Les Risques De La Décentralisation

et les rapports centrelpériphérie au Nord comme au Sud : recul du monopole étatique de l’activité internationale et montée en puissance concomitante des acteurs transnationaux (I), crise des centralismes étatiques et effets émancipateurs des décentralisations. Autant de facteurs qui expliquent le désenclavement radical de pouvoirs locaux passés en quelques années d‘une activité confinée à leur enclos paroissial à une ’ )) (( L A e( coopération décentralisée )) (1) B. Badie, M.C. Smouts

développent ou modifient la structure de leur organisation. 3 Les éléments clés d’une structure organisationnelle: La spécialisation du travail La chaine hiérarchique Eventail du contrôle Autorité, pouvoir et responsabilité Centralisation, Décentralisation Départementalisation 4 1. La spécialisation du travail: Chaque individu effectue chaque étape d’une activité Chaque individu effectue chaque étape d’une activité et non pas la tâche entière et non pas la tâche entière Ses avantages Ses

départements et des régions explique la faiblesse des relations entre les deux niveaux. C'est la loi du 10 décembre 2010 qui a créé de toutes pièces cette problématique afin de préparer la suppression d'un niveau de collectivités. Ce faisant, elle risque - paradoxalement - de susciter des problèmes de coordination entre les deux niveaux, par ailleurs condamnés à collaborer durablement. - Les institutions et les compétences du département lui assurent un ancrage local. En dehors des villes importantes

d'une culture commune, d'une histoire commune, d'une volonté partagée de vivre ensemble: la nation (→ conception de l'Etat-nation). EX: Avant l'Allemagne réunifiée: une nation mais deux Etats. Quand un Etat regroupe plusieurs nations, il y a un risque d'éclatement (exemple de la Belgique). Le bon fonctionnement de l'Etat (sa viabilité) dépend de l'homogénéité de la nation. C. Un pouvoir de contrainte On parle de "marque de fabrique" de l'Etat. Le sociologue Max Weber a évoqué ce pouvoir

à son efficacité sociale et son efficience. Invité à démontrer le bien-fondé de ses actions dans un contexte de raréfaction des moyens, l’État amorce au milieu des années 1980, d’une part un mouvement de repli à travers les privatisations, la décentralisation et une déconcentration progressive, d’autre part une modernisation de la gestion publique. B. Les différents changements en France Différent projets ont été mis en place débutant en 1960 par la RCB et finissant par la LOLF mise en œuvre

intéressés, l’ignorance des populations, la carence informationnelle et le faible niveau d’organisation des populations à la base. En ce qui concerne les responsables, nous notons le déficit de communication, la non maîtrise du processus de la décentralisation, l’insuffisance de ressources humaines qualifiées, la faiblesse des textes ; ce qui paralyse souvent le fonctionnement de certains organes à mandat. II. Formulation La formulation répond au désir des acteurs d’adopter des mesures de régulation

d'autre le risque de dilution des responsabilités. Question 3 L'organigramme permet de comprendre l'aspect formel de la structure de l'entreprise, mais pas l'aspect informel. Il faut toujours prendre en compte les normes et les règles officieuses, celles utilisés habituellement mais non écrites. Premier, la lecture de l'organigramme ne permet pas toujours de comprendre les modes de coordination et de contrôle des activités. Deuxième, le niveau réel centralisation ou de décentralisation des décisions

fonction correspond plutôt aux entreprises développant une seule activité. L’inconvénient est la lenteur de la prise de décision car tout doit être validé par la direction générale, la circulation de l’info est seulement descendante avec une décentralisation verticale et horizontale faible. IDENTIFICATION DU PROBLEME DE MANAGEMENT II. 4 L’adoption d’une stratégie de diversification ne correspond pas avec une structure fonctionnelle à cause de la lenteur de la prise de décisions et de leurs applications

Metz F.MOLA Septembre 2010 Compétence N°1 : accompagner une personne dans les actes essentiels de la vie quotidienne en tenant compte de ses besoins et de son degré d’autonomie. Thème : la santé publique : politique de santé – prévention – risques sanitaires – système de santé français. I / HISTORIQUE ET EVOLUTION DU CONCEPT DE SANTE PUBLIQUE (quelques repères). « Il y a 2500 ans Hippocrate a inventé l’épidémiologie et défini le champ de la santé publique en établissant un lien de causalité

faire face à une chute brutale des marges, à une fragilisation de la rentabilité des opérations et l’augmentation des risques. Cette nouvelle donne était suffisante pour convaincre les banques à mettre en place une nouvelle fonction de contrôle de gestion, qui sera chargée, entre autres, d’assurer le calcul et le suivi de la rentabilité des opérations, la gestion des risques bancaires et financiers, et servir ainsi comme une fonction d’assistance et d’aide à la prise des décisions aux différents