Liberté église Gallicane

PLAN I/ Constitution et institutions de l’Occident Chapitre 1 : De la fin de l’Antiquité Grecque à l’époque Franque Chapitre 2 : Elément d’unité en Occident à la fin du Moyen âge Chapitre 3 : Les institutions de rassemblements (Eglise, l’Empire, « l’Europe ») II/ Autorité publique dans les institutions Chapitre 1 : Les principes Chapitre 2 : La justification de l’autorité publique Chapitre 3 : L’adoption des principes de l’autorité publique aux diverses formes politiques III/ Les institutions de

A/ La chrétienté Eglise catholique créée par le Pape, quand le peuple a été mis à mal, le Pape a réagi sur le plan religieux par le renforcement du pouvoir de son autorité : autorité papale. La chrétienté va devenir une réalité institutionnelle qui va progressivement aboutir à la reconnaissance de la primauté pontificale. La chrétienté a un système uniforme qui s’est étendu sur l’ensemble de territoire romain. La doctrine chrétienne, les règles d’organisation de cette Eglise vont être arrêtées

problème ne se posera en termes pratiques qu’au quatrième siècle, quand l’Empire adoptera le Christianisme. Dès 311, Galère publie un édit de tolérance, suivi deux ans plus tard de « l’édit de Milan » par lequel Constantin posait comme principe la liberté religieuse. Suivront « de nombreuses constitutions impériales instaurant un régime de faveur à l’égard du christianisme »[3]. Le 28 février 380, avec l’édit de Thessalonique, Théodose Ier instaure le catholicisme religion d’Etat. La collaboration

Des Voyages De Scarmentado pour une place au conseil, quelquefois pour deux pages de controverse. Il y avait plus de soixante ans que ce feu, tantôt couvert et tantôt soufflé avec violence, désolait ces beaux climats. C'étaient là les libertés de l'Église gallicane. Hélas ! dis-je, ce peuple est pourtant né doux : qui peut l'avoir tiré ainsi de son caractère ? Il plaisante, et il fait des Saint-Barthélemi. Heureux le temps où il ne fera que plaisanter ! Je passai en Angleterre : les mêmes querelles

marché jusqu'à la Révolution. B) Le Gallicalisme (les libertés de l'Église galicanne) Le Gallicalisme est une doctrine qui dit que l'Église de France, au sein de l'Église universelle, doit bénéficier de libertés qui lui sont réservées. Il peut prendre une forme religieuse (restriction de l’autorité du Pape à l’intérieur de l’Eglise) ou politique (limitation de l’emprise du pouvoir spirituel sur le pouvoir temporel). Ces thèses gallicanes formeront un corps de doctrine à la fin du 16è et au cours

guerres civiles, quelquefois pour une place au conseil, quelquefois pour deux pages de controverse. Il y avait plus de soixante ans que ce feu, tantôt couvert et tantôt soufflé avec violence, désolait ces beaux climats. C’étaient là les libertés de l’Église gallicane. Hélas ! dis-je, ce peuple est pourtant né doux : qui peut l’avoir tiré ainsi de son caractère ? Il plaisante, et il fait des Saint-Barthélemi. Heureux le temps où il ne fera que plaisanter ! Je passai en Angleterre : les mêmes querelles

paroisses se partagent le territoire et sont le lieu de plus ou moins fortes solidarités. Elles gèrent les échanges entre l’ « ici-bas » et l’ « au-delà », apportent un réconfort spirituel et ont de multiples obligations (« charge d’âmes », école, église, presbytère, médiateur entre la ville et la campagne, entre le pouvoir du roi et les habitants). Croyances Le calendrier parle chrétien selon une formule de Lucien Febvre. L’Eglise christianise la société. Par la messe, la confession, la communion

distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. Article II. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression. Article IV. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : 1848 va également servir de référence aux constituants de 1875. En 1848, une révolution va renverser en quelques jours la Monarchie de Juillet du

code civil rédigées par le gouvernement qui reçoivent un vœu négatif du tribunat. Le tout se passe sous le contrôle plus ou moins théorique du sénat puisque le sénat dans la conception de Sieyès est le gardien de la constitution et le protecteur des libertés individuelles. Le sénat peut déclarer la loi inconstitutionnelle mais il ne peut pas se saisir de son propre mouvement mais soit par les consuls ou le tribunat. On a une division des tâches au niveau du législatif en au moins 3 grandes étapes :

lectures stimulent l'amour de la liberté, on cultive de grands idéaux, la Rome antique fascine, une souche inépuisable d'admiration. Il y a un réveil d'une conscience nouvelle, un sens aigu des affaires politiques directement issus des histoires des grandes cités italiennes (Florence, Milan), cette humanisme qui se nourrit des textes antiques favorise l'engagement politique et la quête de ces grands idéaux tel que la liberté. Il y a un humanisme civique fait de liberté, de justice comme valeurs essentielles