Liberté Créatrice

idées à l’expérience de la vie pratique quotidienne ? Penser par soi-même est le propre d’une démarche philosophique, celle qui consiste à chercher la vérité individuellement pour arriver à mieux se connaître soi-même et les autres et agir en toute liberté, selon des principes applicables en toutes circonstances. Penser par soi-même n’est pas un acte naturel. Cela exige un effort, un travail sur soi pour lutter contre ses instincts, ne pas s’attacher à ses pensées et ne pas subir les influences

n'est illégal que si de ce refus à entraîné à un manquement à ses obligations légales de maintient de l'ordre public. On peut noter également que le refus de prendre une mesure de police n'a pas à être motivé, qu'une mesure de police n'est jamais créatrice de droits et peut donc toujours être retirée, et que l'administration n'engage sa responsabilité qu'en cas de faute lourde. Les titulaires du pouvoir de police Le pouvoir de police est répartie entre plusieurs titulaires. le Premier ministre

Notion d’ordre public : attachée à l’idée de liberté individuelle. Dès la DDHC l’art 4, on a défini la liberté comme le pouvoir de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Art 4 DDHC : la loi n’a le droit de défendre que ce qui est nuisible à la société. Suite logique : l’art 5 de la DDHC : tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne eut pas être empêché. Règle : liberté. Répression : exception. Système répressif et non pas préventif des libertés. système répressif : on apriori le droit de tout

technique = conditions de survie pour l’homme -Procédé ouvert tandis que l’instinct est figé -Progresse de manière indéfinie L’homme est donc homo-faber, c'est-à-dire l’homme qui fabrique des outils Bergson, dans l’évolution créatrice écrit : « L’intelligence est la faculté de fabriquer des objets artificiels, en particulier des outils à faire des outils, et d’en varier indéfiniment la fabrication » La technique est donc : -La fonction première de l’intelligence et ressort

l’exécution » montre que c’est un projet réfléchi et abouti. De plus, cela renvoie à l’idée de machine, « l’exécution » rappelle le mot d’ordre qui se lie à l’idée de robotique. L’industrie apparait ici péjorativement, elle traduit un manque de liberté, la présence de limites. Puis l’auteur fait un rapprochement de l’artisan à l’artiste. En utilisant l’expression « même dans l’industrie », Alain met en valeur le lien surprenant entre le travailleur manuel et le créateur intellectuel. Le point commun

dimension métaphysique : la production réalise la vocation de Dieu. Le travail est doublement productif : Il permet, d’une part, de produire des œuvres qui valorisent la nature (action créatrice qui rend hommage à Dieu) ; Il permet, d’autre part, de produire l’humanité puisqu’en travaillant il affirme sa liberté et ses droits d’être humain. Ainsi, selon Locke, la production tient en un droit inaliénable chez l’individu ainsi que ce qu’il produit. Production et création Kant, Critique

Introduction : Depuis toujours la femme n’a jamais eu de vraies libertés. Elles passaient de statut de fille sous la garde de son père à celle de femme sous celle de son mari. Jamais elles ne pouvaient disposées personnellement de son argent. Il y a eu des progrès puis des régressions dans sa liberté mais c’est réellement durant la première Guerre Mondiale que les plus grands changements ont eu lieu. La première guerre mondiale a entrainé une rupture importante dans l’ordre familial et social

l’activité créatrice par excellence : le travail apparaît désormais comme essence de l’homme. C’est avec Marx et Hegel que cette transformation va s’opérer. On parle de travail en tant qu’essence de l’homme dans le sens où si l'homme arrive à transformer la nature, à la maitriser il éloigne ainsi l'animalité qui u’il a en et renforce ainsi son humanité. Autrement dit, l'homme en transformant la nature se transforme lui-même. Dans cette conception le travail devient une liberté créatrice. Cette valorisation

n'ont fait que profiter du savoir et des découvertes de quelques un, ce qui a peu à peu affaiblit leur facultés créatrices, aussi physiques que mentales. Aussi, le progrès technique a apporté une plus grandes capacité de destruction aux armes. C'est ainsi que l'arme nucléaire a été un moyen de d'intimidation, de soumission durant la Guerre froide. Ces techniques sont attentatoire à la liberté de l'homme et ne sont donc pas à son service. La mécanisation est devenue un danger. C'est pour toutes ses

écorce le germe sur lequel elle veille avec tendresse, à savoir le penchant et la vocation à la libre pensée, cette inclination agit en retour progressivement sur le mode de penser du peuple (ce qui le rend peu à peu plus capable d’une plus grande liberté d’agir), et finalement même sur les principes du gouvernement, lequel trouve alors profitable pour lui-même de traiter l’être humain, qui est désormais plus qu’une machine, conformément à sa dignité. E. Kant, Réponse à la question, « Qu’est-ce que