Les Lois Memorielles

à mort au terme d’un procès bâcler. Il est fusillé le 15 octobre 1945. A partir de 1946, on veut mettre un terme au procès et fermer la parenthèse du régime de Vichy. On créer alors les lois d’amnisties en 1946, 1947, 1951 et 1953 qui ont pour but le pardon des actes collaborateurs pendant l’occupation. Ces lois participent à une véritable vague d’oublie. Deux forces politiques, les gaullistes et les communistes, tentent d’enraciner l’image d’une France résistante et les historiens vont participer

pouvons nous demander quelles sont les causes et les conséquences de la fin du mythe résistancialiste, et quels sont les enjeux de la transmission des mémoires aujourd’hui en France. Tout d’abord, nous étudierons la contestation de la politique mémorielle qui a lieu dans les années 1970, puis nous nous intéresserons à l’éclosion de la mémoire juive. Enfin, nous verrons que la transmission des différentes mémoires est un enjeu pour l’Etat comme pour les historiens. Le mythe résistancialiste domine

humaine de Robert Antelme ils sont publiés en 1946 mais ils n’arrivent pas à déchiré le silence des français. Là encore on voit la volonté de tourner la page d’ailleurs le pouvoir continu à chercher les réalités historique en 1951 et 1953 sont voté 2 lois d’amnistie qui permette de libérer presque tous les collaborateurs qui était en prison. C’est seulement dans les années 60 et 70 que le passé remonte à la surface. II. Le tournant des années 60-70 : la prise de conscience de la réalité du système

est principalement réhabiliter le nazisme. Il est aussi utilisé pour désigner la négation, la contestation ou la minimisation d’autres faits historiques, en particulier ceux qu’on pourrait qualifier de crime contre l’humanité. - Loi mémorielle : c’est une loi déclarant, voir imposant, le point de vue officiel d’un Etat sur les évènements historiques. A l’extrême, une telle loi peut interdire l’expression d’autres points de vue. - Crime contre l’humanité : le concept de crime contre

50 000 condamnés pour intelligence avec l'ennemis De Gaulle : France unie, il tait les crimes commis par le régime de Vichy (18 juin 40 : _________RESISTANCE, appel de Londres) Début GF divise les mémoires de guerre -> 50's : Bipolarisation mémorielle Primo Levi "Si c'est un homme" 1947 - succès 70's (évolution de l'opinion public sur les juifs) René Clémentin "La bataille du rail" : France unie Mémoire Gaulliste triomphe : retour de De Gaulle au pouvoir en 1958

Depuis plusieurs années, les historiens constatent une confusion entre ces deux matières, notamment par les politiciens qui donnent l’apparition en France de lois mémorielles qui ont suscité un débat entre les historiens, soucieux de défendre leur liberté de recherche, et les politiques, préoccupés par la défense de la mémoire. Une loi mémorielle est une loi déclarant, voire imposant, le point de vue officiel d'un État sur des événements historiques. C'est à dire interdisant à quiconque de discuter

de l’impartialité dans les mémoires. L’historien doit amener des preuves pour appuyer les mémoires. Les lois mémorielles Définition : loi imposant un point de vue sur un évènement historique 1991, punition de la négation de crime contre l’humanité. Colère des historiens révisionnistes, énonçant une atteinte à leur liberté professionnelle. Réclamation de l’abrogation des lois mémorielles (incluant la loi de 1991, mais aussi celle sur e génocide arménien, la traite des esclaves…etc). Conclusion

Gayssot, une loi mémorielle visant à punir tout négationnisme du génocide juif, plus tard d'autres lois mémorielle ont été votés ( sur l'esclavage, le génocide arménien) . Cependant, ces lois mémorielle on suscité l'inquiétude de certains historiens (ex : Pierre Vidal-Naquet, Max Gallo) qui y ont vu un danger à ce que le politique se mêle de la recherche et de l'enseignement en histoire. En effet, l'état ne doit pas dicter l'histoire, l'histoire doit être enseigné. De plus les lois mémorielle porteraient

degager une vérité commune. Mémoire officielle : Lois mémorielles La premiére loi mémorielle en France et la loi Gayssot du 1 juillet 1990. Elle a été adoptée dans un contexte de publicité des théses du négationniste Robert Faurisson remettant en cause le génocide des Juifs. Son but etait de lutter contre ce négationnisme et de reconnaître la douleur des survivants et des descendants des victimes. Le debat sur les lois mémorielles a jailli vigoureusement aprés le vote de l'article 4 de

passé, aux accusations de négation de l’histoire, l’expression de la volonté d’un universalisme plus horizontale, comme décrit par Souleymane Bachir Diagne et donc de politiques mémorielles plus inclusives. Le concept d’oubli actif théorisé par Nietzsche est aussi mobilisé pour expliciter l’idée d’un ressassement mémoriel empêchant un redéploiement vers le futur. Loin d’une amnésie de l’histoire, ou même d’une lecture anachronique de celle-ci, il faudrait, semble-t-il, considérer les déboulonnages