Les Peuples Civilisés

comportement on pourrait noter que tous les êtres humains ont des attitudes et des comportements soumis à des règles. Dans la civilisation occidentale, noblesse & bourgeoisie ont adopté des comportements qui les distinguaient des paysans. Les gens du peuple sont sans manières. Ex : la manière de manger => Noblesse et Aristocratie ont adoptés «  les manières de la table » -> découverte de la fourchette. A la renaissance, plus d’hygiène «  la galanterie est la politesse du désir ». L’apprentissage

Dans une lettre qu’il a écrit à son frère en 1972, Cioran développe et renforce cette même thèse. Il écrit : « Plus on est primitifs, plus on est proche d'une sagesse originelle que les civilisés ont perdue. » Donc durant tout le texte, Cioran va argumenter autour de cette idée-là. Il use d’une rhétorique par dissociation visant à faire tomber les idées reçues, car c’est une thèse qui va à l’encontre du sens commun. Il commence tout d’abord

comparable entre « les peuples civilisés » et « les sauvages » à cela près que les peuples civilisés font usage de l’intelligence alors que les sauvages utilisent leur instinct. La guerre est cependant un acte de « passion » car même « les nations les plus civilisées peuvent être emportées par une haine féroce. » La guerre n’est donc pas toujours un acte rationnel et ne peut se faire sans une certaine passion. Compléter par le doc 5 après étude participation du peuple Guerre et politique

Le civilisé et le sauvage Introduction : En 1859, C. Darwin publie L’origine des espèces. Il y présente une théorie qui expliquerait la transformation et la diversité des espèces. Cette théorie s’appuie sur le principe de l’hérédité et sur l’existence d’une ascendance commune. Toute espèce animale et végétale serait donc soumise à des variations et à des évolutions spontanées. Ainsi, l’homme civilisé et l’homme sauvage ne seraient pas si différents du fait de cette ascendance commune et de

L’idée même de la ‘’barbarie‘’ ? 4) Précisez le sens du mot ‘’culture‘’ dans ce texte. Question de réflexion : 5) Peut-on dire qu’il existe des peuples civilisés et d’autres pas ? Précisez les sens possibles du mot ‘’civilisation‘’. 6) Dans l’histoire, des hommes ont considéré que certains peuples n’étaient pas civilisés. Quelles en furent les conséquences ? Question

de Michel de Montaigne, et un passage de La découverte du Canada du célèbre voyageur Jacques Cartier. Ces quatre auteurs exposent des visions de l’homme civilisé et de l’homme à l’état de nature. Si les autres écrivains n’abordent pas cette question dans leurs textes, Christophe Colomb de Michel de Montaigne évoquent la richesse des peuples à l’état de nature. Dans l’extrait de Le découverte de l’Amérique, l’expression « grands vases d’or » et l’adverbe « énormément » le démontrent, ainsi que

Peut-on dire d’une civilisation qu’elle est supérieure à une autre ? On peut constater que la culture prend toujours des formes multiples, il n’y a pas une culture mais des cultures. Dans ce cas la culture désigne les modes de vie et de pensée d’un peuple. Le problème est de savoir quel comportement adopter face à la culture des autres. Faut-il les respecter dans leurs différences et admettre que toutes les cultures se valent ? Ou au contraire, peut-on penser que certaines cultures sont plus civilisées 

Œuvre/auteur Faire une synthèse avec le cours de présentation (réponses aux questions) L'humanisme, les grandes découvertes , l'auteur Passage : Dans ce chapitre XXXI des du livre I des Essais,intitulé « Des Cannibales », Montaigne évoque les Tupinambas, peuple du Brésil récemment côtoyé par les français lors du voyage de Nicolas Durand de Villegagnon, gouverneur de la colonie de La France antarctique, et qui furent décrits notamment par Jean de Léry. Après avoir montré l'intérêt et la nécessité de se fier

La planète est peuplée par une multitude de peuples qui sont plus ou moins en interraction les uns avec les autres. Chaque civilisation, évolue différamment au cours des siècles voire des millénaires, et forge une façon de pensée, des traditions, des religions, des métiers, des opinions communues : des mœurs. Elles sont à l’origine de nombreuses mésententes car il y a souvent eu des hommes pour désigner de race-inférieure, ceux dont les mœurs divergeaient des leurs. L’Histoire en a été la témoin

traditions. Cette vision de « l’homme barbare » a fait l’objet de nombreuses discussions et débats. On trouve également de nombreux récits nous permettant de découvrir la vie d’autres peuples et de comparer leur civilisation à la notre. Nous allons donc nous interroger sur la manière dont les récits de la vie d’autres peuples nous permettent de nous interroger sur notre propre civilisation. Dans un premier temps, nous allons aborder les conséquences négatives de la rencontre entre ces populations. Puis