Les Monarchomaques

cours de l’histoire, pensé la question du régime politique, nombreux sont ceux qui reconnaissent que les régimes qui donnèrent lieu au plus grand nombre d’excès, à l’exception des tyrannies, furent les monarchies absolues, régimes que les auteurs monarchomaques qualifient de « cousines germaines de la tyrannie ». Ce petit détour historique montre bien que le titulaire du pouvoir constituant pourra s’évertuer à noircir de grands principes des pages entières, les réunir et appeler le tout Constitution

mars 1572 à juillet 1573 qui aboutit là encore à un statu quo. Un combat des idées s’engage – développement des théories « monarchomaques » (ceux qui combattent la monarchie d’un seul) – développement de Pamphlet (François Hotman, Franco-Gallia et de Bèze, Du droit des magistrats sur leurs sujets).Les assemblées huguenotes et les provinces de l’union en 1573 = monarchomaques ou Charles IX est décrit comme le « roi des papistes » et soumis à Rome. Leurs thèses défendent le droit de résister à un roi

royale du XVIe qui a fait souhaité un pouvoir renforcé. 
2) Une réaction contre les thèses des Monarchomaques L’opposition protestante à l’autorité royale s’est exprimée dans les thèses des Monarchomaques. C'est-à-dire ceux qui combattent le monarque. Ce sont les adversaires de la concentration du pouvoir dans les mains d’un seul. Parmi ces monarchomaques : Théodore de Bèze, successeur de Calvin, publie « du droit des magistrats sur leurs sujets ». François Hotman

la théorie des climats est la même que celle de Bodin à quelques détails près. Bodin fini l’œuvre de juriste qui entouré Philippe Le Bel (légistes), cependant Bodin n’a pas autant besoin du droit romain pour défendre le roi. Il pourchasse les monarchomaques, il y en avaient des catholiques et protestant et c’est un mouvement politique qui mettait en cause le pouvoir du roi en partant du principe qu’il existe pour eux un contrat entre Dieu le Roi et le peuple. Donc si une parti viole le contrat l’autre

naitre d’autres théories, hostiles à la monarchie. B) Des théoriciens hostiles à la monarchie pendant les guerres de religion, les monarchomaques L’opposition émane de penseurs, de doctrinaires protestants de plus en plus opposés à la monarchie, après le massacre de la Saint-Barthélemy. Les catholiques ont mis à mort les protestants. Les monarchomaques signifient « combattre le gouvernement d’un seul ». Les penseurs contestent la toute puissance du roi. Ils condamnent l’absolutisme monarchique

trouver un terrain d’entente entre les catholiques et les protestants et face à cette monarchie les extrêmes vont se rejoindre pour critiquer le caractère absolu du pouvoir. Ils d »fendent l’idée d’une souveraineté partagée. Ils portent le nom de monarchomaques, et seront des « extrémistes » s’opposant à la monarchie et sont de tous bords. Parmi les protestants, François Hotman publie en 1573 un pamphlet « La Franco Gallia », c’est une étude historique des origines de la monarchie française, dans cet

peuple est la voie de dieux". Au moment de la saint Barthélémy en 1572, les théoriciens ont estimés que le roi qui ne respecte pas le pacte qui l'uni à son peuple est un tyran et à ce titre, s'il est tyran il mérite donc la mort (vision des monarchomaques). On trouve aussi dans la querelle entre Jurieu et Bossuet. Jurieu estime que le roi tirait sa souveraineté du peuple et non de dieu au contraire de Bossuet. Ce n'est véritablement qu'avec Rousseau qu'une véritable théorie est prononcé à propos

volontés conclut entre les hommes. Et ceux ci soucieux de mieux défendre leurs intérêts et de garantir la liberté de chacun au sein de la société. Les hommes vont signer entre eux un pacte, un contrat qui va donner naissance à l’Etat. A) Les Monarchomaques Au 16e siècle, est apparu un courant de pensée qui deviendra dominant au 18e et qui va faire naitre l’Etat d’un contrat qui est conclut entre les volontés humaines. Au début chez les auteurs calvinistes du 16e, ce contrat avait été conclu dans

deux signes de ce renoncement à la liberté :· L’impôt· La cour (qsq fait que des gens acceptent d’être à al cour et d’obéir aux ordres d’un prince)Ces deux textes réfléchissent aux limités d’un pouvoir royal.1. Les réflexions théoriquesa. Les monarchomaques Ce sont des protestants qui vont écrire sur le respect du pouvoir royal, celle de la soumission ou pas de la religion au pv royal. Calvin était de l’avis de la soumission au pouvoir royal (à François Ier). Dans les premiers temps de guerre de

 le  pouvoir  constituant  (konstituierende  Gewalt)   de   Dieu.   Même   la   littérature   politique   de   l’époque   de   la   Réforme   s’y   tient   ferme,   surtout   la   théorie   des   monarchomaques  calvinistes.  (…)   2/  Pendant  la  Révolution  française  Sieyès  a  élaboré  la  théorie    du  peuple  (ou  plus  précisément  de  la  nation)   comme  sujet  du  pouvoir  constituant.