Les Monarchomaques Protestants Et Catholiques

royale. Ces règles ont donné naissance à l'adage "En France, les lys ne filent". Le trône de France ne tombe pas en quenouille * La loi de catholicité : le roi de France est sacré et a donc des responsabilités vis-à-vis de l'Eglise. Il doit donc être catholique. Aucun problème jusqu'au XVIème , puis le protestantisme apparaît. Luther pose la règle, utilisée en Allemagne et Angleterre, selon laquelle la religion du roi détermine celle de ses sujets. A partir de 1577, on s'inquiète en France de la portée

depuis le 16ème siècle. La rupture on la perçoit lorsqu’on aperçoit St Thomas d’Aquin qui dit qu’on ne peut pas arriver à un bon résultat par des mauvais moyens. 1520 c’est avant la réforme protestante donc nous vivons dans un monde catholique alors que la pensée de Machiavel n’est pas une pensée catholique mais une pensée moderne. L'État possède une liberté totale dans le choix de sa forme structurelle et juridique. Il a la possibilité de choisir la structure qui lui permettra de réaliser ses objectifs

d’autres penseurs qui se sont intéressés à l’œuvre de l’homme : comment un état apparaît ? Certains prétendent que c’est par le biais d’un contrat qui lie les sujets à ceux qui détiennent le pouvoir. Les premiers à avoir théorisé ça sont « les monarchomaques » : Théodore De Bèze. Il considère que s’il y a une rupture dans le contrat, on va à la tyrannie, la société ne serait plus stable. Cette théorie va avoir du succès. Elle va être reprise pas Rousseau (l’homme est bon, la société pervertie l’homme

droit d'aînesse qui attribue la Couronne à l'aîné des fils du roi défunt. A défaut, et dans l'ordre, les frères, neveux et cousins du roi seront appelés à la succession. - Le principe de catholicité qui réserve le trône aux princes de religion catholique. b) Le principe de l'indisponibilité de la couronne La couronne n'est pas disponible. Le roi ne saurait en disposer. La succession au trône n'est pas une succession de droit privé. Le roi est le successeur et non l'héritier de son prédécesseur

présenté trois trais principaux : * Elle était fondée essentiellement sur le mariage * Elle supposait la monogamie * Elle impliquait une prépondérance de l’Homme. Ces trois trais s’expliquaient, en partie, par l’influence de l’église catholique. Ca correspond à un phénomène de déchristianisation. L’histoire de la famille en occident peut être découpée en trois périodes. Les deux premières périodes sont fondamentales car le droit familial d’aujourd’hui va se former ensuite sur ces

au droit d'aînesse qui attribue la Couronne à l'aîné des fils du roi défunt. A défaut, et dans l'ordre, les frères, neveux et cousins du roi seront appelés à la succession. - Le principe de catholicité qui réserve le trône aux princes de religion catholique. b) Le principe de l'indisponibilité de la couronne La couronne n'est pas disponible. Le roi ne saurait en disposer. La succession au trône n'est pas une succession de droit privé. Le roi est le successeur et non l'héritier de son prédécesseur.

dévolution de la couronne, mais aussi loi d’inaliénabilité du domaine de la couronne. En 1576, aux Etats généraux de Blois, Bodin s’oppose vivement à Henry III, qui cherche à se procurer des recettes pour mener la guerre contre les protestants et qui veut donner en gage le domaine royale à ses banquiers. Bodin s’oppose à cet engagement du domaine royal contre une rente rappelant cette loi fondamentale de la couronne qu’est l’inaliénabilité de son domaine. b. les lois divines

humaine. Théorie d’origines volontaire de l’Etat A) les monarchomaques : Auteur du XVI eme siècle : - Théodore Debaise : la franco-gallia - François Hotman Auteurs protestants. Le pape a tendance a se mêler des affaires des différents Etats. Les auteurs développent la théorie d’origine volontaire uniquement pour anéantir le pouvoir du pape de se mêler des affaires des Etats. Philipe le Bel et le pape Boniface VIII. Les monarchomaques sont plus présent dans les pays du nord : Henry VIII :

souveraineté n’appartient pas au prince qui n’existe que par le peuple » sa sous entend que cette souveraineté appartient au peuple lui même qui ne fait que la délégué au monarque. Reprise également par les monarchomaques, il s’attaque au dérive naissante de la royauté absolue. Ils sont surtout des protestant. Ils vont considerer qu’a l’origine la monarchooie francasi à été elective, le peuplle n’a fait que déleguer le pouvoir au monarque pour que ceux-ci l’exercent dans l’interet du peuple. Le monarque ne

est donc symbolique, elle est marquée par la rupture du bâton magistrale par le grand maître d’hôtel. Ce bâton magistral est l’insigne de sa fonction, de son pouvoir. V. Le principe de catholicité. Le roi doit être obligatoirement de religion catholique. Cette règle comme les autres dispositions a été instaurée de façon empirique à l’occasion d’une crise qu’il fallait régler. Cet ajout à la loi de succession apparait à la fin du XVIème siècle dans le contexte des guerres de religion. Dans un 1er