Liberte Contrainte Durkheim

radicale de l’affirmation de Durkheim voulant que la misère protège du suicide, lui donnant une place qu’elle n’a pas dans l’œuvre de Durkheim. Le ton est donné, c’est dans le champ économique que les auteurs trouveront l’essentiel de leurs explications et ils font peu de cas de la famille ou de la religion. En fait, ils en discutent brièvement dans deux chapitres, utilisant des chiffres internationaux, et ils n’y reviennent qu’en conclusion pour reconduire celle de Durkheim… D’entrée de jeu, les auteurs

traditionnelle : Action posée (il en a toujours été ainsi), action faite par habitude → on sait pas pourquoi on fait ça. Exemple : Mafia → Vendetta (on tue des gens parce que c'est la coutume, NORMAL). [Shéma] B- Les faits sociaux (héritage de Durkheim) Il a le sentiment que individus s'associent = font naître une entité particulière (le social) qui prend une existence propre. p.31-32 Exemple : une association de personnes donne naissance à une nouvelle entité en s'associant (existence juridique

garantir la cohésion sociale. Pour Durkheim, la socialisation est un processus de la part des générations adultes à transmettre des valeurs et des normes de la société dans un but d'intégration et de régulation sociale. Il s'agit donc d'un processus descendant. La socialisation fonctionne chez Durkheim à sens unique : ce sont les générations les plus âgées qui éduquent les plus jeunes. Sa définition de la socialisation nie toute autonomie et toute marge de liberté chez l'enfant et met l'accent sur

générales de bonne conduite : • sois libre, • sois toi même, • décide par toi même, • n’oublie pas de te faire plaisir, • fais attention à toi car ta vie est sacrée. Application à la médecine : ce que la société fait gagner en liberté, elle le fait perdre en stress et en dépression. La dépression est-elle une maladie que le médecin doit prendre en charge, ou un problème d’adaptation de l’individu aux injonctions de la société ? Si la dépression est une maladie, elle se soigne avec

DURKHEIM http://webetab.ac-bordeaux.fr/Etablissement/JMonnet/ses/coursocio/socio.htm I° Biographie Emile Durkheim est un sociologue français, fondateur de la sociologie moderne. Né à Epinal en 1858, Durkheim appartenait à une brillante lignée de rabbins érudits. Etudiant à l’Ecole normale supérieure, il obtient l’agrégation de philosophie en 1882. Il devient professeur et est notamment chargé des cours de pédagogue et de sciences sociales à Bordeaux en 1887. C’est à Bordeaux qu’il commença la

ont besoin de stabilité et d'institutions solides, la pensée de la revolution française qui est liberale, individualiste, risque de dissoudre le social, les rapports sociaux entre les individus. Or pour lui une sté repose sur un ordre et sur des contraintes que les individus doivent connaître. On voit que ces 2 auteurs accordent une importance particuliere a la revolution française avec 2 entrées differentes: le conflit et le consensus. 2° Les précurseurs de la sociologie: a) Le statut de la

est-elle indispensable, nécessaire à l’école ? L’auteur explique ensuite sa démarche : partir de définitions pour répondre à cette question n’est pas possible car l’autorité est liée à des notions diverses telles que l’influence, le pouvoir, la contrainte, la violence, la discipline, vécues comme étant liées dans la réalité scolaire. Houssaye se propose donc de penser l’autorité à l’école à partir d’éclairages différents et donne le plan de son ouvrage : - L’autorité à l’école aujourd’hui

aussi des groupes secondaires qui correspondent aux amis, ou encore les groupes élémentaires qui représentent un ensemble d’individus caractérisé par un intérêt commun par exemple les associations. Ces différents groupes se définissent par une contrainte d’influence exercée sur quelqu’un. Dans un groupe de pression il existe obligatoirement un meneur. * Un meneur, étymologiquement parlant, désigne celui qui mène, qui conduit à partir d’un certain comportement une ou plusieurs personnes dans sa

l’histoire de la pensée sociale en Occident – l’enjeu de la liberté individuelle et collective. Dans le cadre de ce cours, nous verrons comment différents auteurs à différentes époques ont abordé ces questions. Comment, par exemple, Montesquieu, De Beauvoir, Weber, Luther, Fanon, Saint-Augustin, De Pizan, Machiavel, Durkheim, Nietzsche, Marx et bien d'autres conçoivent-ils l'être humain ? S'agit-il d'un être soumis aux contraintes qui lui sont imposées, soit par sa propre nature, soit par des

pas envisagée, prise en compte, élaborée ? Que signifie l’ordre de ne pas explorer les limites de notre temps, de rester au sein de ses limites ? Ou encore : que signifie le fait que cette question soit une question rhétorique, et que l’appel à la liberté contenu dans l’impératif soit ici plus ou moins fictif ? En premier lieu, le fait que nous soyons toujours en retard, en avance, à côté, en marge du temps, de l’époque, de l’actualité, du présent : s’il faut être de son temps, c’est que nous ne le