Liberté église Gallicane

discipline qui s’est créé récemment sur la façon de penser, de traiter de la philosophie. Certains débats internes, pour certain propres au monde universitaire, font changer les connaissances (ex montée en puissance des intellectuels sur le principe de la liberté absolue). Il y a aussi des débats socio, et les débats philosophiques évoluent avec les transformations politiques. On ne peut pas penser des débats sur le genre sans penser à certains mouvements sociaux qui ont émergé pour défendre certaines minorités

guerres civiles, quelquefois pour une place au conseil, quelquefois pour deux pages de controverse. Il y avait plus de soixante ans que ce feu, tantôt couvert et tantôt soufflé avec violence, désolait ces beaux climats. C'étaient là les libertés de l'Église gallicane. Hélas! dis−je, ce peuple est pourtant né doux: qui peut l'avoir tiré ainsi de son caractère? Il plaisante, et il fait des Saint−Barthélemi. Heureux le temps où il ne fera que plaisanter! Je passai en Angleterre: les mêmes querelles

L’organisation et l’administration des conquêtes Les romains ont conquis l’ensemble de l’Italie, l’Afrique du Nord, l’Espagne, le sud de la Gaule. Réduction en esclavage. Exploitation économique, terres confisquées. Le tribut est un signe qu’on a perdu sa liberté. Les romains ont respecté la culture des peuples vaincus (les langues, la religion, leurs droits). Respect des structures : les cités subsistent mais sous administration locale. L’autonomie interne des cités est variable. Certains habitants peuvent

exercées par des autorités laïques […], sans participation ni intervention des autorités ecclésiastiques, et sans immixtion dans les affaires religieuses ; caractère non confessionnel de l’État associé à sa neutralité religieuses ; séparation des Églises et de l’État. Le lexique de droit constitutionnel (Avril-Gicquel) cite Briand : « L’État n’est ni religieux ni antireligieux ; il est areligieux. »  Lorsque, le 11 mai 1880, Paul Bert (1833-1886) présente devant la Chambre des députés son rapport

l’alleutier doit prouver que sa terre n’est pas une tenure reçue du seigneur. Dans l’ouest, la règle qui prévaut c’est « nulle terre sans seigneur ». L’allodialité est impossible. B. La condition des personnes Montesquieu, l’Esprit des Lois : « la liberté politique réside dans le sentiment que l’on a de sa sûreté ». La sécurité prime. C’est un état subjectif. Si on ne se sent pas en sécurité, on n’est pas libre. Pendant longtemps, l’objectif va être de garantir sa sécurité. C’est le développement

Martin Bucer à Strasbourg et plus tard Jean Calvin à Paris et Genève, la Réforme touche la majeure partie de l'Europe du Nord-Ouest. Les tentatives de conciliation ayant échoué, elle aboutit à une scission entre l'Église catholique romaine et les Églises protestantes. Ignace de Loyola fonde en 1540 un ordre de clercs réguliers la Compagnie de Jésus, il fait vœux de pauvreté et de chasteté. Le pape Paul III (1534-1549) consacre l’existence canonique du nouvel ordre et approuve par la bulle Regimini

des outils au Roi. Cependant en 1312, l’Empire Romain a un nouvel Empereur (prétendant supérieur aux autres Rois). Mais Philipe le Bel répond : « je ne reconnais aucuns supérieurs et je suis prêt à défendre de toutes ces forces l’excellence de sa liberté ». Le roi de France est puissant, car il y avait la loi d’hérédité, alors que dans le St empire germanique, le roi était élu. Dons il y a une stabilité sur le trône de France. L’Eglise traverse une profonde crise morale, ainsi les fonctions ecclésiastiques

anti-ottomane, soutien du pape aux Habsbourg d'Autriche). Louis XIV favorise alors le regain d'un gallicanisme constitué autour de Bossuet. A l'assemblée du clergé de 1682, à l'occasion des démêlés entre le roi et le pape, la déclaration sur les libertés de l'Église gallicane fixe les limites du pouvoir du Pape par les déclaration des Quatre articles. Ils sont brulés par le pape. Avec le décès de la reine Marie-Thérèse, celui de Colbert en 1683 et avec l'affaire des poisons qui choque le Roi, c'est un entourage

développe un gallicanisme à la fois politique et religieux. Il s'appuie pour ce faire sur une sorte d'église prise dans sa dimension nationale, l'église gallicane. Cette église bénéficie d'un espace de liberté dans toute une série de domaine y comprit judiciaire. Dans cette optique là le roi est parti prenante dans le fonctionnement de cette église, non pas comme chef religieux mais comme chef politique bénéficiant d'une confiance de la part du saint siège. En matière judiciaire cela à des conséquences

les lois plébéiennes leur déplaisaient si fort, ils n'avaient qu'à autoriser la création, en commun, de commissaires choisis parmi les plébéiens et parmi les patriciens, pour rédiger des lois dans l'intérêt des deux ordres, et assurer à tous la liberté et l’égalité. » Les patriciens étaient loin de rejeter ces offres; mais « nul, disaient-ils, ne pourra être législateur sans être patricien. » Ainsi, d'accord sur le besoin de nouvelles lois, on n'était divisé que sur le choix du législateur. On