Léviathan

connaissance aux hommes Représentation du mythe Le mythe de Prométhée en musique : Le groupe de ménestrels Saltatio Mortis a écrit une chanson appelée "Prometheus" en référence à ce mythe. Le mythe de Prométhée en littérature : Hobbes, Le Léviathan (1651). Au chapitre XII de sa grande œuvre, Hobbes réinterprète le mythe de Prométhée. Selon lui, les souffrances de Prométhée, condamné à avoir le foie dévoré chaque jour, symbolisent les craintes et autres douleurs qu'inspirent à l'humanité les

remarquer que les gouvernants exercent le pouvoir au nom d’une institution à la fois impersonnelle et permanente au dépend de leurs propres intérêts. Notre démonstration rejoint alors la pensée de Thomas Hobbes et sa théorie du Léviathan (1651) : « la république (ici l’Etat ou le Léviathan) est le législateur mais ce n’est que par son représentant, c'est-à-dire par le souverain que la République est une personne et qu’elle a la capacité de faire quoi que ce soit. » Il veut dire par là que l’Etat en tant que

conventions, mais ils sont toute la convention, et non une convention tronquée, au sens où la norme et l’accord de quelques-uns s’imposeraient à tous. Les bons outils • Aristote, Éthique à Nicomaque. • Rousseau, Du contrat social. • Hobbes, Léviathan. • Montesquieu, De l’Esprit des Lois. • Rawls, Théorie de la Justice.

premier par Nicolas Oresme . Les bases du contrat social sont le rationalisme, quitter l’Etat de nature pour aller vers un Etat de paix et l’individualisme. Il a une conception utilitariste des conventions. Dans le texte de Hobbes il y a la figure du Léviathan qui représente l’Etat. Le terme Etat vient du latin status , au début le terme status signifiait être debout, ça ramenait seulement à une condition mais par la suite le mot à évolué et s’est transformé en estats qui a désigné une condition sociale

socialesLa philosophie politique (grec) : Machiavel, « Le prince de Machiavel » : il consulte les Médicis à Florence et pour lui tous les moyens, au service du prince, sont mis en œuvre pour gagner ou pour régner. Thomas HOBBES (anglais), « Le Léviathan » : 50 ans après Machiavel, pour lui système politique = pouvoir absolu. Jean Jacques ROUSSEAU, « Le contrat social » : Au Moyen-Âge, la réflexion politique est neutralisée par la subordination des activités humaines au principe divin. Cette réflexion

Etre libre, c’est se soumettre à des impératifs. Pour une plus grande efficacité, une plus large réussite. Ou aussi pour une vie en commun rendue possible par la présence de lois (passage de la société naturelle à la société civile chez Hobbes, Léviathan). Se soumettre à des règles, est-ce pour autant être libre ? La vraie liberté n’est-elle pas dans la volonté, dans le fait de déterminé sa pensée et sa conduite selon des principes issus de la raison ? Accepter passivement des impératifs qui nous

constitue-t-il pas une menace pour la liberté elle-même ? Car au nom de la raison, n'est-on pas amené à justifier bien des crimes ? Hobbes, par exemple, estime qu'il est rationnel que chacun donne volontairement, par contrat, sa force à un seul (le Léviathan) qui en échange garantira la sécurité de tous les citoyens. Mais n'est-ce pas, comme le voit Rousseau, payer au pris de sa liberté l'égalité dans la sécurité ? D'où la nécessité que le contrat social préserve avant tout la liberté civile Cependant

volonté très spécifique qu’est le contrat. Il est frappant de voir que les auteurs qui font appel à la notion d’état de nature en développent des conceptions très différentes, voire radicalement opposées. Ainsi, pour Hobbes dans son ouvrage le Léviathan (1651), « l’homme est un loup pour l’homme »5 et c’est le besoin de protéger leur vie qui pousse les hommes à consentir au chef d’Etat un abandon total de tous leurs droits et à se soumettre complètement à lui. Pour Rousseau, bien au contraire

Corrigé de la dissertation:Corrigé de la dissertation: La fin justifie-t-elle les moyens? Adage=la fin justifie les moyens=/qui veut la fin veut les moyens - Le comprendre - Le discuter Cet adage a-t-il raison? Est-ce vrai que la fin justifie les moyens? Justifier= légitimes, rendre acceptable, excuser (définir les termes importants) Dc: des moyens qui ne seraient pas acceptables sans la fin, sont rendus acceptables, légitimés, par le fait que la fin est acceptable. La fin excuse les moyens parce

la scène de gauche), ils se tiennent par la main et semblent presque se bousculer pour entrer ! Les damnés sont précipités la tête la première dans l’antichambre de l’Enfer. Ils sont accueillis par des démons qui les poussent dans la gueule du Léviathan. Le démon hirsute qui brandit sa massue semble désolé de voir les âmes des justes lui échapper… La pesée des âmes (ou psychostasie) n’est pas vraiment un thème biblique. On la trouve notamment dans la civilisation égyptienne : le cœur du défunt