Les Peuples Civilisés

l'image que les publicitaires nous donnent de Tahiti). Si de nombreuses illustrations laissent penser qu'un net contraste sépare les Mélanésiens (dont la peau foncée et les traits sont éloignés des canons occidentaux) des Polynésiens (jugés plus civilisés en raison de leur physionomie), la réalité est parfois plus nuancée : croquis « pris sur le vif », hommes sublimés en nouveaux héros antiques...Ces « bons sauvages » sont le reflet d'une certaine façon d'envisager l'Autre, soumise tant à l'intérêt

Diderot utilise des phrases claires et univoques .Juxtaposition despropositions :" Nos filles et nos femmes nous sont communes //; tu as partagé ce privilège avec nous ".Phrases engénéral courtes,précises,violentes. b)Vieuxsage= représentant de tout un peuple,porte parole.« Je »n'apparaît qu'à deux reprises(4 et 10).Autre situat° de com°:ils'adresse à un des tahitiens :"Orou" (14) Le destinataire (Boug) est omniprésent dans le passage :pronoms et déterminants de la 2ème pers ; périphrase claire dès la 2è ligne " chef des brigands " ; également

république va défendre la colonisation et même proposer d’aller plus loin. 2- Un peu aux pays colonisés Quelques routes, ports, Quelques progrès médicaux Doctrine de Saint Simon les Saint-simoniens, souhaitent une harmonie entre les peuples et le développement de l’Algérie sont pour le pacifisme, mais sont extrêmement minoritaires et obligés d’appliquer les lois de l’armée française. Deux villes dans Alger, une française, une arabes, les français ont tout pris dans la vile et ne

Nous savons que ces tribuséprouvent une grande peur de l’inceste. Effectivement, ces tribus s’imposent une prohibition de rapports sexuels entre membre du même clan. Apparemment, toute leur organisation sociale découle de cette interdiction. Les peuples primitifs éprouvent d’une façon dangereuse les désirs incestueux destinés à se perdre dans l’inconscient, c’est pourquoi, ceux-ci, se voient obligés de se défendre contre eux par des mesures très rigoureuses. (Lien névrose). Parfois, des fêtes sont

de Europe au tournant XVlllème siècle. des tnbus amérindiennes de 18Arn6riquedu Nord-Est, et enfin des Dialogues de Mr k Baron de Lahontan et d'un Sawage, ouvrage qui roule sur la comparaison de deux modeles de vie: l'européen, c'est-à-dire le "civilisé", I'am&indien, c'est-à-dire le "sauvage". 2) L'idée du "bon sauvaae" eu =&me siede: Btude de auatre auteurs re~resentatifs.Cette partie est divisée en quatre chapitres relatifs aux quatre auteurs choisis en tant que reprbsentants

Le gouvernement français disait vouloir « augmenter le niveau social de ces pays ». Ce film nous montre l'envers du décor : du coté des pays colonisés. Pascal Blanchard explique d'ailleurs que l'idée de la France est d'aller au delà des mers pour civiliser les races et par intérêt personnel avant tout. En Algérie la prise d'Alger dure de 1830 à 1851, les colons commencent par bruler des villages entiers dans tous le pays en bouchant les issus afin de tout bruler, civils compris. Les prisonniers

bibliothèque, figuraient des citations devant l’aider à mener sa réflexion. - Dans ce texte, Montaigne fait état des grandes découvertes et prend très fermement position. Il traite du Nouveau Monde et dénonce la guerre, la violence et la colonisation des peuples. I. L’image d’une Europe colonisatrice 1. Un monde nouveau On observe le champ lexical de la nouveauté, combiné avec celui de l’enfance : « nouveau » (L.4) « enfant » (l.4), « abc » (l.5). Ce monde est illettré, « apprend son abc » (l.5)

monde. À travers ce document, nous tenterons d'établir effets et résultats de la modernisation à travers le monde. Modernisation vs Mondialisation La première notion que nous tenterons de définir est celle de la modernisation. Selon le texte « Peuples et Cultures » par Haviland, Fedorak et Crawford, la modernisation est « un processus global de changements culturels et socio-économiques par lequel les pays du tiers-monde acquièrent certains traits propres aux sociétés industrielles ». En d'autres

ces deux textes, des peuples innocents se font exploiter par des colons Européens qui profitent de leur bonté et de leur naïveté. Les colons les traitent de sauvages, du fait de la différence de leur civilisation : les Africains ou Indiens n’ont pas d’armes à feu, les mêmes croyances, la même religion, les mêmes principes, les mêmes valeurs… Ils sont en infériorité du fait de leur manque d’armes égales à celles des Européens. Les colons sont méprisants vis-à-vis des peuples différents d’eux et les

« A » et « B » : l’un prétend qu’il possède une partie inédite d’un récit du navigateur Bougainville, qui nous est donnée par la suite. - La tirade du vieux Tahitien s’adressant à Bougainville : Diderot y fait le procès du colonialisme : le plus civilisé dans ce dialogue n’est pas forcément celui qu’on croit. L’écrivain lui fait prononcer cette harangue (=discours violent) au moment des adieux des Tahitiens à Bougainville. Face aux Tahitiens qui se lamentent du départ de Bougainville, le vieillard