Léviathan

emulate Rome’s role as a socializing institution; Just like currency, language, and culture in the Roman Empire may have signaled an early form of what is today known as globalization, it is undeniable that today, the USA is the political and economic leviathan of the globalized world. The comparison to Victorian Britain too, is quite evident. Britain, at its peak, had overwhelming political, cultural and economic power, and this imperialistic dominance was enhanced through politicians who expanded these

d’activation de l’aide sociale (« workfare ») et les politiques policières et pénales expansives et agressives qui émergent dans les pays avancés au tournant du xxie siècle, loin d’être des aberrations, sont des composantes à part entière du nouveau Léviathan à l’ère de l’insécurité sociale. Wacquant tente de montrer que les discours dénonçant le « programme sécuritaire » (en France) et le « prison industrial complex » (aux États-Unis), loin d’élucider la montée de l’État pénal, participent paradoxalement

l’encontre de l’anarchie, du despotisme. Il apparait historiquement au XIIIème siècle. Il peut également être défini comme un pacte social, comme le contrat conclu entre les individus et une autorité supérieure. Thomas Hobbes, dans son ouvrage le Léviathan, affirmait qu’avant le pvr étatique, les hommes vivaient dans un état de nature caractérisé par l’anarchie. Pour sortir de cette situation, les hommes ont eu recourt en dernière instance à la création d’un Etat qui garantit leurs droits. L’Etat devient

observer de nombreuse images et comparaisons : « comme un enfant de dix ans » « comme à un adepte digne d'elle » « j'ai avalé les larmes les plus vertueuses » Champ lexical de la religion et mythologie : Plusieurs reprise du mot « Dieu » -Léviathans (monstre marin décrit dans la bible) -Niobé (mythologie) Désanchantement de Lorenzo « Tout ce que j'ai à voir moi, c'est que je suis perdu, et que les hommes n'en profiteront pas plus qu'il ne me comprendront. » Lorenzo prend consience de

trois quarts du xviie siècle, a entrepris de classer de façon systématique les émotions humaines, ce qui l’amene à construire un système rigide garantissant, par coercition, la stabilité du chaos primaire et justifiant le pouvoir absolu(voir le Léviathan). À l’inverse, Locke voit en la Nature la source de l’unité et de tous les droits individuels et la fonction du pouvoir est de les protéger, non de les étouffer. Ainsi, John Locke dans ses deux Traités du gouvernement civil avance que le droit de

nous, et professe les mêmes opinions. Selon Hobbes: chacun cherche à se conserver (lois de nature), les Hommes ont les mêmes désirs. Donc la peur de la mort entraîne une « guerre de tous contre tous » ou « l’homme est un loup pour l’homme» (Hobbes, Léviathan). Si on peut ne pas voir le mal, on peut aussi choisir de le commettre, et c'est ici un avantage de l'Homme sur l’animal. La violence et l'agressivité ont pour objet de faire souffrir, détruire, soi-même, les autres .Ces manifestations sont physiques

Etre libre c’est agir selon sa volonté. Est-ce pour autant la définition que Hobbes donne à la liberté naturelle ? Dans son œuvre Léviathan (écrite au XVIIème siècle) où il évoque le passage de l’état naturel à l’ordre social, Hobbes affirme que la volonté est dans tous les cas guidée par la nécessité. Toute action humaine selon lui a une cause, reliée à une cause antérieure dont l’origine serait Dieu. Comment faire converger la liberté humaine et la liberté de Dieu, c’est l’analyse que Hobbes fera

Don – acte désintéressée Vente – Échanges de biens de même valeur Despotisme = Posséder tous les pouvoirs → Hobbs : Hobbes développa l'idée selon laquelle, les sociétés à l'état de nature sont en situation de chaos ou de guerre civile. Léviathan = Acteur de pouvoir politique agit au nom des individus → Etre libre avoir des droits et des devoirs => Contrat pas soumission, pas l’échange de la liberté contre la vie Chapitre V : Critique du contrat hobbien = contrat de représentation

principes  approuvés  par  une  majorité  des  États  actuellement  (ex :  DUDH  de  l’ONU  de  1948) ;  pour  cela,  se  doter  d’institutions légitimes concentrant la puissance de tous les États et dont  l’intérêt  passe  avant  le  leur :  un  « Léviathan  mondial »,  qui  constituerait  un frein aux régionalisations qui fragmentent le globe aujourd’hui  II. Le contexte de crises mondiales invite d’autant plus à repenser la donne  politique mondiale  * les institutions internationales sont en phase de devenir désuètes : crées 

CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE : Etienne de la Boetie, discours de la servitude volontaire Jean Jacques Rousseau, le contrat social Alain Renaut, la fin de l’autorité Leibniz, la pensée politique Gaston Fessard, autorité et bien commun Thomas Hobbes, le léviathan Machiavel, le prince Micheal Novak, démocratie et bien commun