Les Monarchomaques Protestants Et Catholiques

fait que la royauté mérovingienne, avec Clovis, ait intégré de nombreux éléments du christianisme est probablement l’apport le plus important de cette dynastie. Clovis inaugure une politique d’alliance étroite entre le pouvoir royal et l’Eglise catholique. Cette alliance, nommée l’« Union du trône et de l’autel », est un des piliers essentiels jusqu’à la Révolution. Entre 496 et 499, Clovis, Roi barbare de la Gaule, prend la décision de se convertir, et se fait baptiser en même temps que ses guerriers

critique du pouvoir car dès l'ancien régime, la France va créer, susciter des théories, critiques contre la monarchie absolue. La 1ère de ces critiques apparaît au 16ème siècle avec les monarchomaques : littéralement ceux qui combattent le monarque. Il s'agit essentiellement de penseurs soit protestants, soit ultra catholiques (période de guerres de religions) qui considéraient comme légitime la révolte contre un roi se comportant en tyran et ne respectant pas la loi divine. Cela aboutira à l'assassinat

s’explique par la crise royale du 16e qui a fait penser et souhaiter une royauté renforcée. Une réaction contre les thèses de Monarchomaques : Dans les guerres de religions on retrouve les protestants et les catholiques. Mais ils ont a peu près les mêmes idées (les extrêmes se rejoignent). L’opposition Protestante à l’autorité royale s’est exprimée dans les écrits des Monarchomaques, parmi lesquels Théodore de Bèze (successeur de Calvin, publie en 1575 Du Droit des magistrats sur leurs sujets) et François

remporte la bataille. A la fin, il se convertit avec 300 de ses fidèles. 507 : bataille contre les wisigoth, Clovis la remporte. Depuis, il va s’appuyer sur les évêques. Présenté comme un libérateur car sur ce territoire, il est le seul roi chrétien catholique. Il est le seul qui a la même religion que les évêques vivant déjà là-bas. Lors de cette bataille, il obtient le titre de consule de la part de l’Empereur romain d’Orient. Il reçoit ces insignes consulaires à Saint Martin de Tour et il prend alors

regarde qu était son plus proche héritier. Et il se trouve que cet héritier était Henri De Navarre qui était le chef des Bourbons ( clan protestant ). Cependant à l'époque une loi instaurer par le Parlement ( arrêt Le Maistre) et on décida dés lors que le Roi devait etre un Roi catholique chrétien. Ce qui posait un léger problème, puisque Henri de Navarre était protestant. Les 7 étapes pour écrire une introduction : Une phrase d'accroche, à ne pas négliger, puisqu'elle doit intéresser le correcteur

Religion (en Allemagne, en Angleterre à partir de 1534, puis en France à partir de 1561) qui sont à la fois des Guerres féodales et des Guerres civiles. Ces Guerres de religion suscitent la naissance de partis confessionnels : le « parti catholique » (ou parti « dévot », qui formera la « Ligue », avec pour chefs les Guise ou les Montmorency) et le « parti huguenot » (avec pour chefs les Bourbon-Condé, les Coligny, ou les Navarre). Luttes sanglantes et vendettas de ces deux partis pour essayer

intégré de nombreux éléments du christianisme est très certainement l’apport majeur des mérovingiens au système politique de l’ancienne France. En effet Clovis, 1er roi mérovingien, inaugure la politique d’alliance entre le pouvoir royale et l’église catholique. Cette union entre le pouvoir temporelle et spirituelle est l’union du trône et le l’autel. Pilier essentiel du pouvoir royal jusqu’à la révolution. A la fin du 5ème siècle, entre 496 et 499, Clovis, un des rois barbares de la Gaule, prend la

se heurte à une foule d’obstacle matériel qui viennent limiter son action. Paragraphe 1 : la théorie de la monarchie absolue de droit divin Il faut bien voir l’époque qui précède : au 16ème siècle avec les guerres de religions entre catholiques et protestants, l’autorité royale s’est trouvé bafouée et la France est soumise aux pillages et à l’anarchie. Il s’agit d’une période d’insécurité. Donc par réaction, au 17ème siècle les théoriciens ( ceux qui réfléchissent sur l’État ) placent tout leurs

des libertés) et selon laquelle le roi de France est le garant de ces libertés. Cette doctrine autorise au plan temporel le monarque français à surveiller les affaires de l'Église. Être gallican c'est affirmer, non pas la rupture avec la religion catholique, mais l'indépendance de la France. Partie 2: La pensée politique Moderne (16e/17e siècles) Chapitre 1: La Renaissance On peut distinguer une pensée tournée vers l'édification doctrinale de l'État et une pensée critique par rapport

religion chrétienne mais non catholique, les protestants. On parle de schisme (la religion est rompue). Les protestants ont un chef en France qui est Calvin d’où le calvinisme. Les 2 religions deviennent des partis politiques dès lors que la Noblesse en prend part comme Henri de Navarre Duc de Bourbon (père d’Henri IV) pour les protestants et pour les catholiques : le Duc de Lorraine apparentant à la famille des Guise Quelle est la position du roi qui est catholique ? il a pour successeur, Henri