaises de censure demandent aux juges, c'est de sanctionner des pensées en tant que telles (...) On leur demande donc quelque chose de très proche de ce que l’Église demandait jadis

INTRODUCTION : Notion de la loi et différentes lois (consti, org, ordi, voire "lois" communautaires (UE)... lois référendaires et parlementaires) . Aspects de philosophie politique possibles à ce stade (origine avec la loi naturelle, la loi divine-commandement -dans certains Etats encore aujourd’hui —>Etats religieux... ) Donc tradition grecque, hébraïque et romaine pour l’essentiel. Prolongement évident sur le plan des idées (Cicéron... Saint thomas, Hobbes, Bodin, Rousseau, Sieyes...). La loi hier

n’impose pas des membres dans le gouvernement, il agit de manière républicaine en mettant en avant le droit de vote.De plus, ce sont les magistrats qui votent les lois, cela veut dire qu’elles ne sont pas choisies uniquement par l’empereur mais qu’elles cheminent des citoyens vers les magistrats qui votent par la suite en faveur ou contre ces lois proposées.Enfin, l’empereur prend de plus en plus le rôle des institutions républicaines dans l’empire romain lorsque les comices disparaissent. Le peuple s’efface

l’extrême-droite autour du FN de Jean-Marie Le Pen(« détail de l’histoire ») -> inquiétude des français juifs, prise de conscience de la complicité du régime de Vichy dans le génocide des juifs, le génocide devient l’objet d’une intense activité mémorielle. -1979 : création de la FFDJF (Fédération des fils et des filles des déportés juifs de France) pour soutenir l’action de Beate et de Serge Klarsfeld -2ème tournant avec le film « Shoah » de Claude Lanzmann en 1985 (monument de 9h tardif mais

ppThème n°1 : historiens et les mémoires de la 2nd guerre mondiale en France. Chapitre 1 : la mémoire résistante (1944-1970). - 1944 : libération de la France. - 1945 : procès de Pétain et de Laval. - 1951-1953 : Armistice et mise en place des lois d’amnistie pour les collaborateurs. - 1960 : inauguration du mémorial de la France combattante. - 1964 : transfert des centres de Jean Moulin au panthéon. I. A la libération s’élabore le mythe résistancialiste. - A. Durant l’occupation des français